George Gordon Byron - Œuvres complètes de lord Byron, Tome 7
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Enfin, tu peux donc sentir!
Sentir! Et qui peut ne pas sentir l'ingratitude?
Je ne m'arrêterai pas à te répondre en paroles, mais par les faits. Entretiens seulement l'énergie qui pouvait long-tems sommeiller, mais ne fut jamais éteinte en toi; ainsi, tu peux encore régner glorieux et redouté. Adieu.
Adieu! Il est parti. Le seing qu'il porte à son doigt est un sceptre pour lui. Sa violence égale ma faiblesse; les esclaves méritent un pareil maître. Quant au danger, j'en ignore l'étendue; – il l'a mesuré, qu'il le prévienne. Consumerai-je donc ma vie-une vie si courte-à chercher tous les moyens de ne pas l'abréger encore? ce serait le sort le plus déplorable! Ce serait mourir d'avance que de vivre dans la crainte de la mort, déjouant des révoltes, soupçonnant tous ceux qui m'entourent, parce qu'ils m'approchent, tous ceux qui sont loin, parce que je ne les vois pas. Si pourtant il en était ainsi, – s'ils devaient me ravir et l'empire et la vie: eh bien! qu'est-ce que la terre et l'empire de la terre? J'ai aimé, j'ai vécu; je laisse de nombreux descendans: mourir maintenant serait aussi naturel que tous ces actes de la matière! Je n'ai pas, il est vrai, répandu le sang, comme je l'aurais pu, par torrens; je n'ai pas fait de mon nom le synonyme de la mort, – le signal de la terreur et des trophées. Mais je n'éprouve de cela nul remords; ma vie est tout amour: si je verse le sang, ce ne sera que par force. Jusqu'à présent, une seule goutte des veines assyriennes n'a été répandue en mon nom, et jamais la plus faible parcelle des immenses trésors de Ninive n'est tombée sur des objets qui puissent coûter à ses enfans une seule larme. Si donc ils me haïssent, c'est parce que je ne les hais pas; et s'ils se révoltent, c'est parce que je crains de les opprimer. O hommes! c'est avec des faux et non avec un sceptre qu'il faut vous gouverner; il faut vous moissonner chaque année comme les épis mûrs; autrement nous ne produisons qu'une excessive abondance, un amas infect de mécontens, corrompant les sources de la prospérité publique, et faisant de la fertilité un déplorable désert. – Laissons-là ces pensées. Holà, ici! quelqu'un.
Esclave, dis à l'Ionienne Mirrha que nous souhaitons sa présence.
Roi, la voici.
Dehors. (A Mirrha.). Être charmant, tu as à peine prévenu mon cœur; il palpitait pour toi et tu venais à lui: laisse-moi croire qu'il existe entre nous quelqu'influence secrète, quelque douce sympathie, qui, sans nous voir, et de loin, nous attire l'un vers l'autre.
Il est vrai.
Je sais qu'elle existe, mais j'ignore son nom; quel est-il?
Un dieu dans ma patrie, et dans mon cœur un sentiment exalté et comme divin; mais j'avoue qu'il est seulement mortel, car mon ame est humble et pourtant heureuse, – c'est-à-dire, désirant de l'être; mais-
Il y a toujours un intervalle entre nous et ce que nous regardons comme le bonheur: laisse-moi écarter la barrière que ta voix hésitante m'indique devant le tien: celle qui s'oppose au mien sera en même tems rompue.
Mon Seigneur! -
Mon Seigneur, – mon roi, – sire, – souverain, – toujours ainsi, toujours me parler avec respect. Il est dit que jamais je n'obtiendrai un sourire, si ce n'est au milieu de l'étourdissante joie d'un banquet, alors que les bouffons ont, à force d'ivresse, reconquis leur égalité, ou que moi-même je me suis mis au niveau de leur abaissement. Mirrha, je puis souffrir tout cela; ces noms de seigneur, roi, sire, monarque, je les ai même quelque tems accueillis, ou plutôt soufferts de la bouche des esclaves et des nobles; mais quand ils s'échappent des lèvres que j'adore, des lèvres que les miennes ont tendrement pressées, un frisson se répand sur mon cœur; je reviens au sentiment de la fausseté d'une situation qui réprime toute espèce de tendresse chez ceux même qui m'en inspirent davantage, situation qui me fait souhaiter de pouvoir déposer enfin la pesante tiare pour me réfugier sous une chaumière du Caucase avec toi, et pour n'y plus jamais porter que des couronnes de fleurs.
Plût au ciel!
Aurais- tu les mêmes sentimens? – Pourquoi?
Tu connaîtrais alors ce que tu ne peux jamais connaître.
C'est-
Le véritable prix d'un cœur; celui d'une femme, du moins.
J'en ai éprouvé un, mille, – et mille, et mille.
Des cœurs?
Je l'imagine.
Aucun! mais le tems d'en éprouver un viendra peut-être.
Je l'espère. Écoute, Mirrha; Salemènes a déclaré-pourquoi ou comment l'a-t-il deviné, c'est ce que Bélus, le fondateur de mes états, connaît mieux que moi: – mais Salemènes a déclaré mon trône en péril.
Il a bien fait.
Et toi aussi! Toi qu'il a si rudement insultée; qu'il osait, il n'y a qu'un instant encore, chasser de notre présence, par ses grossières invectives; toi dont il excitait la rougeur et les larmes?
Je devrais les rappeler plus fréquemment: il a bien fait de m'indiquer mon devoir. Mais tu parles de péril-de péril pour toi-
Oui, il existe de conspirations, des noirs complots parmi les Mèdes: – les troupes et les peuples murmurent. Je ne sais ce que c'est: – un labyrinthe, – un abîme de mystères et de menaces. Tu connais Salemènes, c'est là son habitude; mais il est honnête. Allons, ne songeons plus à cela, – mais à la fête de minuit.
Il est tems de penser à tout autre chose. N'as-tu pas repoussé ses sages précautions?
Eh quoi! – aurais-tu peur?
Peur! – Je suis Grecque, comment aurais-je peur de la mort? je suis esclave, pourquoi redouterais-je l'instant de ma liberté?
Cependant, tu viens de pâlir?
C'est que j'aime.
Et moi? Je t'aime plus, – bien plus que tout ce que m'offrent cette courte vie, cet immense royaume, également menacés; – cependant, je ne pâlis pas.
Cela prouve que tu n'aimes ni toi-même ni moi; car celui qui aime un autre s'aime lui-même, quand ce ne serait que pour cela. Ce que je vois est trop révoltant: des royaumes et des vies ne doivent pas être ainsi sacrifiés.
Sacrifiés! – Et quel est donc l'ambitieux qui tenterait de les conquérir?
Magnanime courage en effet! Quand celui qui les gouverne s'oublie lui-même, est-ce à eux de le lui rappeler?
Mirrha!
Ne fronce pas ainsi le sourcil: trop souvent j'ai recueilli ton sourire pour que la seule expression de ton courroux ne soit pas à mes yeux plus amère que le châtiment le plus cruel. – Roi, je suis ta sujette; maître, je suis ton esclave! homme, je t'ai aimé! – aimé, j'ignore par quelle fatale faiblesse, bien que la Grèce soit ma patrie, et que j'aie sucé la haine des rois. – Esclave, je devrais haïr les chaînes; Ionienne, je me sens, en aimant un étranger, plus avilie encore par cette passion que par l'esclavage! pourtant, je t'ai aimé. Si cet amour a eu le pouvoir d'étouffer tous les premiers sentimens de la nature, dis-moi, ne peut-il réclamer le privilége de te sauver?
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