Margaret Weis - Dragons d'un crépuscule d'automne

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Dragons d'un crépuscule d'automne: краткое содержание, описание и аннотация

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Les dragons vont-ils rayer Krynn de la carte ? D’urgence, une poignée de braves de réunissent sous le commandement de Tanis le demi-elfe : Caramon le guerrier, Raistlin le sorcier — son frère jumeau —, Sturm le chevalier, Flint Forgefeu le nain, Tass Racle-Pieds le kender : des noms qui resteront dans la mémoire ! Leur mission ? Ramener aux hommes le secret de l’antique Lancedragon, la seule arme capable de terrasser les monstres cracheurs de feu. Pour que s’épanouissent tous les êtres de bonne volonté.

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— Tu pourrais détruire les Anneaux, suggéra le draconien avec témérité.

— Imbécile, tu crois que je n’ai pas essayé ? marmonna Khisanth. Non, rester ici plus longtemps devient trop dangereux. Si les intrus connaissent ce secret, d’autres doivent le connaître aussi. Il faut mettre les Anneaux en lieu sûr. Tu vas informer Verminaar que je quitte Xak Tsaroth. Je vais le rejoindre à Pax Tharkas et j’emmènerai les étrangers avec moi pour les interroger.

Informer le seigneur Verminaar ? demanda le draconien, outré.

— Très bien, répondit Khisanth sur un ton sarcastique, puisque tu tiens aux formes, c’est toi qui demandera la permission pour moi à mon seigneur… J’ose espérer que tu as envoyé le gros des troupes là-haut ?

— Oui, mon roi, dit le draconien en s’inclinant.

— Tu n’es peut-être pas si bête que ça, concéda le dragon. Je m’occupe de ce qui se passe en bas. Toi, concentre-toi sur le haut de la ville. Dès que tu auras mis la main sur nos visiteurs, amène-les-moi. Maîtrisez-les sans leur faire trop de mal, et prenez soin du bâton !

Le draconien mit un genou en terre devant le dragon, qui fronça dédaigneusement les narines et s’en retourna d’où il était venu.

Boupou insista pour que la troupe se remette en route. Ils laissèrent la rivière derrière eux et pénétrèrent dans un nouveau quartier en ruine. Cette partie de la ville avait sans doute toujours été la plus pauvre ; ses bâtiments en étaient au dernier stade de la décrépitude. Là, saisis d’une soudaine allégresse, les nains des ravins dévalèrent la rue en braillant à tue-tête.

Trouvant ce tapage alarmant, Sturm fit part de ses craintes à Tanis.

— Ne crois-tu pas qu’ils devraient faire moins de bruit ? demanda le demi-elfe à Boupou. Les draconiens…, les patrons risquent de nous repérer…

Boupou haussa les épaules.

— Les patrons viennent jamais… Peur du Grand Bulp.

Dans les rues jonchées de détritus, des Aghars de tous âges sortaient des maisons délabrées pour observer avec curiosité les nouveaux venus. Visiblement, les draconiens ne s’aventuraient pas dans ces quartiers où vivaient les nains, beaucoup plus nombreux qu’eux.

Les draconiens ont subtilement raisonné, en laissant leurs esclaves vivre tranquillement dans leurs taudis… tant qu’ils ne font pas d’histoires, songea Tanis.

Mais les nains des ravins, bien que couards, devenaient de redoutables combattants quand on les poussait dans leurs derniers retranchements.

Boupou fit arrêter le groupe devant la ruelle la plus sordide que Tanis eût jamais vue. Soudain, des petites bêtes noirâtres s’égaillèrent dans la ruelle, poursuivies par des enfants.

— Miam-miam ! cria un gosse, les yeux brillants de convoitise.

— Mais ce sont des rats ! s’exclama Lunedor, horrifiée.

— Faut-il vraiment que nous entrions dans ce cloaque ? interrogea Sturm.

— L’odeur seule suffirait à tuer un troll, ajouta Caramon. Plutôt mourir entre les griffes du dragon que recevoir ces baraques sur la tête.

— Le Grand Bulp, dit Boupou en montrant la maison la plus délabrée de la rue.

La ruelle faisait un coude et se terminait en cul-de-sac. Ils se trouvèrent devant un mur de briques, cernés par les nains des ravins qui sautillaient autour d’eux.

— C’est un traquenard ! cria Sturm en brandissant son épée.

Caramon manifesta sa désapprobation par des grognements rauques. Les nains des ravins, terrifiés par la lame qui étincelait devant eux, reculèrent en se bousculant et prirent la fuite.

Boupou toisa Caramon et Sturm d’un air écœuré, puis s’adressa à Raistlin.

— Dis-leur d’arrêter, dit-elle en désignant les guerriers, sinon je ne vous présenterai pas au Grand Bulp !

— Rengaine ton épée, chevalier, siffla Raistlin, à moins que tu aies trouvé un ennemi à ta hauteur ?

Sturm fusilla le mage du regard, mais rangea son arme.

— J’aimerais savoir quel jeu tu joues, magicien, dit-il froidement. Tu étais bien pressé de venir dans cette ville, alors que nous ignorions encore l’existence des Anneaux. Pour quelle raison ? Que cherches-tu, au juste ?

Raistlin s’abstint de répondre, se contentant de darder avec hostilité ses étranges yeux dorés sur le chevalier.

— Ils ne t’embêteront plus, petite, dit-il à Boupou.

La naine s’assura qu’ils étaient bien calmés, et se tourna vers le mur, où elle frappa deux fois du poing.

— Entrée secrète, dit-elle, gonflée d’importance.

Deux coups lui répondirent.

— C’est le signal. Trois coups. Ils vont ouvrir.

— Mais elle n’a frappé que deux fois, dit Tass en gloussant de rire.

Boupou lui jeta un regard noir.

— Chut ! ordonna Tanis au kender.

Il ne se passa rien. Boupou, perplexe, frappa de nouveau deux fois. Deux coups lui répondirent. Caramon, les yeux fixés sur le bout de la ruelle, commençait à danser d’un pied sur l’autre.

Finalement, Boupou se mit à crier :

— J’ai frappé le code secret ! Ouvrez !

— Code secret, cinq coups ! grogna une voix.

— J’ai frappé quatre coups ! vociféra Boupou. Ouvrez !

— Tu as frappé six coups ! dit la voix.

— Elle a frappé huit coups ! dit une autre voix.

Sans crier gare, Boupou poussa la porte à deux mains. Elle s’ouvrit sans résistance.

— J’ai frappé quatre coups, tu nous laisses entrer ! dit-elle en brandissant le poing.

— D’accord.

Pour éviter un nouvel incident et une inutile perte de temps, Tanis tenait le kender à l’œil. Tass étouffait de rires contenus.

— Nous venons voir le Grand Bulp ! annonça Boupou d’un air hautain.

Avisant le géant Caramon et le très grand Rivebise, le garde sursauta. Il considéra cet ensemble de créatures aux dimensions fantastiques et recula, puis partit en courant.

— Une armée ! C’est une armée qui arrive !

— Peuh ! Ce sont des Truds, laissa tomber Boupou. Allez ! Voir le Grand Bulp !

Les compagnons entendirent l’écho des cris du garde :

— Une armée de géants ! Sauvez le Grand Bulp !

Le Grand Bulp, Phulge 1 er, était un nain des ravins comme les autres. Il passait pour presque intelligent, fabuleusement riche, et particulièrement poltron. Les Bulps étaient le clan d’élite de Xak Tsaroth, depuis que Nulph Bulp, il y a fort longtemps, était tombé dans un puits un soir de beuverie, et avait ainsi découvert par hasard la cité. Les Bulps s’y étaient promptement installés, et au bout de quelques années, avaient gracieusement autorisé les clans Sluds et Truds à venir les rejoindre.

Les nains menaient une paisible existence dans la cité en ruine. Le monde extérieur ne se souciait pas d’eux. Les Bulps n’eurent aucun problème à maintenir leur domination sur les autres clans. Un autre Bulp, du nom de Glungou, doté d’une riche imagination scientifique (des mauvaises langues du clan Slud murmuraient que sa mère était une gnome), inventa le monte-charge à partir de deux grosses marmites servant à faire fondre le saindoux. Glungou Bulp devint un héros, et fut proclamé Grand Bulp à l’unanimité. Depuis lors, la souveraineté sur les clans demeura le privilège des Bulps.

Les années passèrent. Soudain, le monde extérieur s’intéressa à Xak Tsaroth. L’arrivée du dragon et de ses draconiens mit fin à la paisible existence des nains des ravins. Les nouveaux venus voulurent se débarrasser de cette engeance pouilleuse, mais le grand Phulge se traîna à leurs pieds, se prosternant de façon si servile que les draconiens se laissèrent fléchir et se contentèrent de les réduire en esclavage. Pour la première fois, les nains durent travailler.

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