“Un affaire qui touche non à l’Estat, mais à l’Eglise” (D’Alexis L. [Berulle P. de.] Discours sur la possession de Marthe Brossier // D’Alexis L. [Berulle P. de.] Op. cit. P. 8). Подробнее о концепции одержимости y Пьера де Берюля см.: Houdard S. La possession de Marthe Brossier. P. 120, 124–128; Morgain St.-M. Op. cit. P. 59–79.
D’Alexis L. [Berulle P. de.] Discours sur la possession de Marthe Brossier. P. 12, 16.
“Ce Singe estant sur ses vieux ans n’a peu se maintenir longuement hors de son na
turel, et s’estant posé sur un Theatre pour parler en la France contre l’Eglise” (Ibid. P. 17). Данная фраза являлась прямой отсылкой к тексту трактата М. Мареско, сравнивавшего Марту Броссье с дрессированными медведем и обезьяной: см. прим. 37. ' "
“La populace, de laquelle un Ancien a dict, plebi non iudicium non veritas, et par conséquent mal propre à témoigner et à juger une vérité” (Ibid. P. 47–48).
“Et cest à une mesme Eglise, de parler des Energumenes et d’un Energumene” (Ibid. P. 3). “Or en quelle loy trouvons nous que le Magistrat séculier ait pouvoir sur Satan, que nous savons estre spirituel en son essence” (Ibid. P. 54). Последняя фраза также напрямую отсылала к сочинению М. Мареско, в котором он призывал своих читателей почитать короля и подчиняться его магистратам: “Ains de nous contenir en nostre office et vacation, de craindre Dieu, d’honorer le Roy, d’obeïr aux Magistrats” (Discours véritable. P. 47).
D’Alexis L. [Berulle P. de.] Discours sur la possession de Marthe Brossier. P. 43. '
“Cinq médecins de Paris furent nommés et députés pour la revisiter… qui tous dirent que, selon leur art, elle n’avoit point de diable” (L’Estoile P. de. Op. cit. P. 182).
“Finalement, le Roy, adverti de tout et que par ses contes elle esmouvoit son peuple et donnoit pied à quelques ecclésiastiques de nouveaux remuemens, envoia lettre à M. D’Estrées par lesquelles il lui enjoignoit de la tirer de là où elle estoit et la mettre entre les mains de sa Justice” (Ibid. P. 183).
Ibid. Речь шла об отце Жан-Батисте Брюлар де Силлери (1544–1624), настоятеле монастыря на улице Сен-Оноре в Париже, одном из наиболее яростных противников Нантского эдикта, прославившемся своими проповедями, направленными против политики религиозной толерантности.
В одном из стихотворений, в частности, сообщалось, что парижане не увидят чуда избавления Марты Броссье от демонов, которое предрекали церковники, посколько в дело вмешался светский суд и «дьявол оказался укрощен»: “On ne verra point le miracle / Que Messieurs avoient prétendu: / La Justice y a mis obstacle, / Et leur diable a esté tondu” (Ibid.).
"Je dis ce propos a l’occasion d’un petit livre qui depuis peu de iours est tombé entre mes mains touchant ceste pauvre fille Marthe Brossier” (Pièces concernant Marthe Brossier, de Romorantin, possédée et accusée d’imposture (1596–1600) H BNE Ms. fr. 18453. Fol. 1-104, здесь Fol. 21v).
“Iay eu cet honneur d’estre présent a la plus grande partie de ceste histoire faite de dans la ville de Paris en la compagnie de mondit Sieur de Paris et plusieurs autres” (Ibid. Fol. 22).
В тексте самым подробным образом были описаны все отличительные черты «истинного» одержимого: знание им иностранных и древних языков, невозможность причащаться, черная пена, изливающаяся из его рта, знание прошлого и предвидение будущего, способность отвечать на сложные религиозные вопросы, умение левитировать: Ibid. Fol. 26-26v, 28v, 32–35.
К этой теме автор «Апологии» возвращался буквально на каждой странице: Ibid. Fol. 24, 24v, 25, 25v, 27.
“Et n’eust esté le grand tort quil fait a l’honneur et réputation de mondit Sieur de Paris et de plusieurs autres gens de bien quil accuse d’jmposture d’avoir jnstruict ceste fille a dire et faire ce qu’on a veu et ouy d’elle” (Ibid. Fol. 23v).
“Mais ce nest mon jntention… toucher la question si Marthe Brossier est ou a esté véritablement possédée” (Ibid. Fol. 37-37v).
“C’est une prérogative qui appartient a Dieu seul et a ceux a qui il a d'onné la puissance” (Ibid. Fol. 36v). Последовательность доказательств в пользу церковной юрисдикции в делах об одержимости, которые приводил автор «Апологии», заставляет видеть в нем внимательного читателя не только трактата М. Мареско, но и сочинений П. де Берюля, которыми он, возможно, вдохновлялся.
“L’histoire de la possédée Marthe Brossier, laquelle à dire vray n’estoit qu’une pure feinte, entreprise par quelques zelez Catholiques, et appuyée par un bon Cardinal” (G.N.P. [Naudé G.] Considérations politiques sur les coups d’Estat. Rome, 1639. P. 122).
“Le Roy eust occasion de croire la presence reelle en l’Eucharistie, de laquelle presence ou pour mieux dire transubstantiation, on ne tenoit pas qu’il fust entièrement persuadé” (Ibid.).
“Mais luy qui ne se laissoit pas facilement surprendre, voulut qu’auparavant que d’en venir aux exorcismes, les Médecins et Chirurgiens fussent appeliez pour en dire leur advis, lequel ayant esté conceu en ces termes rapportez par Monsieur Marescot dans le petit livret qu’il a composé sur cette histoire: Naturalia multa, ficta plurima, à dae-mone nulla” (Ibid. P. 122–123, курсив автора — O.T.). Ср.: прим. 45.
“Apres la publication de l’Edit de Nantes, il arriva un faict qui fascha fort le Roy et qui apporta bien du trouble à la Paix et à l’ordre qui avoit esté mis en l’estât” (Thou J.-A. Histoire de Marthe Brossier prétendue possédée. Rouen, 1652. P. 1).
Qu’il y avoit beaucoup de feintise et peu de chose qui vint de maladie” (Ibid. P. 3).
Ibid. P. 11.
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