Isaac Asimov - Némésis

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Némésis: краткое содержание, описание и аннотация

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Alors que la conquête spatiale commence, une colonie spatiale, Rotor, fuit le système solaire de la Terre pour s'installer près d'une autre étoile : Némésis. Rapidement, les élites de cette nouvelle arche découvrent que Némésis se dirige droit vers la Terre et qu'elle va provoquer sa destruction. Dans l'impossibilité de prévenir la Terre, ils recherchent le moyen d'éviter cette catastrophe.
Et si la solution venait de Erythro, l'étrange planète que les hommes ont décidé d'explorer, ou alors de cette petite fille qui semble posséder de biens étranges pouvoirs …

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Fisher hésita. « Oui. Même si elles semblent inhabitées, je crois que nous devrions les étudier. Nous serons peut-être obligés d’évacuer bientôt la Terre, et il faut savoir où emmener notre peuple. Tu peux t’en désintéresser, toi, puisque les colonies peuvent s’en aller sans avoir besoin d’éva …

— Crile ! Ne commence pas à me traiter en ennemie ! Je suis Tessa. S’il y a une planète, nous l’étudierons, je te le promets. Mais si les Rotoriens l’occupent, alors … Tu as passé quelques années sur Rotor, Crile. Tu dois connaître Janus Pitt.

— Je ne l’ai jamais rencontré, mais ma f … mon ex-femme travaillait pour lui. D’après ce qu’elle m’en a dit, c’était un homme très capable, très intelligent, très énergique.

— Très énergique, en effet. Nous avons aussi entendu parler de lui, sur les colonies. Et nous ne l’aimons pas beaucoup. S’il avait dans l’idée de trouver pour Rotor un lieu ignoré du reste de l’humanité, il ne pouvait pas faire mieux que de partir pour l’Étoile voisine, puisqu’elle était proche et qu’ils étaient seuls à la connaître à l’époque. Et si, pour une raison quelconque, il voulait un système pour lui tout seul, étant Janus Pitt, il ne tenait certainement pas à être suivi et à perdre son monopole. S’il avait trouvé une planète utilisable, toute intrusion lui serait fort désagréable.

— Où veux-tu en venir ? demanda Fisher fort perturbé.

— Demain, nous décollons et, dans peu de temps, nous arriverons aux abords de l’Étoile voisine. Si elle a une planète, comme tu sembles le penser, et si nous découvrons que les Rotoriens l’occupent, il ne s’agira pas d’atterrir et de dire : ‘‘Coucou ! C’est nous !’’ J’ai bien peur qu’en nous voyant, il nous donne sa version à lui du ‘‘Coucou’’ et nous anéantisse. »

Chapitre 29

L’ennemi

63

Comme tous les résidents du dôme d’Erythro, Ranay d’Aubisson rendait périodiquement visite à Rotor. C’était nécessaire — un bain de patrie, un retour aux sources — pour y renouveler ses forces.

Cette fois-là, cependant, d’Aubisson était « remontée », comme on disait, un peu plus tôt que prévu. Elle avait été convoquée par le Gouverneur.

En s’asseyant devant Janus Pitt, elle remarqua d’un œil professionnel que les petits signes du vieillissement s’étaient multipliés chez lui depuis la dernière fois qu’elle l’avait vu, plusieurs années auparavant.

La voix était restée aussi forte, les yeux aussi vifs ; elle ne nota aucun déclin de la vitalité mentale.

« J’ai reçu votre rapport sur l’incident survenu à l’extérieur du Dôme, dit Pitt, et j’ai noté la prudence de votre diagnostic. Mais maintenant j’ai activé le champ de protection de cette pièce et vous pouvez parler librement. Qu’est-il exactement arrivé à Genarr ?

— Je crains bien que mon rapport, même prudent, soit complet et véridique, répliqua sèchement d’Aubisson. Nous ne savons pas ce qui est réellement arrivé au commandant Genarr. La scanographie cérébrale a montré des modifications extraordinairement minimes, ne correspondant à rien que nous connaissions. Et réversibles ; depuis lors elles ont disparu.

— Mais il lui est arrivé quelque chose ?

— Oui, mais nous ne pouvons rien dire de plus.

— Une nouvelle forme de la Peste ?

— Nous n’avons trouvé aucun des symptômes détectés dans le passé.

— A cette époque, la scanographie cérébrale était rudimentaire. On n’aurait pas pu détecter les symptômes que vous avez repérés. Ne pourrait-il s’agir quand même d’une forme bénigne de la Peste ?

— Il nous est impossible de le dire et, en tout cas, Genarr est maintenant tout à fait normal.

— Mais nous ignorons s’il ne va pas y avoir de rechute.

— Nous n’avons pas, non plus, de raison de supposer qu’il puisse y en avoir. »

Une fugitive expression d’impatience passa sur le visage du Gouverneur. « Vous savez parfaitement que la position de Genarr est capitale. La situation reste précaire dans le Dôme, puisque nous ne savons pas si la Peste frappera de nouveau. Genarr semblait immunisé, et cela le rendait précieux, mais il ne l’est peut-être plus. Quelque chose lui est arrivé et nous devons nous préparer à le remplacer.

— C’est à vous de prendre la décision, monsieur le gouverneur. Il n’y a pas d’urgence médicale.

— Mais vous allez, j’espère, le garder sous observation en sachant que cette urgence peut se présenter.

— Cela fait partie de mon travail.

— D’autant plus que, s’il fallait procéder à un remplacement, j’ai pensé à vous proposer le poste.

— A moi ! » Elle ne put contenir l’émotion qui se peignait sur son visage.

« Oui, pourquoi pas ? Tout le monde sait que la colonisation d’Erythro ne m’a jamais enthousiasmé. Je pense qu’il faut préserver la mobilité de l’humanité et de ne pas retomber dans l’esclavage d’une grande planète. Celle-ci mérite d’être colonisée, non comme un lieu de peuplement, mais comme une source de matières premières. Ce sera impossible si la Peste reste suspendue au-dessus de nos têtes, n’est-ce pas ?

— C’est vrai, monsieur le gouverneur.

— Aussi faut-il, pour commencer, résoudre ce problème. Nous ne l’avons jamais fait. La Peste s’est simplement éteinte et nous avons cessé de nous en occuper … mais ce dernier incident nous montre que le danger n’a pas disparu. Genarr a subi une agression et je veux qu’on en trouve la cause. C’est vous, naturellement, qui serez à la tête du projet.

— Je suis heureuse d’accepter cette responsabilité. Elle signifie que je vais poursuivre mes recherches, mais en priorité. Il n’est pas pour autant nécessaire que je devienne commandant du dôme d’Erythro.

— Comme vous l’avez dit, c’est à moi d’en décider. Je suppose que vous ne refuseriez pas ce poste si je vous l’offrais.

— Non, monsieur le gouverneur. Je serais très honorée.

— Oui, je n’en doute pas, répliqua sèchement Pitt. Parlons maintenant de la jeune fille. »

D’Aubisson parut interloquée. Elle ne put que répéter en bégayant :

« La jeune fille ?

— Oui, celle qui est sortie du Dôme avec Genarr. Que lui est-il arrivé ? »

D’Aubisson hésita. « Rien, monsieur le gouverneur.

— Genarr a donc été frappé à travers son Anti-E, et cette fille, sans combinaison, n’a rien eu ? »

D’Aubisson haussa les épaules. « C’est une étrange jeune femme. Sa scanographie cérébrale …

— Je suis au courant. Je sais aussi qu’elle a des capacités particulières. L’avez-vous remarqué ?

— Oh, oui.

— La télépathie ?

— Non, monsieur le gouverneur. La télépathie est une fable. Je souhaiterais que cela existe, car ce ne serait pas dangereux. On peut contrôler ses pensées.

— Qu’y a-t-il, dans son cas, de plus dangereux ?

— Apparemment, elle déchiffre le langage du corps, et lui, nous ne le contrôlons pas. » Elle en parlait avec un peu d’amertume, et Pitt ne manqua pas de le noter.

« En avez-vous une expérience personnelle ?

— Oh, oui. » D’Aubisson avait une mine sinistre. « Il est impossible d’être à proximité de cette jeune femme sans éprouver les inconvénients de son don de perception.

— Oui, mais comment cela s’est-il produit ?

— Rien de bien grave, mais c’était gênant. » D’Aubisson rougit et ses lèvres restèrent pincées un moment, comme si elle allait se rebeller contre l’interrogatoire. Puis elle dit, presque en chuchotant : « J’avais fini d’examiner le commandant Genarr et Marlène m’a demandé comment il allait. Je lui ai dit qu’il n’avait rien de grave et qu’on pouvait espérer qu’il se remettrait rapidement.

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