Талант повиноваться в согласии с нашей совестью – добродетель . Но талант борьбы , который требует, чтоб мы не повиновались против нашей совести, – тоже добродетель!
Природа представляется нам самою огромною гармоническою анархией, и именно оттого-то в природе все в порядке, что идет само по себе. Разумеется, анархия в этом смысле не значит tohu-bohu <���беспорядок (франц.)>, путаница капризов, странностей. Признание анархии в мысли не значит освобождение ее от логики, но дело в том, что я не из повиновения говорю, что 2×2=4. Религия – совсем напротив, она, как монархия, требует не только талант разумения, но и талант послушания и верования.
Без таланта борьбы и противудействия мир бы еще стоял на точке Японии, не было бы ни истории, ни развития…
«Всякая власть от бога», – сказал ап. Павел, а сам был мятежный гражданин римский, богохулец Дианы Ефесской, бродящий демагог на Via Appia, общинник (partageux), казненный цезарем именно за то, что он у него не находил достаточно развитым талант повиновения.
Вы, как мыслитель, должны извинить меня, что я против вас отстаиваю мои мнения, зная очень хорошо сравнительную слабость моих сил.
Как только я буду в Лондоне, непременно явлюсь с моим почтением к г-же Карлейль, и очень буду рад вас видеть в моей Ричмондской пустыне для того, чтобы продолжать viva voce <���в личной беседе (итал.)> наши споры.
Чомле-Лодж, Ричмонд, 14 апреля 1855».
глупостей (франц.). – Ред .
«Моск<���овские> вед<���омости>» воображают, что Примроз-Гилль в Гайд-парке. Он верст пять от него. Это <���бо>льшой холм на огромном пустыре за зоологическим садом.
Честь не была затронута (франц.). – Ред .
глава казначейства (англ.). – Ред .
и вот мы здесь (англ.). – Ред .
Héroïne du premier chapitre.
подлинную (лат.). – Ред .
неизведанная область (лат.). – Ред.
В царстве истины (нем.). – Ред .
Героиня первой главы.
«в широкий океан» (итал.). – Ред.
Запись обрывается на половине страницы. – Ред .
J. Stuart Mill. On Liberty.
Moïse connaissait bien son monde lorsqu’il mettait dans le premier commandement une défense de diviniser toute chose, il n’y a pas d’abstraction logique, pas de nom collectif, pas de généralité – qui n’aient été pour un certain temps promus au rang de divinité. Les iconoclastes du rationalisme faisant une guerre acharnée contre les idoles, s’étonnaient de voir qu’à mesure qu’ils terracent les dieux de leurs piédestals – d’autres poussent à leur place d’une matière moins dense. Et le plus souvent ils ne s’étonnent même pas – car ils acceptent ces nouveaux dieux – tout de bon – pour les vrais.
Des naturalistes qui se croient matérialistes parlent des plans prémédités – dans la nature, de son économie et autres bonnes qualités. Comme si la «natura sic voluit» était plus claire que «fiat lux». C’est du fétichisme à la troisième puissance. A la première – boue le sang de S. Janvier, à la seconde – on fait descendre la pluie pendant la sécheresse – à la troisième on découvre les arrière-pensées des éléments, les conspirations tramées par les affinités chimiques et on apprécie l’intendance de la nature – qui prépare autant de jaune d’œufs qu’il y a d’embryons. Il y a peu de sujets plus pitoyables que les dissertations superbes des protestants – prouvant avec ironie et amertume – ce qu’il y a d’absurde à croire aux miracles opérés par le sang de S. Janvier – et ne doutant pas le moindre du monde de l’efficacité météorologique d’une prière de l’archevêque. Comme si c’était plus difficile pour le bon Dieu de faire bouillir le sang de S. Janvier, que d’arroser en septembre les champs protestants. C’est ridicule, mais il y a là quelquefois – une simplicité si naïve et une bonhomie si simple qu’on ne s’en indigne pas. Le piétisme idéaliste dans la physiologie ou la géologie est bien autrement révoltant.
С’est une concession, un compromis entre la vérité connue et le mensonge adopté, entre la conscience et les vues personnelles; c’est une trahison de la science, c’est une simonie d’un autre genre – ou une déviation étonnante de la dialectique – que peut on dire à un naturaliste qui se met à s’extasier avec piété de la bonté infinie et de la sagesse sans bornes de la providence qui a donné les ailes – précisément aux oiseaux… Sans les ailes ces pauvres créatures seraient tombées… et se seraient cassé le cou! N’est-ce pas – c’est pour cela qu’ils chantent chaque matin leur prière ornytologique!
Il y a maintenant en Angleterre quelques écoles et quelques associations d’ouvriers (par ex. à Rochdale) qui s’accroissent de plus en plus.
В рукописи недостает одного листа. – Ред.
Les théologiens en général ont plus de courage, ils disent franchement qu’un cheveu ne tombera de la tête d’un homme sans la volonté suprême – mais laissent toute la responsabilité des actes et même des pensées peser sur l’individu… Le fatalisme scientifique au contraire prétend qu’il n’admet pas du tout la prédestination individuelle – pour nous autres simples mortels… quant aux autres, nous avons assez entendu ex post forto sur la prédestination d’Alexandre le Grand et la vocation de Pierre I er…mais soit, il ne s’occupe que des masses, il arrange les destinées en gros… Et je demanderai avec mes amis les sophistes d’Athènes, où est la limite entre le troupeau et l’individu, quand est-ce que les quelques graines – commencent à faire un tas? – nous ne le savons pas.
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