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Murray Leinster: La planète oubliée

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Murray Leinster La planète oubliée

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La Terre était surpeuplée. Les autres planètes du système solaire également. En fait, toutes les planètes de la Galaxie qui avaient été colonisées étaient main­tenant surpeuplées. Il était absolument nécessaire de trouver des mondes nouveaux où les hommes puis­sent vivre. Des raids spatiaux furent organisés. On découvrit d’autres mondes. Mais ils étaient décevants. Car ils ne possédaient aucun trace de vie. Or l’homme ne peut s’implanter que là où la vie — n’importe quelle forme de vie — l’a précédé. Cette vie, on décida donc de la créer. Des navires-laboratoires se mirent à parcourir le vide, ensemençant les planètes vierges, déversant des spores sur les sols et du plancton dans les océans, installant des plantes, des poissons, des insectes, préparant la venue des mammifères et de l’homme. Plusieurs mondes stériles devinrent ainsi habitables. Mais un jour, un accident survint…

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Il exultait tandis qu’il se frayait un chemin à la lisière de la forêt de champignons. Cependant, il restait à l’affût d’un danger possible. Plusieurs fois, il entendit le cliquetis des fourmis nécrophages. Mais il ne s’en souciait pas. Elles avaient la vue courte.

Si elles l’attaquaient, il pourrait leur lâcher son poisson qui suffirait à les distraire. Une seule espèce de fourmis était à redouter : les guerrières, qui voyageaient en hordes, dévorant tout sur leur passage.

Mais ce n’était pas le cas pour le moment. L’orée de la forêt de champignons était en vue. Une sémillante sauterelle mâchait délicatement une friandise qu’elle venait de trouver – une jeune pousse de chou qui avait le diamètre d’une barrique. Ses pattes postérieures, bandées sous elle, étaient prêtes à l’élan. Une guêpe colossale apparut soudain à la verticale, découvrit l’aubaine et plongea en piqué sur l’infortunée dîneuse.

Il y eut bataille, mais elle fut brève. La sauterelle se recroquevilla sous l’étreinte des six pattes de la guêpe, toutes munies de barbillons acérés. L’abdomen flexible de l’hyménoptère se courba gracieusement. Son aiguillon pénétra dans l’armure articulée de sa proie, juste sous la tête, avec la précision d’un instrument chirurgical. Il y avait là un ganglion que le venin de la guêpe envahit. La sauterelle devint flasque. Elle n’était pas morte, bien sûr, seulement paralysée. Définitivement paralysée. La guêpe se lissa les ailes, puis empoigna tout naturellement sa victime et s’envola. La sauterelle servirait d’incubateur – et de garde-manger – à l’œuf qui y serait pondu. Bientôt, au cœur d’un château de boue, une petite larve blanche se repaîtrait de la victime vivante et immobile fournie par sa mère – mère qui ne la verrait jamais, ne s’en soucierait jamais et ne s’en souviendrait pas davantage.

Burl poursuivit sa route.

Le sol se faisait plus accidenté. Avancer devenait difficile. Burl peinait dans l’escalade d’escarpements abrupts et devait prendre garde de ne pas glisser en descendant des pentes vertigineuses. Une fois, il lui fallut même grimper à travers un enchevêtrement de petits champignons si serrés qu’il fut contraint de s’ouvrir un passage à larges coups de sa lance dont il se servait comme d’une machette. Tandis que pieds et chapeaux s’écroulaient, des torrents d’un liquide rouge feu éclaboussaient le jeune homme avant d’aller imbiber le sol.

Un étrange sentiment de supériorité habitait maintenant Burl. Il marchait en prenant moins de précautions. Il avait réfléchi, il avait frappé, il se trouvait merveilleux. Il se voyait déjà amener la tribu dans cette forêt bourrée de nourriture – il n’avait aucune idée de la distance qu’il faudrait parcourir pour mener à bien ce projet – et il se pavanait tout seul au milieu de la végétation cauchemardesque de la planète qui avait été oubliée.

Maintenant, il voyait la rivière. Il avait escaladé un tertre d’argile rouge haut de trente mètres. En période de crue, l’eau léchait le pied de cette falaise. Actuellement, elle se trouvait retirée à quatre cents mètres de là.

Les pentes de l’escarpement étaient recouvertes de champignons qui formaient un chaos blanc, jaune et vert. À mi-hauteur entre Burl et le rivage était attaché le câble – épais de trois centimètres – d’une toile d’araignée. Burl se pencha et vit l’immense toile tendue au-dessus des champignons.

Quelque part, dans les fourrés, l’araignée géante qui avait tissé ce piège attendait que sa proie s’y prenne. Lorsqu’un insecte se débattrait frénétiquement dans ses filets, elle se montrerait. Jusque-là, elle attendait, sans un mouvement, avec une patience implacable, absolument sûre de faire des victimes, absolument sans pitié pour elles.

Burl se pavanait sur le bord de la falaise, animal à peau rose assez ridicule avec son poisson huileux pendu autour du cou et son pagne en aile de papillon. Il brandissait triomphalement au-dessus de sa tête la longue antenne du hanneton.

C’était une activité assez stupide. Cela ne servait à rien. Mais si Burl était un génie parmi les siens, il avait encore beaucoup à apprendre. Il regardait avec mépris la trappe blanche qui scintillait au-dessous de lui. Burl avait frappé un poisson et l’avait tué. Quand Burl frappait des champignons, ils volaient en morceaux. Rien ne pouvait effrayer Burl. Il allait chercher Saya pour l’amener dans cette région où la nourriture poussait en abondance.

À une soixantaine de pas, au bord de la falaise, une cheminée s’enfonçait verticalement dans le sol argileux. Elle était soigneusement arrondie et tapissée de soie. Dix mètres plus bas, elle s’élargissait. Elle formait une chambre où le constructeur et propriétaire de la cheminée pouvait se reposer. Le trou était fermé par une sorte de couvercle camouflé de boue et de terre pour imiter le sol environnant. Ce couvercle était légèrement soulevé et un œil perçant observait par cette ouverture l’homme à la peau rose.

C’était l’œil de la tarentule qui avait creusé le puits.

Huit pattes velues entouraient le corps du monstre. Son ventre était un globe informe d’un brun sale. Deux paires de mandibules s’étendaient devant sa bouche. Une fourrure rugueuse lui couvrait tout le corps.

C’était une créature d’une méchanceté implacable, d’une incroyable férocité. C’était l’araignée chasseresse, la tarentule américaine, qui s’était hypertrophiée sur la planète oubliée au point que son corps atteignait plus de soixante centimètres de diamètre. Ses pattes étendues pouvaient couvrir un cercle de trois mètres de diamètre. Ses yeux brillants suivaient Burl tandis qu’il avançait fièrement sur le bord de la falaise.

Le jeune homme était occupé à braver l’autre araignée, celle dont la toile s’étalait à ses pieds. Il savait qu’elle ne quitterait pas ses filets pour l’attaquer. Se penchant, Burl détacha un morceau de champignon et le jeta dans la toile. Il éclata de rire quand il vit la masse noire de l’araignée descendre de sa cachette pour examiner le champignon.

Cependant, la tarentule frémissait d’impatience. Insensiblement, Burl se rapprochait du puits. Il se servait de sa lance comme levier pour détacher des débris et les faire tomber le long de la falaise jusque dans la toile géante. Il s’amusait beaucoup chaque fois que l’araignée se déplaçait d’un point à un autre, tâtant chaque nouveau projectile avec ses palpes, puis l’abandonnant.

Burl sauta en l’air et rit bruyamment en voyant un morceau de champignon pourri manquer de justesse la silhouette noire et argent qui évoluait au-dessous de lui.

Soudain, un bruit léger lui fit dresser l’oreille. C’était la trappe de la tarentule dont le couvercle se refermait.

Burl se retourna vivement. Son rire se transforma en hurlement de terreur. Dressée sur ses huit pattes, la tarentule avançait vers lui. Ses mandibules étaient largement ouvertes. Ses dents à venin étaient dégainées. Elle était à trente pas de Burl… À vingt pas… À dix…

Les yeux étincelants, elle sauta, ses huit pattes étendues pour saisir sa proie.

Burl poussa un nouveau cri et projeta ses bras devant lui pour repousser le monstre. C’était un geste d’horreur aveugle. Dans sa terreur, il serrait frénétiquement sa lance. Il la tendit en avant, et la tarentule se jeta dessus. L’arme pénétra dans le corps de la bête féroce.

Empalée sur la lance, la tarentule se tortillait affreusement. Elle s’efforçait toujours d’atteindre Burl paralysé par la peur. Les grosses mandibules s’entrechoquaient. Des gargouillements furieux se firent entendre. Les pattes velues agrippèrent les bras du jeune homme. Dans un paroxysme de terreur, il trébucha en arrière et le bord de la falaise céda sous lui.

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