George Gordon Byron - Œuvres complètes de lord Byron, Tome 7
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Oh! sans doute, tu voudrais me voir publier en forme d'édits: «Obéissez au roi, – joignez vos tributs à ses trésors, – recrutez ses phalanges, – répandez votre sang à son premier commandement, – courbez-vous et glorifiez, ou levez-vous et travaillez.» Ou bien encore: – «Sardanapale, en ce lieu, égorgea cinquante mille de ses ennemis; voilà leur sépulcre, et voici son trophée.» Je laisse de tels soins aux conquérans; c'en est assez pour moi de chercher à alléger, pour mes sujets, le poids des misères humaines, et à adoucir leur descente vers la tombe; je ne prends aucune licence que je ne leur accorde. Tous, nous sommes des hommes.
Mais, tes aïeux furent honorés comme des dieux.
Des dieux! morts et pulvérisés, c'est-à-dire n'étant plus ni dieux ni hommes. Ne viens pas me parler de telles choses! Les vers seuls sont des dieux, puisqu'ils se repaissent de vos dieux, puisqu'ils meurent d'inanition, quand ces mets viennent à leur manquer. Crois-moi, tes divinités n'étaient que des hommes; regarde leur postérité. – Dans moi, je sens mille preuves de ma mortalité, aucune de ma nature céleste, à moins qu'on ne prenne pour telle, justement ce que vous condamnez, un penchant à l'amour, à la clémence, au pardon des folies de mes semblables, et (ce qui tient plus à l'humanité) une grande indulgence pour les miennes.
Hélas! la perte de Ninive est résolue. – Malheur, – malheur à la cité sans rivale!
Que crains-tu donc?
Tu es sous la garde de tes ennemis; dans quelques heures éclatera la tempête qui doit te renverser et les miens et les tiens; encore un jour, et la race de Bélus n'existera plus.
Que nous faut-il donc craindre?
L'ambition, la trahison qui a semé sur tes pas les piéges; une ressource reste encore: donne-moi, avec ton seing, le pouvoir d'étouffer les machinations, et je déposerai bientôt à tes pieds les têtes de tes principaux ennemis.
Les têtes! – et combien?
Faut-il les compter, quand la tienne elle-même est en danger? laisse-moi agir, donne-moi ton seing, et repose-toi sur moi du reste.
Je ne permettrai jamais de disposer d'un nombre illimité de vies. Quand nous prenons celle des autres nous ignorons et ce que nous avons pris et ce que nous avons accordé.
Quand ils en veulent à ta tête, craindrais-tu de prendre la leur?
C'est une grande question. – Oui, répondrai-je cependant. Ne peut-on trouver d'autres remèdes? Quels sont ceux que tu soupçonnes? – Je consens à ce qu'on les arrête.
J'aimerais mieux que tu ne me le demandasses pas; aussitôt, ma réponse traversera les rangs indiscrets de tes favorites, de là courra jusqu'au palais, puis jusqu'à la ville, et tout sera perdu. – Confie-toi sur moi.
En effet, tu sais que j'en ai toujours agi ainsi; prends mon seing, le voici, (Il lui donne son seing.)
Je n'ai plus qu'une requête.
Nomme-la.
Renonce, pour cette nuit, au banquet que tu as fait dresser dans le pavillon sur l'Euphrate.
Renoncer au banquet! Non, pour tous les complots qui jamais bouleversèrent un empire; qu'ils viennent, qu'ils réussissent: ils ne me feront ni trembler, ni m'éveiller plus tôt, ni déposer ma coupe. Quoi qu'ils fassent, je n'ôterai pas une seule rose de ma couronne, je ne perdrai pas une seule heure de plaisir. – Je ne les crains pas.
Mais, s'il était nécessaire, t'armerais-tu; oui, ou non?
Peut-être. J'ai d'excellentes armes, une épée d'une trempe merveilleuse; un arc, une javeline digne de Nemrode lui-même; un peu pesante, il est vrai, mais encore supportable. Et, maintenant que j'y pense, il y a long-tems que je ne m'en suis servi, même pour la chasse. Les as-tu vues, frère?
C'est bien le tems de pareilles plaisanteries! – S'il le fallait, revêtirais-tu ces armes?
Ou ne les revêtirais-je pas? Oh! s'il le faut, et que ces insolens esclaves ne veulent pas être redressés à moins, je saurai manier l'épée, jusqu'à ce qu'ils veuillent bien me permettre de revenir aux fuseaux.
Il y a déjà long-tems, disent-ils, que tu les as changés contre ton sceptre.
Mensonge! mais laissons-les dire. Les anciens Grecs, dont nos captives chantent souvent les faits, racontaient la même chose de leur plus grand héros, Hercule, parce qu'il vint à aimer une reine de Lydie. Tu le vois, partout la populace s'empare de toutes les calomnies qui peuvent blesser leurs souverains.
Ils ne parlaient pourtant pas ainsi de tes ancêtres.
Non, ils n'osaient. Contraints de souffrir et de combattre, jamais ils n'échangeaient leurs chaînes que contre des armes. Maintenant, ils ont paix et bonheur, le loisir de rire et de railler; je ne m'en fâche pas. Je ne donnerais pas le gracieux sourire d'une seule belle fille, pour toute la renommée populaire qui jamais distingua un nom du néant. Et quelle est donc l'opinion de ce vil troupeau, devenu plus insolent par la pâture, pour me forcer à rechercher ses fastidieux éloges ou craindre ses assommantes clameurs?
Vous l'avez dit, ce sont des hommes; et comme tels, ils ont parfois un cœur.
Et mes dogues aussi; le leur même est plus fidèle, et par conséquent meilleur; – mais, continuons. Tu as mon seing, et puisqu'ils sont soulevés, il faut les apaiser; mais sans trop de violence, à moins que la nécessité n'en fasse une loi. J'ai horreur de toutes les peines infligées ou subies; nous en avons assez en nous-mêmes, le dernier sujet comme le plus puissant monarque, pour ne pas encore ajouter au mutuel fardeau des misères humaines, et pour nous obliger, par une allégeance réciproque, à nous soulager l'un l'autre d'une partie de nos ennuis naturels. Mais voilà ce qu'ils ne savent pas, ou ne veulent pas savoir. J'en atteste Baal: j'ai fait tout ce que je pouvais pour les soulager; je n'ai pas entrepris de guerre, ajouté de nouveaux impôts, tourmenté leur existence; je les laisse couler leurs jours comme ils veulent, passant de mon côté les miens le plus agréablement que je puis.
Tu recules devant les devoirs d'un roi: voilà pourquoi ils disent que tu n'es pas digne d'être le leur.
Ils mentent. – Par malheur, je suis incapable d'être rien autre chose qu'un roi, et, par malheur encore pour moi, le dernier Mède peut aussi bien en tenir la place.
Du moins, il en est un qui désire l'être.
Que veux-tu dire? – Mais, c'est ton secret; tu crains les questions, et je ne suis pas d'une nature curieuse. Prends les moyens convenables; et puisque la nécessité l'exige, je t'avoue et je te soutiens. Jamais homme ne désira plus sincèrement régner paisiblement sur des citoyens paisibles; mais s'ils m'obligent à prendre les armes, mieux vaudrait pour eux avoir réveillé les cendres de l'implacable Nemrode, le chasseur puissant . Je ferai de ces royaumes une vaste forêt peuplée d'un gibier sauvage, jadis appartenant à l'espèce humaine, mais qui, par son choix, aura cessé de l'être. Ils calomnient ce que je suis; et ce que je ferai leur portera le défi de me calomnier encore: ils devront s'en prendre à eux-mêmes.
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