Brown, Dan - Le symbole perdu
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En entrant dans le hall, Inoue Sato contempla un moment le cadavre d’Hartmann. Puis elle releva les yeux et se tourna vers Simkins :
— Des nouvelles de Langdon et de Mme Solomon ? Ou de Peter Solomon ?
Simkins secoua la tête.
— S’ils sont encore en vie, il les a emmenés avec lui.
— Il y a un ordinateur dans la maison ?
— Oui, madame. Dans le bureau.
— Montrez-le-moi.
Simkins ouvrit la voie. Ils traversèrent le hall pour gagner le salon où les hommes de Simkins avaient cassé une fenêtre pour pénétrer dans la maison. L’épaisse moquette était jonchée de morceaux de verre. Ils passèrent devant une grande cheminée, un tableau gigantesque, des rayonnages de livres, et gagnèrent la porte du bureau. La pièce, de l’autre côté, était lambrissée d’acajou : un grand moniteur trônait sur un secrétaire ancien. Sato s’installa au bureau et observa l’écran.
— Nom de Dieu, souffla-t-elle, le visage fermé. Simkins la rejoignit et regarda à son tour le moniteur. Il était tout noir.
— Que se passe-t-il ?
Sato désigna un socle métallique à côté de l’écran – une station d’accueil pour ordinateur.
— Il a un portable ! Il l’a pris avec lui.
Simkins ne comprenait pas l’inquiétude de sa supérieure.
— Il a des informations que vous vouliez voir ?
— Non, répliqua Sato avec gravité. Il a des informations que personne ne doit voir.
*
À la cave, Katherine Solomon avait entendu le bruit de l’hélicoptère, puis un fracas de vitre brisée. Il y avait eu des pas au-dessus. Elle avait tenté d’appeler au secours, mais son bâillon l’en empêchait. Des sons étouffés sortaient de sa bouche. Plus elle s’efforçait de crier, plus son sang s’écoulait vite.
Elle commençait à suffoquer, la tête lui tournait.
Elle devait se calmer. Sers-toi de tes neurones ! Réfléchis !
Elle ferma les yeux, et avec une volonté inflexible, elle parvint à faire le silence en elle.
*
L’esprit de Robert Langdon flottait dans le néant. Son regard s’égarait dans le vide infini, cherchant des points de repère, des phares dans la nuit. Mais il n’y avait rien.
Les ténèbres absolues. Le silence. La paix.
Il n’y avait plus de gravité pour le renseigner sur ses mouvements.
Son corps était parti.
C’était donc ça la mort ?
Le temps semblait onduler, une alternance de compression et de détente, comme si son cours s’égarait dans des méandres invisibles.
Depuis combien de temps Langdon dérivait-il dans ce néant ?
Dix secondes ? Dix minutes ? Dix jours ?
Mais, brusquement, des souvenirs resurgirent, comme des explosions d’astres lointains, propageant leur onde de choc à travers l’espace.
Tout lui revint en mémoire, d’un coup. Les images le transpercèrent comme des lances, brutales, atroces. Un visage tatoué dansait devant ses yeux. Deux mains implacables lui saisissaient la tête et la fracassaient au sol.
La douleur... l’obscurité...
Puis une lumière grise.
Une pulsation dans son crâne.
D’autres souvenirs encore... fugaces, évanescents. On le traînait par terre. On l’emmenait quelque part, sous terre. Son ravisseur psalmodiait quelque chose.
Verbum significatum.... Verbum omnificum... verbum perdo...
110.
Dans le bureau, Inoue Sato attendait que la CIA lui envoie l’information qu’elle avait demandée. L’un des avantages de travailler à Washington était la couverture satellite de la ville. Avec un peu de chance, l’un de ces mouchards en orbite avait peut-être « vu » le véhicule quitter la propriété.
— Je regrette, madame, répondit finalement le technicien. On n’a aucune couverture de ces coordonnées cette nuit. Vous voulez qu’on repositionne un satellite ?
— Non. C’est trop tard.
Sato raccrocha dans un soupir. Où donc était partie leur cible ? Elle retourna dans le hall alors que ses hommes emportaient la dépouille de Hartmann vers l’hélicoptère. Elle avait demandé à l’escouade de retourner à Langley, mais elle découvrit Simkins dans le salon, à quatre pattes.
— Ça ne va pas ? s’enquit Sato.
Il releva la tête, l’air perplexe.
— Vous avez vu ça ? demanda-t-il en désignant le sol.
Sato s’approcha et contempla l’épaisse moquette. Elle ne voyait rien.
— Baissez-vous, insista Simkins. Placez les yeux au ras du sol.
Elle s’exécuta. Les boucles de la moquette étaient écrasées, formant deux sentes parallèles qui traversaient la pièce.
— Ce qui est curieux, c’est l’endroit où se terminent ces traces, expliqua Simkins.
Sato suivit les empreintes. Elles semblaient s’arrêter devant le grand tableau à côté de la cheminée, un tableau qui couvrait tout le mur, du sol au plafond.
Simkins s’approcha et tenta de le décrocher, mais la peinture ne bougea pas d’un millimètre.
— Il est vissé au mur, dit-il en faisant courir ses doigts sur le cadre. Attendez, il y a quelque chose.
Son doigt avait trouvé un petit levier. Il l’actionna et entendit un déclic.
Sato recula tandis que Simkins achevait de faire pivoter le tableau.
Il leva sa lampe torche pour éclairer le conduit de l’autre côté.
Bingo ! songea Sato.
Devant eux, se dressait une porte métallique.
*
La vague de souvenirs qui avait déferlé dans l’esprit de Langdon s’était retirée, laissant juste un essaim de points lumineux... Et cette voix, semblant provenir d’outre-tombe, qui continuait à psalmodier.
Verbum significatum.... Verbum omnificum... verbum perdo...
On eût dit un cantique médiéval.
Verbum significatum.... Verbum omnificum... Les mots se perdirent à leur tour dans le néant, faisant naître d’autres échos, d’autres voix.
Apocalypse... Franklin... Apocalypse... Verbum... Apocalypse...
Soudain, une cloche sonna au loin. Un glas lugubre. Le son approchait et les tintements se faisaient plus pressants, comme pour attirer l’attention de Langdon. Le signal du départ ?
111.
La cloche dans la tour sonna pendant trois minutes entières, faisant vibrer les larmes de cristal du lustre suspendu au-dessus de Langdon. Des dizaines d’années plus tôt, il avait suivi des cours magistraux dans cette salle élégante de la Phillips Exeter Academy. Aujourd’hui, toutefois, il était venu écouter un ami qui allait donner une conférence devant un parterre d’étudiants. Au moment où les lumières diminuaient, Langdon s’installa au fond sous les tableaux des illustres maîtres de l’université.
Le silence tomba dans la salle.
Dans le noir total, une silhouette longiligne monta sur le podium.
— Bonjour à tous, chuchota l’ombre chinoise dans le micro.
Tout le monde tendit le cou, dans l’espoir de voir le visage du conférencier.
Un projecteur de diapositives s’alluma et une photographie sépia s’afficha derrière le pupitre : un grand château fait de grès, ceint de tours carrées et décoré d’ogives.
L’homme dissimulé dans l’ombre reprit :
— Qui sait où se trouve cette construction ?
— En Angleterre, s’écria une fille dans l’assistance. La façade est un mélange d’architecture gothique et romane. C’est un château normand typique du XII esiècle !
— Je vois que nous avons une spécialiste parmi nous, constata l’orateur. (De petits rires résonnèrent dans la salle.) Malheureusement, vous vous trompez de cinq mille kilomètres et d’un demi-millénaire.
Une rumeur d’étonnement parcourut la salle.
Une nouvelle image apparut à l’écran. La même photographie, mais cette fois, en couleur. Derrière les imposantes tours de grès rouge, on apercevait en arrière-plan, tout près, le dôme blanc du Capitole.
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