Harry Harrison - Le monde de la mort

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Joueur professionnel, Jason dinAlt ne se sent vivre que dans le défi. Alors, quand on lui offre de gagner aux dés trois mille millions d'unités galactiques, il ne résiste pas. Qu'im-porte si la partie achevée — qu'elle soit gagnée ou perdue — sa vie doit être en danger...
Il gagne et relève aussitôt un nou-veau défi : affronter la planète Pyrrus, appelée aussi le Monde de la Mort.
Tout sur Pyrrus est hostile à l'hom-me: la plus délicate des fleurs est poison, les cailloux sont meurtriers, chaque insecte est mortel. Et dès l'âge de six ans les enfants sont adultes, prêts au combat. Les autres ont été éliminés.
Pour Jason, c'est la plus formidable partie de sa carrière : il joue sa vie contre le sort de toute une planète.

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Une vague de murmures courut dans la foule. Jason leva la main pour obtenir le silence.

— Je sais que cela paraît impossible, mais laissez-moi m’expliquer. Il faut faire quelque chose et c’est le moment d’agir. La situation ne peut à présent qu’empirer. Les hommes de la cité peuvent se débrouiller sans votre nourriture, mais ils vont se retourner contre vous de toutes les façons possibles. Plus de métaux pour vos outils ou de pièces pour vos appareils électroniques. Leur haine leur fera probablement rechercher vos fermes et les raser à partir du vaisseau. Et il y a pire. Ils perdent la guerre contre la planète et ils sont moins nombreux d’année en année. Les connaissant, je suis certain qu’ils détruiront le vaisseau et même toute la planète si c’est possible.

— Comment pouvons-nous les arrêter ? Cria quelqu’un.

— En attaquant maintenant, répondit Jason. Je connais tous les détails de l’organisation du réseau de défense. Leur périmètre n’est conçu que pour les protéger des attaques animales, mais nous pourrons le traverser si nous le voulons vraiment.

— Où cela nous mène-t-il ? Coupa Rhes. Nous passons le périmètre et ils se retirent. Puis ils contre-attaquent en force. Comment tenir contre leurs armes ?

— Nous n’aurons pas à le faire. Leur aire d’envol touche au périmètre, et je connais le point exact où le vaisseau est posé. Nous passerons à cet endroit. Il n’y a pas de véritable garde sur le vaisseau et il y a peu de monde dans cette zone. Nous nous emparerons du vaisseau. Que nous puissions ou non le piloter est sans importance. Celui qui a le vaisseau commande Pyrrus tout entier. Et nous les menacerons de détruire le vaisseau s’ils n’acceptent pas nos conditions. Ils auront le choix entre le suicide général et la coopération. J’espère qu’ils choisiront de coopérer.

Ses mots les laissèrent silencieux pendant un moment, puis ils se mirent à parler tous ensemble.

— Du calme ! Cria Rhes. Attendez que Jason ait fini avant de décider. Nous ne savons toujours pas comment il se propose de réaliser cette invasion.

— Ce que j’ai en tête dépend des parleurs, répondit Jason. Naxa est-il ici ? (Celui-ci fendit la foule jusqu’au premier rang.) J’ai besoin d’en savoir plus long sur les parleurs, Naxa. Je sais que vous pouvez parler aux doryms et aux chiens. Mais les bêtes sauvages ? Pouvez-vous leur faire faire ce que vous voulez ?

— Ce sont des animaux. Bien sûr, on peut leur parler. Plus y’a de parleurs, plus y’a de puissance. Y font exactement ce qu’on leur dit.

— Alors l’attaque doit marcher. (Jason s’excitait à son tour.) Pouvez-vous réunir les parleurs d’un seul côté de la cité – le côté opposé à l’aire d’envol – et exciter les animaux ? Leur faire attaquer le périmètre ?

— Bien sûr ! Cria Naxa, enthousiasmé par cette idée. Nous pourrions amener des animaux de toutes parts, provoquer la plus grande attaque qu’ils aient jamais vue !

— Alors, ça va. Les parleurs suscitent une attaque sur le côté opposé du périmètre. Si vous restez cachés, les gardes penseront que c’est un nouvel assaut des animaux. Je sais comment ils font. Pendant que la lutte s’engage, ils ont recours aux réserves et appellent les hommes des autres zones du périmètre. Au plus fort de la bataille, je prendrai la tête de l’attaque qui forcera le périmètre et capturera le vaisseau.

Il se laissa retomber, épuisé. Il écouta le débat, conduit par Rhes, et les questions et réponses qui alternèrent. Personne ne trouva de faille fondamentale dans le plan, même s’il restait plusieurs points d’interrogation. Ils se séparèrent bientôt et Rhes revint près de Jason.

— Ils sont tous d’accord. Nous avons envoyé des messages à tous les parleurs. Ils sont l’atout principal de votre plan et plus nous en aurons, mieux cela vaudra. Nous ne voulons pas utiliser les interphones, l’ennemi pourrait intercepter les ordres. Il nous faut cinq jours pour être prêts.

— Il m’en faudrait plus pour retrouver toutes mes forces, soupira Jason.

26

— C’est étrange, dit Jason. Je n’avais jamais bien vu le périmètre de l’extérieur. Repoussant est le seul mot qui convienne.

Il se trouvait à plat ventre à côté de Rhes, et tous deux étaient enveloppés de lourdes fourrures malgré la chaleur, avec des jambières et des gants de cuir épais. Devant eux, entouré d’un couloir brûlé, s’élevait le périmètre.

Un mur de hauteur inégale, apparemment composé de tout ce qui était tombé sous la main des citadins. De la mauvaise maçonnerie voisinait avec des entrelacs de poutres, des plaques blindées et rivetées, des sacs de sable éventrés et Dieu sait quoi encore. Des câbles de détection et des fils électrifiés pendaient sur toute sa surface. À intervalles irréguliers, des lance-flammes pointaient leur museau par-dessus le parapet et balayaient la base du mur, brûlant toute vie qui approchait de trop près.

— Ces lance-flammes peuvent nous causer des ennuis, dit Rhes. Il y en a un qui couvre l’endroit où vous voulez passer.

— Aucun problème, le rassura Jason. Il est suffisant pour tromper les animaux, mais n’a pas été prévu pour des hommes. Il tire à intervalles réguliers. Regardez : toutes les deux, puis quatre, puis trois minutes, puis toutes les minutes.

Ils retournèrent en rampant rejoindre Naxa et les autres. Le groupe comprenait trente hommes. Ils devaient être rapides et peu nombreux, car leur arme principale était la surprise. Ils semblaient tous peu à l’aise dans leurs fourrures et quelques-uns d’entre eux les avaient délacées pour se rafraîchir.

— Refermez vos fourrures, ordonna Jason. Vous n’avez aucune idée du danger qui vous entoure. En dehors des animaux, les épines des plantes et même les brins d’herbe sont empoisonnés.

— Il a raison, grogna Naxa. Je ne me suis jamais approché aussi près moi-même. La mort, la mort entoure ce mur. Faites ce qu’il dit.

Ils attendirent nerveusement. Seul Naxa restait calmement assis, les yeux dans le vague, cherchant à sentir les mouvements des animaux, dans la jungle qui les environnait.

— Ils sont en route, dit-il. Jamais rien entendu d’aussi énorme.

Jason en avait conscience en partie. Une tension dans l’air et une vague intense de colère et de haine.

Les parleurs lui avaient assuré qu’ils pourraient concentrer l’attaque sur une petite zone et ils étaient partis le matin, rabattant toute la vie pyrrusienne contre la cité.

— Ils y sont, dit soudain Naxa.

Les hommes se levèrent, regardant vers la ville. Ils entendirent le bruit des coups de feu et des explosions dans le lointain. De minces bandes de fumée s’élevèrent au-dessus des arbres.

— Mettons-nous en place, dit Rhes.

— Ces sales bêtes me font mal au crâne, murmura Naxa. On y va ?

— Pas encore, répondit Rhes. Nous attendons le signal.

L’un des hommes transportait la radio. Il l’installa soigneusement, fit passer l’antenne par-dessus une branche et tourna le bouton. Seul un crachotement se fit entendre dans le haut-parleur.

— Nous aurions pu nous minuter…, commença Rhes.

— Non, répondit Jason. Pas assez précis. Nous devons attaquer le mur au plus fort de la lutte, quand nos chances seront les meilleures. Et quelques minutes de plus n’ont aucune importance.

Le bruit du haut-parleur changea. Une voix fit entendre une phrase courte et se tut.

Envoyez trois sacs de farine.

— Allons-y, ordonna Rhes en se jetant en avant.

Jason le retint par le bras.

— Attendez. Je chronomètre le lance-flammes. Il doit cracher… maintenant !

Une langue de feu arrosa le sol puis disparut.

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