AdrienH - Harry Potter et les Méthodes de la Rationalité
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- Название:Harry Potter et les Méthodes de la Rationalité
- Автор:
- Издательство:FanFiction.net
- Жанр:
- Год:2013
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"Directrice Adjointe Professeur McGonagall," dit Harry, posant fermement ses mains sur ses hanches. "Je ne vais pas aller à Gryffondor -"
À cet instant, McGonagall glissa quelque chose au sujet du fait que si il y allait, elle découvrirait comment on s'y prend pour tuer des chapeaux, une remarque étrange que Harry laissa passer sans commentaire, bien que la vendeuse sembla être prise d'une soudaine crise de toux.
"- Je vais aller à Serdaigle. Et si vous pensez vraiment que je prévois de faire quelque chose de dangereux, alors, avec tout mon respect, vous ne me comprenez pas du tout . Je n' aime pas le danger, ça me fait peur . Je suis prudent . Je suis précautionneux . Je me prépare à des contingences imprévues . Comme mes parents me chantonnaient : Soyez prêts ! C'est la chanson de marche des Scouts, soyez prêts ! Comme on marche dans la vie ! Pas nerveux, pas énervé, pas effrayé, soyez prêt !"
(Les parents de Harry n'avaient de fait chanté que ces vers là de la chanson de Tom Lehrer, et Harry vivait dans l'heureuse ignorance du reste de cette chanson.)
La posture de McGonagall s'était légèrement adoucie - surtout quand Harry lui avait rappelé qu'il se rendait à Serdaigle. "A quelle sorte de contingence imaginez-vous que ce kit vous prépare, jeune homme ?"
"L'un de mes camarades de classe se fait mordre par un horrible monstre, et alors que je fouille frénétiquement dans ma bourse en peau de Moke à la recherche de quelque chose qui pourrait l'aider, elle me regarde avec tristesse, et dans son dernier souffle me dit : " Pourquoi n'étais tu pas prêt ? " Puis elle meurt, et je sais, alors que ses yeux se ferment, qu'elle ne me pardonnera jamais -"
Harry entendit la vendeuse manquer d'air ; il leva les yeux et la vit, les yeux braqués sur lui, ses lèvres fermement serrées. Puis la jeune femme fit un demi-tour et fuit vers le fond du magasin.
Quoi...?
Le Professeur McGonagall prit les mains de Harry dans les siennes, gentiment mais très fermement, et tira Harry jusqu'à la rue principale du Chemin de Traverse, le menant dans une ruelle située entre deux magasins qui était pavée de briques sales et se terminait par un cul-de-sac de terre noire et compacte.
La grande sorcière pointa sa baguette en direction de la rue principale et dit : " Sourdinam" , et un écran de silence s'abattit autour d'eux, bloquant les bruits de la rue.
Qu'est-ce que j'ai fait de mal...
Puis la sorcière se tourna et envoya à Harry un regard glacé pleine puissance. "Je vous serai reconnaissante de vous rappeler, M. Potter, qu'il y avait une guerre dans l'Angleterre magique il n'y a pas dix ans et que tout le monde ici a perdu quelqu'un et que parler d'amis mourants dans vos bras n'est pas, quelque chose, qui se fait ! "
"Je, je ne voulais pas -" La conclusion tomba comme une pierre dans l'imagination exceptionellement visuelle de Harry. La guerre avait pris fin dix ans auparavant, donc cette fille avait eu huit ou neuf ans tout au plus quand, quand, "Je suis désolé, je ne voulais pas..." Harry s'étrangla, et se détourna du regard froid de McGonagall, mais il y avait un mur de terre en travers de son chemin et il n'avait pas encore sa baguette magique. "Je suis désolé, je suis désolé, je suis désolé !"
Un lourd soupir s'éleva de derrière lui. "Je sais que vous l'êtes, M. Potter."
Harry osa jeter un coup d'oeil derrière lui. La colère avait quitté le visage du Professeur McGonagall. "Je suis désolé," dit à nouveau Harry, se sentant l'être le plus misérable du monde. "Je n'aurais pas dû dire ça. Est-ce que quelque chose v-" et Harry ferma ses lèvres et se plaqua la main sur la bouche pour faire bonne mesure.
La visage de McGonagall devint un peu plus triste. "Vous devez apprendre à penser avant de parler, M. Potter. Sinon vous traverserez l'existence avec bien peu d'amis. Ça a été le sort de bien des Serdaigles, et j'espère que ce ne sera pas le vôtre."
Harry voulait juste s'enfuir en courant. Il voulait faire jaillir une baguette et effacer toute l'histoire de la mémoire de McGonagall, être à nouveau avec elle devant le magasin, faire que ça n'ait pas eu lieu .
"Mais pour répondre à votre question," dit McGonagall, "non, rien de tel ne m'est jamais arrivé." Son visage prit une étrange expression. "J'ai certainement vu un ami exhaler son dernier souffre, une fois ou deux, voir plus. Mais aucun d'entre ne m'a jamais maudit alors qu'il trépassait, et je n'ai jamais pensé qu'ils ne me pardonneraient pas. Par Merlin, Harry Potter, qu'est ce qui a pu vous posséder pour vous pousser à dire une chose pareille ? Pourquoi même y penseriez -vous ?"
Des larmes coulaient le long des joues de Harry. "Je suis désolé, je n'aurais jamais rien dû dire, je suis désolé -"
McGonagall prit une courte inspiration. "Je sais que vous êtes désolé. Ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi un enfant de onze ans pense à ces choses-là. Avez-vous vraiment décidé d'acheter un kit de soin à cinq Gallions pour le transporter dans une bourse à quinze Gallions parce que vous êtes convaincu qu'autrement vos camarades de classes vont vous maudire en mourant ?"
"Je, je , je," Harry avala sa salive. "C'est juste que j'essaie toujours d'imaginer la pire chose qui puisse arriver," et peut-être qu'il avait aussi voulu blaguer un peu mais il aurait plutôt mordu sa langue que de dire ça maintenant.
" Pourquoi ?"
"Pour que je puisse empêcher que ça ait lieu !"
"M. Potter..." la voix de McGonagall s'effaça. Puis elle soupira, et s'accroupit à côté de lui. "M. Potter," dit-elle, gentiment cette fois, "ce n'est pas votre responsabilité que de prendre soin des étudiants de Poudlard. C'est la mienne. Je ne laisserai rien vous arriver, ni à qui que ce soit d'autre. Poudlard est l'endroit le plus sûr de toute l'Angleterre magique, et madame Pomfrey a un cabinet de guérisseur complet. Vous n'avez pas besoin d'un kit de soin."
"Mais si !" éclata Harry. " Aucun endroit n'est parfaitement sûr ! Et si mes parents avaient une crise cardiaque ou un accident quand je rentrais à Noël - Madame Pomfrey ne serait pas là, j'aurais besoin d'avoir mon propre kit de soin -"
"Par Merlin, qu'est-ce qui ..." dit McGonagall. Elle se leva, et regarda Harry avec une expression divisée entre la préoccupation et l'irritation. "Il n'y a aucun besoin de penser à des choses aussi terribles M. Potter !"
Lorsqu'il entendit ça, l'expression de Harry devint amère. "Si, il y en a ! Si vous n'y pensez pas, vous vous faites mal, ou vous faites mal aux autres !"
Le Professeur McGonagall ouvrit sa bouche, puis la ferma. Elle frotta l'arête de son nez avec un air pensif. "M. Potter... si je vous offrais de rester silencieuse et de vous écouter un moment... y a-t-il quelque chose dont vous voudriez me parler ?"
"A propos de quoi ?"
"A propos de la raison pour laquelle vous êtes convaincu que vous devez toujours être sur vos gardes contre les terribles choses qui pourraient vous arriver."
Harry la fixa, perplexe. C'était un axiome qui allait de soi. "Eh bien..." dit lentement Harry. Il essaya d'organiser ses pensées. Comment pouvait -il l'expliquer de lui-même à McGonagall, si elle ne connaissait même pas les bases ?
"Les chercheurs Moldus ont découvert que les gens sont toujours très optimistes, par exemple ils disent que quelque chose va prendre deux jours et ça en prend dix, ou ils disent que ça va prendre deux mois et ça prend trente-cinq ans. Par exemple, ils ont demandé à des étudiants les durées maximums avant lesquelles ils étaient sûrs à 50%, 75% et 99% qu'ils auraient terminé leurs devoirs, et seuls 13%, 19% et 45% des étudiants ont terminé dans les temps qu'ils avaient donné. Et les chercheurs se sont rendu compte que c'était parce que lorsqu'on demande aux gens leur estimation dans le meilleur des cas possible, si tout allait le mieux possible, et leur estimation dans le cas moyen, si tout se passe normalement, on reçoit des réponses qui sont statistiquement indistinguables. Vous voyez, si vous demandez à quelqu'un ce à quoi il s'attend dans le cas normal , il visualise ce qui semble être le plus probable à chaque étape du parcours - c'est à dire, que tout se déroule parfaitement, sans erreurs ou surprises. Mais en réalité, puisque plus de la moitié des étudiants n'ont pas fini dans le temps où ils étaient certains à 99% d'avoir fini, ça veut dire que la réalité est généralement légèrement pire que le 'pire des cas possibles'. C'est ce qu'on appelle l' illusion de la planification , et la meilleure façon de la dissiper est de vous demander combien de temps vous avez mis à faire quelque chose la dernière fois que vous l'avez essayée. C'est ce qu'on appelle utiliser le point de vue extérieur au lieu du point de vue intérieur. Mais quand vous faites quelque chose de nouveau, et que vous ne pouvez pas utiliser cette méthode, vous devez juste être vraiment, vraiment, vraiment pessimiste. En gros, tellement pessimiste que la réalité finit par être meilleure que ce à quoi vous vous attendiez environ aussi souvent qu'elle finit par être pire. C'est vraiment très dur d'être tellement pessimiste qu'on se retrouve avec de bonnes chances sous-estimer la réalité. Par exemple si je faisais un gros effort pour être morbide et que j'imaginais qu'un de mes camarades se faisait mordre, mais que ce qui se passait réellement c'était que les Mangemorts survivants attaquaient l'école entière pour m'avoir. Mais le bon côté des choses c'est que -"
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