Brown, Dan - Le symbole perdu

Здесь есть возможность читать онлайн «Brown, Dan - Le symbole perdu» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию без сокращений). В некоторых случаях можно слушать аудио, скачать через торрент в формате fb2 и присутствует краткое содержание. Жанр: Старинная литература, на английском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале библиотеки ЛибКат.

Le symbole perdu: краткое содержание, описание и аннотация

Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «Le symbole perdu»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.

Le symbole perdu — читать онлайн бесплатно полную книгу (весь текст) целиком

Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «Le symbole perdu», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.

Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Langdon fut pris de vertige. Même pour faire plaisir à son ami, il ne pouvait « croire » sur commande.

— C’est encore loin ?

Son bandeau était trempé de sueur.

— Non. Une dernière porte à ouvrir...

Solomon le lâcha un instant. Langdon chancela une nouvelle fois. Il écarta les mains pour retrouver son équilibre. Peter revint près de lui et une autre porte coulissante s’ouvrit dans un grondement. Peter prit Langdon par le bras et lui fit franchir le seuil.

— Par ici.

La porte se referma derrière eux.

Puis ce fut le silence.

Langdon sentit que ce lieu était totalement différent des endroits qu’ils venaient de traverser. L’air était humide et froid, comme dans une tombe. L’acoustique était étrange, comme si les parois étaient toutes proches. Aussitôt sa vieille claustrophobie se réveilla.

— Encore quelques pas... (Solomon lui fit passer un angle de mur et l’arrêta.) Maintenant, vous pouvez enlever votre bandeau.

Langdon ne se fit pas prier. Il regarda autour de lui, tentant de se repérer. Mais il n’y voyait toujours rien. Il se frotta les yeux. Définitivement rien !

— Peter, il fait noir !

— Je le sais. Tendez le bras devant vous. Il y a une rambarde. Attrapez-la.

Langdon avança la main et repéra une barre en fer.

— Et maintenant... regardez !

Peter alluma la torche électrique et la lumière perça brusquement l’obscurité. Avant que Langdon ait eu le temps de savoir où il se trouvait, Peter passa le bras au-dessus de la rambarde et braqua le faisceau vers le bas.

Un puits sans fond apparut sous les yeux de Langdon... un escalier en spirale qui plongeait dans les profondeurs de la terre.

Seigneur...

Ses genoux se mirent à trembler ; il s’agrippa au garde-fou. C’était un escalier en spirale de section carrée. Il distinguait au moins trente étages avant que la lumière ne s’égare.

Je n’en vois même pas le bout !

Peter... où sommes-nous ?

— Je vais vous emmener tout en bas dans un moment. Mais, avant, je veux vous montrer quelque chose.

Peter lui fit lâcher la rambarde et traverser le petit espace. Peter gardait le faisceau de sa torche braqué sur les dalles, empêchant Langdon de se repérer.

Une minuscule pièce en pierre.

Ils atteignirent rapidement le mur opposé, percé d’une petite ouverture. Sans doute une fenêtre donnant dans une salle voisine, songea Langdon... Mais derrière, il n’y avait que l’obscurité.

— Approchez-vous, dit Peter. Allez jeter un coup d’œil.

— Qu’y a-t-il là-dedans ?

Langdon se souvenait du cabinet de réflexion dans le sous-sol du Capitole. Un instant, il avait cru découvrir une porte donnant dans une immense caverne.

— Allez-y, vous verrez bien, fit Solomon en le poussant doucement. Et accrochez-vous, parce que ça va vous faire un choc.

Ne sachant à quoi s’attendre, Langdon marcha vers la vitre. Peter éteignit sa lampe, plongeant la pièce dans l’obscurité totale.

Langdon chercha à tâtons le mur, la fenêtre... Il s’approcha encore.

Du noir. Rien que du noir.

Il avança encore, plaquant son visage contre la vitre...

Et tout lui apparut.

La confusion traversa le corps de Langdon, comme une grande vague, tourneboulant ses sens. Il faillit tomber à la renverse, incapable de garder l’équilibre, son esprit ne parvenant pas à intégrer l’image que ses yeux lui transmettaient. Un choc, effectivement, comme le disait Peter. Jamais Langdon n’aurait imaginé découvrir ce spectacle.

Un spectacle à couper le souffle.

Dans les ténèbres, une lumière brillait tel un joyau.

Tout se mit en place : la barricade, les gardes à l’entrée, la porte de métal, les portes coulissantes, cette sensation dans son estomac, cette impression de vertige, et maintenant cette pièce minuscule...

— Robert, murmura Peter derrière lui, parfois un simple changement de perspective suffit à tout illuminer.

Bouche bée, Langdon continuait à regarder l’inconcevable. Par-delà un abîme noir, deux kilomètres de vide et de ténèbres, brillait, magnifique, immaculé, le dôme d’albâtre du Capitole.

Langdon n’avait jamais vu le bâtiment du Congrès de ce point de vue : à près de cent soixante-dix mètres de hauteur, du haut du grand obélisque américain. Ce soir, pour la première fois de sa vie, Langdon avait pris l’ascenseur qui menait au minuscule belvédère, caché au sommet du Washington Monument.

129.

Robert Langdon restait plaqué contre le hublot, pétrifié. Sans s’en rendre compte, il s’était élevé à près de deux cents mètres du sol et admirait à présent un panorama à couper le souffle.

Le dôme brillant du Capitole se dressait comme une montagne au bout du National Mail. De part et d’autre du bâtiment, deux traits de lumières s’étiraient vers lui : les façades illuminées des musées du Smithsonian, temples dédiés à l’art, à l’histoire, à la science, à la culture.

Tout ce qu’avait dit Peter était vrai.

Il existe un escalier, descendant sur des centaines de mètres, sous une grande pierre.

La coiffe gigantesque de l’obélisque se trouvait juste au-dessus de sa tête. Un détail lui revint en mémoire : la coiffe qui chapeautait le Washington Monument pesait exactement trois mille trois cents livres.

Encore le nombre 33...

Plus surprenant encore, l’extrémité de cette pierre de faîte était couverte d’aluminium, un métal aussi précieux que l’or à l’époque. Ce tétraèdre brillant au sommet de l’édifice mesurait un pied de haut, la même taille que la Pyramide maçonnique. Et cette coiffe de métal était gravée de la célèbre inscription : Laus Deo. Langdon eut soudain une illumination.

C’est le message inscrit sous la pyramide maçonnique !

Les sept symboles étaient une simple transcription Le plus élémentaire des - фото 35

Les sept symboles étaient une simple transcription !

Le plus élémentaire des codes.

Chaque symbole était une lettre.

L’équerre des francs-maçons : L

L’élément Or : AU

Le sigma grec : S

Le delta grec : D

Le symbole alchimique de Mercure : E

L’Ouroboros : O

— Laus Deo, murmura Langdon.

La phrase latine bien connue, Gloire à Dieu, était inscrite au sommet de l’obélisque, en petites lettres de trois centimètres de haut.

En évidence et pourtant... invisible de tous.

Laus Deo

— Gloire à Dieu ! souffla Peter dans son dos, en allumant les lumières dans la petite salle. Le dernier code de la Pyramide.

Langdon se retourna. Son ami le regardait avec un grand sourire. Peter avait prononcé ces mots exacts, « Gloire à Dieu », un peu plus tôt dans la bibliothèque, se rappela-t-il.

Et il n’avait pas relevé.

Un frisson parcourut Langdon. La Pyramide maçonnique l’avait mené ici, au grand obélisque américain, le symbole de l’ancienne sagesse, qui se dressait vers les cieux au cœur même de la nation.

Émerveillé, Langdon se dirigea vers l’autre fenêtre d’observation, sur le mur à sa gauche, la face nord.

Il aperçut la silhouette familière de la Maison Blanche. Il leva les yeux vers l’horizon, là où la 16 eRue, telle une ligne de lumière, filait vers la Maison du Temple.

Je suis au sud d’Heredom.

Il passa à la fenêtre suivante, en continuant son exploration dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. À l’ouest, derrière les eaux miroitantes du grand bassin rectangulaire, se dressait le Mémorial Lincoln, dont l’architecture s’inspirait du Parthénon d’Athènes, le temple dédié à Athéna, la protectrice des projets héroïques.

Читать дальше
Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Похожие книги на «Le symbole perdu»

Представляем Вашему вниманию похожие книги на «Le symbole perdu» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё непрочитанные произведения.


libcat.ru: книга без обложки
Неизвестный Автор
Danielle Steel - Un Puerto Seguro
Danielle Steel
Brown, Dan - Deception point
Brown, Dan
Brown, Dan - Da Vinci code
Brown, Dan
Brown, Dan - Anges et démons
Brown, Dan
Frederic Brown - Don't Look Behind You
Frederic Brown
B.J. Daniels - Renegade's Pride
B.J. Daniels
Отзывы о книге «Le symbole perdu»

Обсуждение, отзывы о книге «Le symbole perdu» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.

x