Jakob et Wilhelm Grimm - Contes Merveilleux Tome I
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– Donnez- moi ce que vous avez; vous me devrez le reste, répondit le garçon.
Le bijoutier lui donna trois cents deniers et reconnut lui en devoir encore cent autres. L’écolier rentra à la maison et dit:
– Père, j’ai l’argent. Allez demander au voisin ce qu’il veut pour sa hache.
– Je le sais déjà, répondit le vieux: un denier et six sols.
– Eh bien! donnez lui deux deniers et douze sols. Ça fait le double et c’est bien suffisant. Regardez, j’ai de l’argent de reste.
Il donna cent deniers à son père et reprit:
– Il ne vous en manquera jamais. Vivez à votre guise.
– Seigneur Dieu! s’écria le vieux, comment as-tu acquis une telle richesse?
L’écolier lui raconta ce qui s’était passé et comment, en comptant sur sa chance, il avait fait si bonne fortune. Avec l’argent qu’il avait en surplus, il repartit vers les hautes écoles et reprit ses études. Et comme, avec son chiffon, il pouvait guérir toutes les blessures, il devint le médecin le plus célèbre du monde entier.
La Fiancée du petit lapin
Il était une fois une femme avec sa fille qui avaient un beau jardin de choux. Un lapin y vint, à la saison d’hiver, et voilà qu’il leur mangeait tous les choux. Alors la femme dit à sa fille:
– Va au jardin et chasse-moi le lapin!
– Ouste! ouste! dit la fille. Petit lapin, tu nous boulottes tous les choux!
– Viens, fillette, dit le lapin, mets-toi sur ma queue de petit lapin et suis-moi dans ma chaumière de petit lapin.
La fille ne veut pas.
Le lendemain, revient le petit lapin qui mange encore les choux, et la femme dit à sa fille:
– Va au jardin et chasse-moi le lapin!
– Ouste! ouste! dit la fille. Petit lapin, encore tu nous boulottes nos choux!
– Viens, fillette, dit le lapin, mets-toi sur ma queue de petit lapin et suis-moi dans ma chaumière de petit lapin.
La fille ne veut pas.
Le surlendemain, voilà le petit lapin revenu, en train de boulotter les choux. Alors, la mère dit à sa fille:
– Va au jardin et chasse-moi le lapin!
– Viens, fillette, dit le lapin, mets-toi sur ma queue de petit lapin et suis-moi dans ma chaumière de petit lapin.
La fille s’assied sur le petit bout de queue du lapin, qui file au loin et la mène dans sa chaumière.
– Maintenant, fillette, fais bouillir le chou vert et le millet, je vais inviter les gens de la noce.
Et les invités de la noce arrivèrent tous ensemble. Mais qui étaient les gens de la noce? Je peux te le dire parce que c’est ce qu’on m’a raconté: les invités, c’étaient tous les lapins, et le corbeau y était venu aussi comme curé pour unir les époux, et le renard était le sacristain, et l’autel sous l’arc-en-ciel.
Mais la fillette se sentait triste: elle était toute seule.
Arrive le petit lapin, qui lui dit:
– Viens servir! Viens servir! Les invités sont gais!
La fiancée ne dit rien. Elle pleure. Petit lapin s’en va. Petit lapin revient.
– Sers-les donc! lui dit-il. Sers-les donc! Les invités sont affamés!
La fiancée ne dit rien. Elle pleure. Petit lapin s’en va. Petit lapin revient.
– Sers enfin! lui dit-il. Sers enfin! Les invités vont s’impatienter!
La fiancée ne dit toujours rien; alors petit lapin s’en va. Elle fait une poupée de paille, qu’elle habille de ses vêtements, lui met une cuillère de bois dans la main, la pose devant la marmite au millet, puis s’en retourne chez sa mère.
Petit lapin revient encore une fois en criant:
– Vas-tu servir? Vas-tu servir?
Il se précipite sur la poupée de paille et lui frappe un coup sur la tête, qui lui fait tomber son bonnet.
Il s’aperçoit alors que ce n’est pas sa fiancée et s’éloigne; et il est tout triste.
La Fille du Roi et la grenouille
Dans des temps très anciens, alors qu'il pouvait encore être utile de faire des vœux, vivait un roi dont toutes les filles étaient belles. La plus jeune était si belle que le soleil, qui en a cependant tant vu, s'étonnait chaque fois qu'il illuminait son visage. Non loin du château du roi, il y avait une grande et sombre forêt et, dans la forêt, sous un vieux tilleul, une fontaine. Un jour qu'il faisait très chaud, la royale enfant partit dans le bois, et s'assit au bord de la source fraîche. Et comme elle s'ennuyait, elle prit sa balle en or, la jeta en l'air et la rattrapa; c'était son jeu favori. Il arriva que la balle d'or, au lieu de revenir dans sa main, tomba sur le sol et roula tout droit dans l'eau. La princesse la suivit des yeux, mais la balle disparut: la fontaine était si profonde qu'on n'en voyait pas le fond. La jeune fille se mit à pleurer, à pleurer de plus en plus fort; elle était inconsolable. Comme elle gémissait ainsi, quelqu'un lui cria:
– Pourquoi pleures-tu, princesse, si fort qu'une pierre s'en laisserait attendrir?

Dessin de Walter Crane
Elle regarda autour d'elle pour voir d'où venait la voix et aperçut une grenouille qui tendait hors de l'eau sa tête grosse et affreuse.
– Ah! c'est toi, vieille barboteuse! dit-elle; je pleure ma balle d'or qui est tombée dans la fontaine.
– Tais-toi et ne pleure plus, dit la grenouille. Je vais t'aider. Mais que me donneras-tu si je te rapporte ton jouet?
– Ce que tu voudras, chère grenouille, répondit-elle, mes habits, mes perles et mes diamants et même la couronne d'or que je porte sur la tête.
– Je ne veux ni de tes perles, ni de tes diamants, ni de ta couronne. Mais, si tu acceptes de m'aimer, si tu me prends comme compagne et camarade de jeux, si je peux m'asseoir à ta table à côté de toi, manger dans ton assiette, boire dans ton gobelet et dormir dans ton lit, si tu me promets tout cela, je plongerai au fond de la source et te rendrai ta balle.
– Mais oui, dit-elle je te promets tout ce que tu veux à condition que tu me retrouves ma balle.
Elle se disait: «Elle vit là, dans l'eau avec les siens et coasse. Comment serait-elle la compagne d'un être humain?»
Quand la grenouille eut obtenu sa promesse, elle mit la tête sous l'eau, plongea et, peu après, réapparut en tenant la balle entre ses lèvres. Elle la jeta sur l'herbe. En retrouvant son beau jouet, la fille du roi fut folle de joie. Elle le ramassa et partit en courant.
– Attends! Attends! cria la grenouille. Emmène-moi! je ne peux pas courir aussi vite que toi!
Mais il ne lui servit à rien de pousser ses «coâ! coâ! coâ!» aussi fort qu'elle pouvait. La jeune fille ne l'écoutait pas. Elle se hâtait de rentrer à la maison et bientôt la pauvre grenouille fut oubliée. Il ne lui restait plus qu'à replonger dans la fontaine.
Le lendemain, comme la petite princesse était à table, mangeant dans sa jolie assiette d'or, avec le roi et tous les gens de la Cour, on entendit – plouf! plouf! plouf! plouf! – quelque chose qui montait l'escalier de marbre. Puis on frappa à la porte et une voix dit:
– Fille du roi, la plus jeune, ouvre moi!
Elle se leva de table pour voir qui était là. Quand elle ouvrit, elle aperçut la grenouille. Elle repoussa bien vite la porte et alla reprendre sa place. Elle avait très peur. Le roi vit que son cœur battait fort et dit:

Dessin de Walter Crane
– Que crains-tu, mon enfant? Y aurait-il un géant derrière la porte, qui viendrait te chercher?
– Oh! non, répondit-elle, ce n'est pas un géant, mais une vilaine grenouille.
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