Brown, Dan - Le symbole perdu

Здесь есть возможность читать онлайн «Brown, Dan - Le symbole perdu» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию без сокращений). В некоторых случаях можно слушать аудио, скачать через торрент в формате fb2 и присутствует краткое содержание. Жанр: Старинная литература, на английском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале библиотеки ЛибКат.

Le symbole perdu: краткое содержание, описание и аннотация

Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «Le symbole perdu»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.

Le symbole perdu — читать онлайн бесплатно полную книгу (весь текст) целиком

Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «Le symbole perdu», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.

Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Plus étonnant encore, Langdon se rendait compte à présent que la coiffe donnait effectivement la clé pour décoder la grille de symboles. C’était élémentaire. Comme l’avait dit Peter Solomon, le sommet de la pyramide était un talisman puissant, capable de faire naître l’ordre du chaos.

Langdon tambourina sur le couvercle.

— J’ai trouvé ! J’ai trouvé !

Au-dessus de lui, la pyramide disparut. Le visage tatoué lui succéda. L’homme le regarda fixement.

— J’ai résolu l’énigme ! cria Langdon. Laissez-moi sortir !

Lorsque l’homme répondit, Langdon n’entendait plus rien. Mais il put lire sur les lèvres : « Parlez. »

— Oui ! Je vais vous le dire ! hurla Langdon, l’eau lui recouvrant les yeux. Sortez-moi de là ! Je vais tout vous expliquer !

C’était si simple !

Les lèvres du géant remuèrent encore : « Parlez... ou mourez. »

L’eau grignotait ses derniers centimètres cubes d’air. Langdon renversa sa tête en arrière, pour garder la bouche au-dessus de la surface. Il ne voyait plus rien. En se cabrant, il plaqua ses lèvres sur la vitre de Plexiglas.

Il consuma ses dernières secondes d’air pour expliquer comment on déchiffrait la Pyramide maçonnique.

Sitôt qu’il eut fini, l’eau s’engouffra dans sa gorge. Par réflexe, il prit une dernière inspiration et ferma la bouche. Un instant plus tard, il était entièrement submergé. Le liquide avait complètement envahi le caisson.

*

Il a réussi ! pensa Mal’akh. Langdon avait percé le secret de la pyramide.

La solution était effectivement évidente.

Derrière le hublot, Robert Langdon l’implorait du regard.

Mal’akh secoua la tête et articula doucement, pour que Langdon puisse lire sur ses lèvres :

— Merci, professeur. Bon voyage dans l’au-delà.

103.

Comme tout bon nageur, Langdon s’était souvent demandé ce qu’éprouvaient les gens qui se noyaient. Maintenant, il était aux premières loges ! Même s’il pouvait retenir sa respiration plus longtemps que la moyenne, il sentait déjà les effets du manque d’oxygène dans son corps. Le dioxyde de carbone s’accumulait dans son sang, tous ses voyants internes passaient au rouge, réveillant son instinct de survie...

Retiens-toi !

L’envie de respirer devenait chaque seconde plus irrépressible. Il approchait du point de rupture – ce moment où l’on ne peut plus lutter contre le réflexe.

Ouvrez le couvercle !

Langdon brûlait de cogner à la paroi, mais mieux valait économiser l’oxygène. Immobile, il fixait des yeux le hublot dans le brouillard liquide, tentant de croire en sa bonne étoile. Le monde extérieur n’était plus qu’une tache de lumière derrière le Plexiglas. Ses muscles étaient en feu... premiers signes de l’hypoxie.

Soudain, un beau visage apparut au-dessus de lui, flottant dans l’air, tel celui d’un ange. C’était Katherine. Ses yeux se posèrent sur lui. Langdon eut une bouffée d’espoir. Elle allait le sauver. Katherine ! Mais il l’entendit crier d’horreur. Son ravisseur l’avait amenée là uniquement pour qu’elle assiste à son supplice.

Katherine, je suis désolé...

Dans ce caisson obscur, noyé d’eau, Langdon vivait ses derniers moments. Il allait cesser d’exister... d’être... ce qu’il était... ce qu’il avait été... ce qu’il aurait pu être... Tout s’arrêtait là. Quand son cerveau mourrait, tous ses souvenirs, toutes ses connaissances chèrement acquises se dissoudraient dans un raz de marée chimique.

Langdon mesurait son insignifiance. Une particule dans l’univers. Jamais il n’avait ressenti cette solitude, cette humilité. Comme une délivrance, le point de rupture arriva.

Le réflexe de survie qui allait mettre fin à ses jours.

Ses poumons expulsèrent soudain leur air vicié, se comprimant pour l’inspiration. Mais Langdon résista encore. Son dernier instant. L’ultime. Puis il abandonna la partie.

Le réflexe contre la raison.

Sa bouche s’ouvrit.

Ses poumons aussi.

Et le liquide entra en lui.

La douleur dans sa poitrine fut plus vive qu’il ne le supposait. Le liquide emplit ses poumons, comme de la lave. Un violent éclair lui traversa le crâne ; il avait l’impression que sa tête était écrasée dans un étau. Un bourdonnement assourdissant retentit dans ses oreilles. Et, derrière, les hurlements de Katherine.

Puis un grand flash de lumière.

Puis les ténèbres.

Et ce fut la fin.

104.

Robert est mort.

Katherine s’était arrêtée de crier. La vision de Langdon, noyé dans le caisson, la paralysait d’effroi.

Derrière le hublot, les yeux de son ami étaient écarquillés, le regard vide. Son visage était figé en un masque de douleur et de regret. D’ultimes petites bulles d’air montaient de sa bouche, puis, lentement, comme si l’âme acceptait de quitter le corps, le cadavre s’enfonça dans l’eau, disparaissant de sa vue.

C’était fini.

Implacable, Mal’akh referma le panneau du hublot, abandonnant la dépouille de Langdon dans son cercueil.

Puis il se tourna vers Katherine avec un grand sourire :

— On y va ?

Sans attendre sa réponse, l’homme la chargea sur son épaule, éteignit la lumière et sortit de la pièce. En quelques enjambées vigoureuses, il emporta sa prisonnière dans la salle où régnait la lumière pourpre. Une forte odeur d’encens y planait. Comme un vulgaire sac, il lâcha Katherine sur une table carrée au centre de la pièce. Le choc lui coupa le souffle. Dans son dos, la surface était froide et rêche. De la pierre ?

Ne lui laissant pas le temps de récupérer, il lui retira les fils de fer qui entravaient ses poignets et ses chevilles. Par réflexe, elle tenta de se sauver, mais ses membres ankylosés ne lui obéissaient plus. Il l’attacha aussitôt sur la table avec de larges sangles, une passée sur ses jambes, et une autre sur sa taille qui emprisonnait ses bras. Il en plaça une dernière sur sa poitrine, juste au-dessus des seins.

En quelques minutes, Katherine fut de nouveau immobilisée. Le sang revenait peu à peu dans ses membres.

— Ouvrez la bouche, chuchota l’homme en passant sa langue sur ses lèvres.

Katherine serra les dents de dégoût.

Il approcha de nouveau son index. Le contact de ce doigt courant sur ses lèvres donna à Katherine la chair de poule. Elle serra davantage les dents. Son tortionnaire lâcha un petit rire. De son autre main, il trouva un point de compression dans la nuque et pressa d’un coup. Les mâchoires de Katherine s’ouvrirent soudain. A nouveau, l’index pénétra dans sa bouche, s’enroula à sa langue. Elle hoqueta, et tenta de le mordre, mais l’homme avait déjà retiré son doigt. D’un air satisfait, il observa son index humide. Puis il ferma les paupières et, à nouveau, il enduisit de salive le sommet de son crâne.

L’homme poussa un long soupir et ouvrit les yeux. Tranquillement, il tourna alors les talons et quitta la pièce.

Dans le silence, Katherine entendait les battements de son cœur. Juste au-dessus d’elle, un assemblage curieux de lampes semblait moduler la lumière dans la pièce, passant de l’ambiance lumineuse pourpre à un indigo profond. Quand elle découvrit le plafond, elle s’immobilisa de surprise : il était couvert de dessins – une sorte de carte ésotérique du ciel, avec les étoiles, les planètes, les constellations, entremêlées de symboles astrologiques, de signes kabbalistiques et de formules magiques. Des lignes matérialisaient les orbites elliptiques, des tableaux d’angles indiquaient l’ascension droite et la déclinaison des astres, ornés de créatures du zodiaque qui la regardaient fixement. La chapelle Sixtine d’un fou.

Читать дальше
Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Похожие книги на «Le symbole perdu»

Представляем Вашему вниманию похожие книги на «Le symbole perdu» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё непрочитанные произведения.


libcat.ru: книга без обложки
Неизвестный Автор
Danielle Steel - Un Puerto Seguro
Danielle Steel
Brown, Dan - Deception point
Brown, Dan
Brown, Dan - Da Vinci code
Brown, Dan
Brown, Dan - Anges et démons
Brown, Dan
Frederic Brown - Don't Look Behind You
Frederic Brown
B.J. Daniels - Renegade's Pride
B.J. Daniels
Отзывы о книге «Le symbole perdu»

Обсуждение, отзывы о книге «Le symbole perdu» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.

x