George Gordon Byron - Œuvres complètes de lord Byron, Tome 7
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Mon étoile est dans ce fourreau: quand elle brillera, elle effacera l'éclat des comètes. Mais songeons à ce qu'il faut faire pour justifier tes planètes et leur prophétie. Quand nous aurons vaincu, elles auront des temples, – oui, et des prêtres: – tu seras le pontife-des dieux que tu choisiras; car j'observe qu'ils sont toujours justes, et qu'ils ne manquent pas d'avouer le plus brave pour celui qui les aime le mieux.
Oui, et le plus dévot pour brave. – Tu ne m'as pas vu reculer dans le combat?
Non; je te reconnais aussi brave dans une bataille qu'un capitaine babylonien, aussi intrépide que savant dans les mystères chaldéens. Mais consens-tu pour le moment à oublier le prêtre pour ne plus être que guerrier?
Pourquoi pas tous les deux?
Mieux encore! et pourtant j'ai presque honte d'avoir si peu de chose à faire. La défaite de cette guerre de femme dégrade le vainqueur lui-même. Renverser de son trône un brave et sanguinaire despote, lutter avec lui, croiser fer contre fer, voilà ce qu'il serait héroïque de tenter, même en vain; mais lever mon glaive contre ce ver-à-soie, l'entendre répandre des larmes, peut-être-
Ne le suppose pas: il y a dans lui de quoi vous donner des traverses; et fût-il ce que vous croyez, ses gardes sont vaillantes, et conduites par le prudent et intrépide Salemènes.
Ils ne résisteront pas.
Et pourquoi? ils sont soldats.
Il est vrai, et c'est pourquoi il leur faut un soldat pour les commander.
Salemènes l'est.
Mais non leur roi. D'ailleurs il hait l'automate efféminé qui gouverne, à cause de la reine sa sœur. Avez-vous remarqué comme il se tient à l'écart de toutes les fêtes?
Mais non du conseil, auquel il ne manque jamais.
Il y est toujours contredit; quoi de plus pour décider sa révolte? Un fou sur le trône, sa famille déshonorée, et lui-même abreuvé de dédains: c'est pour le venger que nous travaillons.
Puisse-t-il être conduit à le penser! mais j'en doute.
Si nous le sondions?
Oui, – si le tems nous favorisait.
Satrapes, le roi vous ordonne de venir à la fête de cette nuit.
Entendre c'est obéir. Dans le pavillon?
Non, ici dans le palais.
Dans le palais? Comment! ce n'était pas là l'ordre?
C'est celui du moment.
Et pourquoi?
Je ne sais. Puis-je me retirer?
Reste.
Chut! laisse-le aller. (Puis à Baléa.) Oui, Baléa, remercie le monarque, baise la frange de son impériale robe, et dis-lui que ses esclaves ramasseront les miettes qu'il daignera jeter de sa table royale. Et l'heure, n'est-ce pas minuit?
Oui; le lieu, la salle de Nemrod. Seigneurs, je m'incline devant vous, et je vous quitte. (Baléa sort.)
Je n'aime pas ce changement subit; il y a quelque mystère: qui peut l'avoir occasionné?
Et ne change-t-il pas mille fois en un jour? la paresse est de toutes les choses la plus capricieuse; elle a dans ses projets plus de détours que n'en mettent les généraux dans leur marche, quand ils songent à dérouter leurs ennemis. – Pourquoi cet air rêveur?
Il aimait ce riant pavillon; c'était, pendant l'été, sa fureur.
Il aimait aussi la reine-et de plus, trois mille courtisanes. – Il aima toutes choses les unes après les autres, sauf la gloire et la sagesse.
Quoi qu'il en soit, je n'aime pas cela. S'il a changé, il faut faire de même. Dans un bosquet isolé, au milieu de gardes endormis et de courtisans ivres, l'attaque était facile, mais dans la salle de Nemrod-
En est-il ainsi? J'imaginais que le fier soldat tremblait de conquérir trop facilement un trône: et maintenant le voilà désappointé de rencontrer une ou deux marches plus glissantes qu'il ne s'y attendait!
Une fois l'heure venue, tu jugeras si je crains peu ou beaucoup. Tu as vu ma vie exposée au hasard: – je la jouais gaiement; mais ici il s'agit d'une plus haute chance, – un royaume.
Je l'ai prévu d'avance, – tu le gagneras; en avant donc, et réussis.
Va, si j'étais un prophète, je me serais gratifié de la même prédiction. Mais obéissons aux étoiles, – je ne dois pas quereller avec elles ou avec leur interprète. Qui vient?
Satrapes!
Mon prince!
Bien! Ici réunis? – Je vous cherchais tous deux; mais ailleurs que dans le palais.
Pourquoi cela?
Ce n'est pas l'heure.
L'heure? – quelle heure?
De minuit.
Minuit, seigneur?
Quoi! n'êtes-vous pas invités?
Oh! oui, – nous l'avions oublié.
Est-il donc ordinaire d'oublier une invitation du souverain?
Pourquoi? – nous ne faisons que de la recevoir.
Pourquoi donc êtes-vous ici?
Notre devoir nous y appelle.
Quel devoir?
Celui de notre rang. Nous avons le privilége d'approcher le monarque, mais nous l'avons trouvé absent.
Et moi aussi, je suis à mon devoir.
Pouvons-nous savoir à quoi il vous oblige?
A arrêter deux traîtres: holà! gardes.
Satrapes, vos épées!
Seigneur, voilà mon cimeterre.
Viens la prendre.
Volontiers.
Oui, mais le fer touchera ton cœur, – et la poignée ne quittera pas ma main.
Comment, veux-tu me braver? Fort bien! – cela te sauvera un jugement et une pitié intempestive. Soldats, terrassez le rebelle!
Tes soldats! oui, – seul tu ne l'oserais pas.
Seul! téméraire esclave. – Et qu'y a-t-il en toi qu'un prince puisse trembler de subjuguer? Nous craignons ta trahison, et non pas ta force. Ta dent serait impuissante sans son venin: – c'est celle du serpent, et non pas du lion. Terrassez-le.
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