AdrienH - Harry Potter et les Méthodes de la Rationalité
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- Название:Harry Potter et les Méthodes de la Rationalité
- Автор:
- Издательство:FanFiction.net
- Жанр:
- Год:2013
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*Chapter 36*: Différences de statut
Une désorientation déchirante, voilà ce que Harry ressentit en descendant de la plate-forme neuf trois-quart et en mettant pied sur le reste du monde, un monde dont Harry avait longtemps cru qu'il était le seul qui existât vraiment. Les gens s'habillaient de t-shirts et de pantalons au lieu des robes bien plus dignes des sorciers et des sorcières. Des morceaux de détritus éparpillés ici et là autour des bancs. Une odeur oubliée, les fumées d'essence brûlée, brutes et intenses. L'ambiance de la gare de King's Cross, moins joviale et radieuse qu'à Poudlard ou qu'au chemin de Traverse ; les gens semblaient plus petits, plus peureux, et ils se seraient probablement empressés d'échanger leurs problèmes contre un Seigneur des Ténèbres à combattre. Harry aurait voulu jeter Récurvite sur la saleté et Everto sur les déchets, et, s'il l'avait connu, un sortilège de bulle pour ne pas avoir à respirer l'air environnant. Mais il ne pouvait utiliser sa baguette en un lieu pareil...
Ceci, comprit Harry, était ce que l'on devait ressentir en passant d'un pays du premier monde à un pays du tiers monde.
Sauf que c'était le monde zéro que Harry venait de quitter, le monde magique, le monde des sortilèges de nettoyage et des elfes de maison ; où, entre l'art du soigneur et sa propre magie, on pouvait aller jusqu'à cent soixante-dix ans avant que le grand âge ne commence à vraiment laisser sa marque.
C'était Londres non-magique, la terre moldue, où Harry était temporairement de retour. C'était là que maman et papa vivraient jusqu'à la fin de leurs jours, à moins que la technologie ne fasse un bond en avant et permette d'atteindre la qualité de vie des sorciers, ou que quelque chose de plus profond ne change dans le monde.
Sans même y penser, la tête de Harry pivota et ses yeux dardèrent par-dessus son épaule pour apercevoir la malle de bois qui se précipitait après lui sans que les Moldus ne la remarquent, les tentatcules griffues offrant une rapide confirmation du fait que, oui, il n'avait pas simplement tout imaginé.
Et il y avait l'autre raison à l'origine du poids dans sa poitrine.
Ses parents ne savaient pas.
Ils ne savaient rien du tout .
Ils ne savaient pas...
"Harry," dit une femme fine et blonde dont la peau parfaite et sans marques lui donnait l'air d'avoir bien moins de trente-trois ans ; et Harry se rendit compte avec surprise que c'était de la magie, il n'avait pas reconnu les signes auparavant mais il pouvait maintenant les voir. Et quel que soit le genre de potion capable de durer aussi longtemps, ç'avait dû être horriblement dangereux, car la plupart des sorcières ne se faisaient pas ça à elles-mêmes, elles n'étaient pas désespérées à ce point...
De l'eau s'amoncela dans les yeux de Harry.
" Harry ? " héla un homme à l'air plus âgé avec une brioche naissante autour de l'estomac, habillé d'une veste noire jetée sur une chemise gris-vert sombre avec la négligence ostentatoire des universitaires, quelqu'un qui serait toujours un professeur où qu'il aille, qui aurait certainement été l'un des sorciers les plus brillants de sa génération s'il était né avec deux copies de ce gène au lieu de zéro...
Harry leva sa main et leur fit un signe. Il ne pouvait pas parler. Il en était totalement incapable.
Ils avancèrent jusqu'à lui, sans courir, mais d'une démarche sûre et digne ; c'était à cette vitesse que le professeur Michael Verres-Evans marchait, et madame Petunia Evans-Verres n'allait pas marcher plus vite.
Le sourire sur le visage de son père n'était pas très large, mais cela dit, son père n'avait pas l'habitude de prodiguer d'immenses sourires ; il était au moins aussi grand que le plus large de ceux que Harry avait vu chez lui, plus grand que lorsqu'une nouvelle subvention de recherche arrivait ou que lorsque l'un de ses étudiants obtenait un poste, et on ne pouvait pas demander un sourire plus grand que celui-là.
Maman clignait des yeux, elle essayait de sourire mais ne se débrouillait pas très bien.
"Alors !" dit son père en approchant d'un pas leste. "Déjà fait des découvertes révolutionnaires ?"
Bien sûr, papa pensait qu'il blaguait.
Ça ne lui avait pas fait aussi mal que ses parents ne croient pas en lui à l'époque où personne ne croyait en lui, à l'époque où Harry ne savait pas ce que c'était que d'être pris au sérieux par des gens comme Dumbledore et le professeur Quirrell.
Et c'est alors que Harry comprit que le Survivant n'existait qu'en Angleterre magique, qu'une telle personne n'existait pas dans la Londres moldue, qu'il y avait juste un mignon petit garçon de onze qui rentrait chez lui pour Noël.
"Excusez-moi," dit Harry, sa voix tremblante, "je vais maintenant m'effondrer et fondre en larmes, ça ne veut pas dire que quelque chose ne va pas à l'école."
Harry commença à avancer, puis il s'arrêta, déchiré entre la possibilité d'étreindre son père ou sa mère, il ne souhaitait qu'aucun ne se sente lésé ou n'ait l'impression que Harry l'aime plus que l'autre -
"Toi," dit son père, "tu es un garçon très bête, M. Verres," et il prit gentiment Harry par les épaules et le poussa dans les bras de sa mère, qui était agenouillée, des larmes coulant déjà le long de ses joues.
"Bonjour maman," dit Harry d'une voix vacillante, "je suis revenu." Et il la prit dans ses bras, au milieu des bruyants sons mécaniques et de l'odeur d'essence brulée ; et Harry se mit à pleurer, car il savait que rien ne pourrait jamais revenir, lui encore moins que tout le reste.
Le ciel était totalement noir et les étoiles apparaissaient lorsqu'ils eurent fini de négocier avec la circulation hivernale de la ville universitaire qu'était d'Oxford et qu'ils se garèrent dans l'allée de la petite et vieille maison à l'air minable que leur famille utilisait pour garder les livres à l'abri de la pluie.
En marchant sur le petit bout de chaussée qui menait à la porte principale, ils dépassèrent une série de pots de fleur qui contenaient de petites lumières électriques tamisées (tamisée car elles devaient se recharger à l'énergie solaire pendant la journée), et elles s'intensifièrent à leur approche. Le plus difficile avait été de trouver des détecteurs de mouvement imperméables qui se déclenchaient exactement à la bonne distance...
À Poudlard, il y avait de véritables torches qui faisaient ça.
Et la porte d'entrée s'ouvrit alors et Harry entra dans leur salon, clignant des yeux.
Chaque centimètre d'espace mural est couvert par des bibliothèques. Chacune a six étages et atteint presque le plafond. Certains étages sont remplis à ras bord de livres grand format : science, mathématiques, histoire et tout le reste. D'autres étages ont deux rangées de livres de science-fiction brochés, avec la rangée arrière surélevée grâce à de vieilles boîtes à mouchoirs ou des planches de bois, afin que l'on puisse la voir au-dessus de la rangée avant. Et ça ne suffit pas. Les livres débordent des tables et des sofas et forment de petits monticules sous les fenêtres.
La maisonnée Verres était telle qu'il l'avait laissée, mais avec plus de livres, et cétait aussi comme ça qu'il l'avait laissée.
Et un arbre de Noël, nu, sans décoration, juste deux jours avant le réveillon, ce qui déboussola brièvement Harry avant qu'il ne comprenne, avec une chaleur naissant dans sa poitrine, que ses parents avaient bien sûr attendu .
"Nous avons sorti le lit de ta chambre pour faire de la place pour d'autres bibliothèques," dit son père. "Tu peux dormir dans ta malle, non ?"
" Tu peux dormir dans ma malle," dit Harry.
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