Stephen King - Dôme. Tome 2
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- Название:Dôme. Tome 2
- Автор:
- Издательство:Editions Albin Michel
- Жанр:
- Год:2011
- Город:Paris
- ISBN:978-2-226-22437-8
- Рейтинг книги:5 / 5. Голосов: 1
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Il entendit les camions approcher et consulta sa montre. Elle s’était arrêtée. Il se tourna vers le ciel et estima, à la position de la tache jaunâtre tirant sur le blanc qui était autrefois le soleil, qu’il ne devait pas être loin de midi.
Il tendit l’oreille au bruit de plus en plus fort des diesels, et quand il entendit qu’il passait en stéréo, Andy comprit que son compadre avait subodoré le piège — l’avait subodoré aussi nettement qu’un joueur d’échecs professionnel débusque celui que croit lui tendre un amateur. Une partie des véhicules prenaient la direction de l’arrière de la station, empruntant la route de service.
Andy tira une dernière grande bouffée de sa fry daddy , la retint aussi longtemps que possible, puis la relâcha d’un coup. À regret, il laissa tomber le mégot et l’écrasa du pied. Pas question que la fumée (aussi délicieux que soit l’effet clarificateur qu’elle produisait) trahisse sa position.
Je t’aime, Chef , pensa Andy Sanders en enlevant la sécurité de sa Kalachnikov.
9
Une chaîne légère barrait la route de service creusée d’ornières. Au volant du camion de tête, Freddy n’hésita pas et la fit sauter avec l’avant du véhicule. Suivi du deuxième camion, conduit par Mel Searles, il s’enfonça dans les bois.
Stewart Bowie conduisait le troisième camion. Il s’arrêta au milieu de Little Bitch Road, montra de la main la tour émettrice de WCIK, puis regarda Randolph coincé contre la portière, son HK semi-automatique entre les genoux.
« Roule encore sur un kilomètre et demi, lui ordonna Randolph. Et ensuite, gare-toi et coupe le moteur. » Il était onze heures trente-cinq. Parfait. Ils avaient tout le temps.
« C’est quoi, le plan ? demanda Fern.
— On attend jusqu’à midi. Dès que nous entendons tirer, on repart et on les prend à revers.
— Ils font pas mal de boucan, ces bahuts, fit observer Killian. Et si les types nous entendent arriver ? On va perdre — comment qu’on dit déjà ? — le sacrifice de la surprise.
— Le bénéfice, le corrigea Randolph. Ils ne nous entendront pas. Ils sont installés bien tranquilles dans la station, avec la clim, à regarder la télé. Ils vont même pas savoir ce qui leur tombe dessus.
— Est-ce qu’on n’aurait pas dû prendre les gilets pare-balles ? demanda Stewart.
— Pourquoi veux-tu porter un truc aussi lourd avec cette chaleur ? Arrêtez de vous inquiéter. Les deux Duchenoque seront en enfer avant même de savoir qu’ils sont morts. »
10
Peu avant midi, Julia regarda autour d’elle et se rendit compte que Barbie n’était plus là. Elle le retrouva à la ferme, en train de charger des conserves dans le van du Sweetbriar Rose. Il en avait aussi mis plusieurs sacs dans l’ancien van d’AT&T.
« Qu’est-ce que vous faites ? On vient juste de tout décharger hier soir. »
Barbie se tourna vers elle sans sourire, une expression tendue sur les traits. « C’est exact, et je crois que nous avons eu tort de le faire. Je ne sais pas si c’est parce que nous sommes à côté de la boîte, mais tout d’un coup j’ai eu l’impression d’avoir la loupe dont a parlé Rusty juste au-dessus de la tête, alors que bientôt le soleil va se lever et briller au travers. J’espère que je me trompe. »
Elle l’étudia. « Il en reste ? Je vais vous aider, dans ce cas. On pourra toujours les ressortir plus tard.
— Oui », dit Barbie, avec un sourire contraint. « On pourra toujours les ressortir plus tard. »
11
La route de service aboutissait à une petite clairière où se trouvait une maison abandonnée depuis longtemps. Les deux camions s’y rangèrent et le commando improvisé débarqua. Par équipes de deux, ils posèrent à terre de gros sacs marins sur lesquels étaient imprimés les mots SÉCURITÉ INTÉRIEURE DU TERRITOIRE. Sur l’un d’eux, une main avait ajouté au marqueur : N’OUBLIEZ PAS FORT ALAMO. Les sacs contenaient des HK semi-automatiques, deux fusils à pompe Mossberg à huit coups, et des munitions, des munitions, des munitions.
« Hé, Fred ? demanda Stubby Norman. On devrait pas avoir des gilets pare-balles ?
— On les prend par-derrière, Stubby. Ne t’en fais pas pour ça. »
Freddy espérait avoir donné l’impression d’être plus convaincu qu’il ne l’était en réalité. Il avait l’estomac noué.
« Est-ce qu’on leur laisse une chance de se rendre ? voulut savoir Mel. Parce que quand même, Mr Sanders est premier conseiller. »
Freddy y avait pensé. Il avait aussi pensé au mur d’honneur sur lequel étaient accrochées les photos des trois flics de Chester’s Mill morts en service depuis la Seconde Guerre mondiale. Il n’avait aucune envie que sa photo y figure et, comme le chef Randolph ne lui avait donné aucun ordre précis sur la question, il se sentit libre de proclamer le sien :
« S’ils ont les mains levées, ils restent en vie. S’ils ne sont pas armés aussi. Sinon, ils sont foutrement morts. Ça pose un problème à quelqu’un ? »
Ça n’en posait à personne, apparemment. Onze heures cinquante-six. Presque l’heure du lever de rideau.
Il regarda tour à tour chacun de ses hommes (et la seule femme, Lauren Conree, le visage tellement fermé et la poitrine tellement plate qu’elle aurait pu en être un), inspira à fond et dit : « Suivez-moi. À la file indienne. On s’arrêtera à la lisière et on évaluera la situation. »
Les inquiétudes de Randolph concernant les plantes urticantes se révélèrent sans fondement et les arbres étaient suffisamment espacés pour ne pas entraver leur progression, même avec tout le barda dont ils étaient chargés. Freddy trouva que sa petite escouade se déplaçait d’une manière admirablement furtive et silencieuse au milieu des bosquets de genévriers, quand il était impossible de les éviter. Il commençait à se dire que tout se passerait bien. En fait, il en était même presque certain. À présent qu’ils étaient en mouvement, son estomac était plus léger.
Avec décontraction , pensa-t-il. Avec décontraction et en silence. Et bang ! Ils ne sauront même pas ce qui leur est tombé dessus .
12
Chef, protégé par le camion bleu garé au milieu des hautes herbes, derrière la remise, les entendit pratiquement au moment où ils quittaient la clairière dans laquelle l’ancien domicile du vieux Verdreaux retournait peu à peu à la terre. Pour ses oreilles en hyperacousie à cause de la drogue et son cerveau en surchauffe, l’escouade de Freddy Denton faisait presque autant de bruit qu’un troupeau de buffles en marche vers un point d’eau.
Il se faufila jusqu’à l’avant du camion, s’agenouilla et cala son arme sur le pare-chocs. Il avait disposé sur le sol, derrière lui, les grenades accrochées auparavant au GUERRIER DE DIEU et il attendait, priant Dieu pour qu’Andy n’ait pas besoin de siffler. Espérant ne pas avoir besoin de siffler lui non plus. Il était possible qu’ils survivent à cela et combattent encore un jour.
13
Freddy Denton atteignit la lisière du bois, repoussa un rameau de sapin du canon de son fusil et scruta le paysage. Il vit un champ non fauché avec, en son milieu, la tour émettrice de la station ; il en parvenait un bourdonnement bas qui lui donnait l’impression d’ébranler jusqu’aux plombages de ses dents. Une barrière avec des panneaux DANGER VOLTAGE ÉLEVÉ l’entourait. À l’extrême gauche de sa position, se dressait le bâtiment en brique du studio. Et entre les deux, une sorte de grange rouge. Il supposa qu’il s’agissait d’une remise. Ou que c’était là que se fabriquait la drogue. Ou les deux.
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