Margaret Weis - Dragons d'une aube de printemps

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Dragons d'une aube de printemps: краткое содержание, описание и аннотация

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Alors que s’est éteint le coeur de l’Étoile de Diamant, et avec lui celui de l’héroique Sturm, les compagnons poursuivent inlassablement leur quête. Mûris par les joies et les peines, ils voient se lever l’aube du jour où la vie et la mort joueront le dernier acte de la pièce. L’enjeu, c’est l’avenir du monde ! Ils ont tout fait pour se procurer les armes du destin ; mais ce qu'il leur faut surtout, c’est une foi aveugle en l’amitié. Car les dragons, menés par la terrible Dame Noire, ne sont plus qu’à un battement d’ailes du triomphe.

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Dans les battements de leurs ailes argentées qui illuminaient l’aube, les dragons se posèrent aux abords de la cité de Palanthas. La ville entière se précipita sur les remparts pour admirer les magnifiques créatures.

La population avait d’abord protesté contre ces immenses animaux qui lui faisaient peur. Laurana avait assuré, en vain, qu’ils n’étaient pas méchants. Alors Astinus en personne avait quitté sa bibliothèque pour informer le seigneur Amothus que ces dragons-là ne feraient aucun mal. Non sans réticence, les gens avaient fini par baisser leurs armes.

Jusque-là, le peuple ne croyait pas aux dragons. Très vite, Laurana comprit qu’il acceptait tout ce que disait Astinus, quoi qu’il raconte.

Les habitants de Palanthas commencèrent à apprécier les dragons quand ils virent Laurana franchir les portes pour aller à leur rencontre, puis tomber dans les bras d’un de leurs cavaliers.

— Qui est cet homme ? Qui nous a envoyé les dragons ? Pourquoi se sont-ils dérangés ?

Penchés sur les remparts, les gens se bousculaient en s’interrogeant mutuellement.

Tandis que Laurana accueillait le premier cavalier, une femme aux cheveux d’argent descendit de son dragon. Laurana l’embrassa aussi. Ensuite, à la stupéfaction générale, Astinus les emmena tous trois dans la bibliothèque. Les Esthètes refermèrent aussitôt les portes sur eux.

Jetant des coups d’œil méfiants aux dragons postés devant les remparts, le peuple continua à se poser des questions.

Soudain les cloches se remirent à carillonner. Le seigneur Amothus convoquait la population. Tout le monde quitta les remparts pour s’entasser sur la grand-place du palais.

Amothus apparut au balcon pour répondre aux questions.

— Ce sont des dragons d’argent, cria-t-il, qui viennent de se joindre à nous pour combattre les mauvais dragons, comme dans la légende de Huma. Ils ont été conduits jusqu’ici par…

Des cris de joie et des vivats avaient éclaté en salves tonitruantes. Les cloches s’étaient remises à sonner. Les gens affluèrent dans les rues en dansant et chantant. Après cet essai infructueux, le seigneur renonça à son discours. Il décréta un jour férié et rentra dans son palais.

Ce qui suit est un extrait de « Chroniques, une histoire de krynn », rapporté par astinus de Palanthas. Le passage est répertorié sous le titre : « le serment des dragons ».

En écrivant ces mots, moi Astinus, je suis en face du seigneur elfe Gilthanas, le fils cadet de Solostaran, Orateur du Soleil, et seigneur du Qualinesti. Gilthanas ressemble beaucoup à sa sœur Laurana. Tous deux ont les traits délicats et sans âge qui caractérisent les elfes. Mais ils sont différents de leurs congénères, car ils portent la marque d’une tristesse étrangère aux autres elfes de Krynn. Je crains qu’avant la fin de la guerre, nombreux soient leurs semblables dont le visage affichera cette expression. Ce n’est peut-être pas une mauvaise chose, car ils apprendront ainsi qu’ils font partie du monde, et qu'ils ne sont pas au-dessus de lui.

D’un côté de Gilthanas est assise sa sœur, de l’autre une des plus belles créatures que j’aie jamais vues sur Krynn. Elle n’est pas née d’une femme, elfe ou autre, car c’est un dragon d’argent, la sœur de la bête qu’aimait Huma, le premier Chevalier de Solamnie. Le destin de Silvara fut aussi de tomber amoureuse d’un mortel. Mais au contraire de Huma, Gilthanas n’accepte pas son destin. Il la regarde…, elle le regarde. Au lieu d’amour, je sens en lui une colère rentrée qui empoisonne lentement leurs cœurs.

Silvara parle. Sa voix est douce et chantante. La flamme des chandelles fait scintiller sa chevelure argentée et ses grands yeux bleu nuit.

Dans le monument au Dragon d’Argent, j’ai donné à Théros Féral le pouvoir de forger les Lancedragons, dit Silvara. Avant qu’ils emmènent les lances au Conseil de Blanchepierre, j’ai passé beaucoup de temps avec les compagnons. Je leur ai montré les peintures des Guerres Draconiennes où les bons dragons de bronze, d’argent et d’or combattaient les mauvais. « Où sont les bons dragons ? m’ont demandé les compagnons. Pourquoi ne nous aident-ils pas alors que nous en avons si cruellement besoin ? »

« J’ai éludé leurs questions aussi longtemps que j’ai pu…»

Silvara s’arrête et jette un regard plein d’amour à Gilthanas. Il détourne les yeux. Silvara pousse un soupir et continue son histoire :

Finalement, je n’ai pu résister à cette pression. Je leur ai parlé du Serment :

« Quand Takhisis, la Reine des Ténèbres, et ses mauvais dragons furent bannis, les bons dragons quittèrent le monde pour maintenir l’équilibre entre le Bien et le Mal. Venus de la terre, nous sommes retournés à la terre, pour y dormir d’un sommeil sans âge. Nous aurions pu rester au royaume des rêves, mais survint alors le Cataclysme qui ramena Takhisis dans le monde.

« Elle avait longuement préparé son retour, au cas où le destin lui en fournirait l’occasion. Avant que Paladine puisse réagir, Takhisis tira ses dragons de leur sommeil et leur ordonna de retrouver les œufs des bons dragons cachés dans les endroits les plus secrets de la terre…

« Les mauvais dragons emmenèrent leur prise à la cité de Sanxion, où se constituaient les bataillons draconiens. C’est là, dans les Volcans de la Fatalité, que les œufs des bons dragons furent cachés.

« Le chagrin des bons dragons, quand Paladine leur apprit ce qui était arrivé, fut immense. Ils allèrent voir Takhisis pour négocier la rançon de leur progéniture. Le prix était exorbitant. Takhisis exigeait d’eux un serment. Tous durent jurer qu’ils ne s’engageraient pas dans la bataille qu’elle livrerait à Krynn. Lors de la dernière guerre, ils avaient été l’instrument de sa défaite. Cette fois, elle entendait s’assurer qu’ils ne s’en mêleraient pas. »

Silvara cherche mon regard comme si elle attendait un assentiment ou une critique. Mais je ne bronche pas. Loin de moi l’idée de porter un jugement sur quelqu’un. Je suis historien.

Elle reprend son récit :

Quel choix avions-nous ? Takhisis voulait tuer nos enfants, sauf si nous prêtions serment. Paladine ne pouvait rien pour nous. Il fallait nous décider…

Silvara baisse la tête. Ses cheveux masquent son visage. Sa voix, secouée de sanglots retenus, devient à peine audible :

Nous avons prêté serment.

À l’évidence, elle n’arrive pas à poursuivre. Gilthanas la regarde un moment, puis il prend la parole d’une voix enrouée :

Théros, ma sœur et moi avons persuadé Silvara que ce serment était une erreur. Il devait exister un moyen de sauver les œufs. Peut-être pouvait-on les voler. Silvara n’était pas convaincue, mais elle finit par accepter de m’emmener à Sanxion pour voir si ce plan était réalisable.

« Notre voyage fut long et pénible. Un autre jour, je parlerai des dangers que nous avons affrontés, mais aujourd’hui, nous avons trop peu de temps. Les armées draconiennes se regroupent. Nous pouvons les surprendre, si nous attaquons sans tarder. Je vois bien que Laurana brûle d’impatience d’attaquer. Je finirai donc rapidement mon histoire.

« Silvara, sous sa forme elfe, précise-t-il avec une note d’indicible amertume, et moi avons étés faits prisonniers devant Sanxion par un seigneur draconien, Akarias. Le seigneur Verminaard était un ange, comparé à cet homme. Sa méchanceté est incommensurable. Aussi intelligent que cruel, il contrôle l’armée draconienne, qu’il conduit de victoire en victoire.

« Je ne veux et ne peux pas décrire ce qu’il nous a fait subir…»

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