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Ben Bova: Colonie 2

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Ben Bova Colonie 2

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«Né » en laboratoire sur David est parti vers la Terre, prêt à tout pour sauver la planète menacée, pour sauver ses frères humains. Déjà la Terre est à feu et à sang, le Front Révolutionnaire des Peuples frappe partout, la navette spatiale de David est détournée… et il se retrouve dans une région perdue de l'Argentine. Vers lui le hasard a conduit Bahjat, une jeune Irakienne, membre du F.R.P. Durant leur marche héroïque, une tendresse naît, qui n'empêche pas Bahjat de livrer David au chef de Front, à New York. Maître de la Terre, le F.R.P. veut plus : conquérir source de toutes les énergies. Dans le vaisseau qui fonce vers sa patrie, David, gardé en otage, imagine une riposte. D'une perfection technologique sans pitié. Bahjat périrait... Il y va de la suivie espoir et avenir de l'homme !

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Le gouvernement indien fit le mort. Venir au secours de la compagnie aurait été courir au suicide, politiquement parlant. Et même quand le Gouvernement mondial essaya d’intervenir, ses représentants furent malmenés, menacés et un ou deux furent enlevés et assassinés. Dans des conditions effrayantes.

Tout cela à cause d’une rumeur absurde…

Cyrus S. Cobb, Enregistrement en vue d’une autobiographie officieuse.

La route la plus rapide, la plus facile et la plus logique pour quitter le territoire argentin était celle de l’est qui conduisait vers la façade maritime du pays. Là, il y avait des villes, des ports et des aéroports d’où l’on pouvait soit gagner le Brésil et, de là, les États-Unis, soit se rendre en Afrique ou en Europe en traversant l’Atlantique.

C’est la raison pour laquelle David et Bahjat prirent la direction de l’ouest en s’enfonçant à l’intérieur à destination des montagnes escarpées séparant l’Argentine du Chili.

Ils n’avaient pas eu le choix, en premier lieu. Tapis au milieu des caisses de mobilier qui remplissaient la remorque où ils s’étaient subrepticement introduits, ils étaient bien forcés d’aller là où le camion les amenait. Bahjat, terrassée par la fièvre, dormit presque tout le temps.

Le camion s’arrêta finalement à Santa Rosa. David plaqua sa main sur la bouche de sa compagne assoupie pour étouffer une éventuelle quinte de toux lorsque les deux camionneurs ouvrirent la porte arrière et sortirent le cyclo. Il entraperçut une rue étroite au macadam craquelé, envahie par les herbes folles et bordée de maisons basses de stuc ou de béton, délabrées et encrassées. Ce n’est pas encore le terminus, se dit-il.

Il entrebâilla les battants et vit les routiers entrer avec la bécane dans la cantina qui faisait le coin. À travers les vitres noircies, il vit aussi un petit bonhomme noiraud qui avait une tête de fouine accueillir les deux hommes. Le plus athlétique s’installa au bar après avoir posé le cyclo debout contre le mur tandis que son camarade disparaissait dans la pièce du fond avec le patron. Il en ressortit au bout d’un moment, l’air radieux, et offrit une tournée générale. Il y avait six consommateurs, des hommes à l’air fatigué, qui acceptèrent avec le sourire l’offre de boire un coup à l’œil.

David aida Bahjat à descendre et à franchir les quelques pas qui les séparaient de la cantina. Elle était si faible qu’il devait la soutenir.

— Où… qu’est-ce que vous voulez faire ?

— Êtes-vous en état de vidéophoner à vos amis du F.R.P. ? lui demanda-t-il.

Les quelques mètres qu’il fallait parcourir jusqu’au bistrot étaient aussi longs qu’un kilomètre. C’était le début de l’après-midi et la rue était déserte. Un chien aboyait quelque part mais, en dehors de cela, le silence était total.

— Oui, répondit Bahjat d’une voix vacillante. Mais comment ?

— Chut ! Laissez-moi faire.

Quand ils poussèrent l’antique porte battante, tout se figea dans la salle. Personne ne fit un mouvement. Les conversations s’interrompirent brusquement et tous les regards convergèrent sur le couple.

David, tenant Bahjat par le bras, alla droit au patron qui s’était rassis devant une table au fond.

— Je voudrais vous toucher deux mots. À propos d’un électrocyclo volé, commença-t-il.

L’autre paraissait perplexe. David voyait du coin de l’œil les deux camionneurs debout au comptoir. Ils avaient l’air terrifié.

— Allons par là.

Du menton, David désigna la porte de l’arrière-boutique.

Le cafetier se leva et y fit entrer les nouveaux venus. C’était une pièce minuscule aux murs nus couverts de graffiti et de dessins obscènes. Mais, comme David l’avait espéré, un vidéophone flambant neuf trônait sur la table bancale pleine d’estafilades.

Après avoir fait asseoir Bahjat, il se tourna vers le patron qui était resté planté sur le seuil. Glissant le pouce dans sa ceinture jusqu’à toucher la crosse de son automatique, il lui sourit.

— La bécane, vous pouvez la garder. Tout ce que nous voulons, c’est pouvoir nous servir de votre téléphone et ensuite, peut-être, trouver un moyen de transport.

Le cerveau de son interlocuteur tournait à plein régime, c’était visible.

— Bien sûr, monsieur, vous pouvez téléphoner gratis, répondit-il en anglais — un excellent anglais. Mais le transport… ça risque de vous coûter gros.

— Je comprends, acquiesça David.

Bahjat essaya de joindre Hamoud à la villa des hauts de Naples où il se cachait mais « Tigre » était trop prudent pour répondre personnellement à un appel imprévu et ce fut par un système de points de chute compliqué — elle vidéophona d’abord à un membre du Front à Cuba, puis à un autre au Mexique et, enfin, à Naples par satellite relais — qu’elle arriva à ses fins. Et même là, ce fut une jeune femme et non Hamoud qui apparut sur l’écran.

Bahjat, les joues enflammées, secouée de quintes de toux, la voix hachée, donna des instructions pour que la banque que le groupe utilisait en Italie effectue un virement de fonds à la succursale de Santa Rosa. Le cabaretier indiqua une somme, Bahjat lui en offrit la moitié et, en définitive, ils transigèrent aux trois quarts. L’Italienne s’absenta. Quand son image revint quelques instants plus tard, elle dit que c’était d’accord et elle coupa brutalement la communication.

Le patron servit à boire aux jeunes gens et chargea un commis de faire un saut à la banque automatique locale. Le virement serait enregistré en l’espace de quelques minutes : les transactions informatisées s’effectuaient aux vitesses électroniques tant que des êtres humains ne s’interposaient pas entre les ordinateurs.

— La jeune dame a besoin de voir un médecin, dit le patron tandis qu’ils attendaient le retour du commissionnaire.

— Oui, approuva David. Pouvons-nous en trouver un ici ?

L’homme à la tête de fouine haussa les épaules.

— Autrefois, il y avait une rue entière de docteurs. Mais, maintenant, Santa Rosa est une ville qui meurt. Il n’y a plus d’emplois et les docteurs sont partis. Il n’en reste plus qu’un mais il est dans la montagne au poste d’urgence. Ils ont l’épidémie, là-haut. Il vaut mieux que vous n’y alliez pas. C’est trop dangereux. La peste…

— Dans ce cas, où peut-elle se faire soigner ?

— Je vais m’en occuper. Et je ne vous demanderai pas un sou en plus, ajouta fièrement le troquet.

Bahjat sourit.

— La somme dont nous sommes convenus est-elle supérieure à ce que vous espériez ?

Il lui rendit son sourire.

— L’argent ne compte pas quand il s’agit de la santé d’une jeune dame aussi belle que vous.

Au même moment, le commissionnaire entra en trombe, la mine hilare. De chacune des poches de son jean étroitement moulant, il sortit une épaisse liasse de coupures.

— Ah ! fit le patron avec un soupir de satisfaction. Et ce sont des dollars internationaux ! Ça vaut beaucoup plus que les pesos argentins.

À présent que David et Bahjat s’étaient assuré son indéfectible amitié, il passa quelques coups de téléphone, après quoi il les conduisit en personne à bord d’un vieux break poussiéreux, mais dont le moteur tournait rond, jusqu’à la petite piste raboteuse de Santa Rosa où les attendait un petit turboréacteur. Le pilote, un homme aux cheveux argentés, était déjà aux commandes en train de faire chauffer les moteurs.

David et le cabaretier aidèrent Bahjat à s’installer dans l’appareil, puis le second lança en haussant le ton pour dominer le hurlement des réacteurs :

— Vaya con dios ! Un docteur sera là quand vous atterrirez. Et soyez tranquille : mon téléphone n’est pas surveillé par la police.

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