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Alexandre Dumas: La Dame de Monsoreau Tome I

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La Dame de Monsoreau Tome I: краткое содержание, описание и аннотация

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Le dimanche gras de l'année 1578, après la fête du populaire, et tandis que s'éteignaient dans les rues les rumeurs de la joyeuse journée, commençait une fête splendide dans le magnifique hôtel que venait de se faire bâtir, de l'autre côté de l'eau et presque en face du Louvre, cette illustre famille de Montmorency qui, alliée à la royauté de France, marchait l'égale des familles princières. Cette fête particulière, qui succédait à la fête publique, avait pour but de célébrer les noces de François d'Epinay de Saint-Luc, grand ami du roi Henri III et l'un des favoris les plus intimes, avec Jeanne de Cossé-Brissac, fille du maréchal de France de ce nom. Le repas avait eu lieu au Louvre, et le roi, qui avait consenti à grand-peine au mariage, avait paru au festin avec un visage sévère qui n'avait rien d'approprié à la circonstance …' 'La Dame de Monsoreau' est, à la suite de 'La Reine Margot', le deuxième volet du somptueux ensemble historique que Dumas écrivit sur la Renaissance.

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– Dame! dit Quélus, comme le batelier du Louvre passera sans doute la nuit à nous attendre, à votre place, monsieur, je prendrais le petit bac du Pré-aux-Clercs, je me ferais descendre à la tour du coin, je suivrais le quai jusqu'au Grand-Châtelet, et par la rue de la Tixeranderie, je gagnerais le faubourg Saint-Antoine. Une fois au bout de la rue Saint-Antoine, si vous passez l'hôtel des Tournelles sans accident, il est probable que vous arriverez sain et sauf à la mystérieuse maison dont vous nous parliez tout à l'heure.

– Merci de l'itinéraire, monsieur de Quélus, dit Bussy. Vous dites le bac au Pré-aux-Clercs, la tour du coin, le quai jusqu'au Grand-Châtelet, la rue de la Tixeranderie et la rue Saint-Antoine. On ne s'en écartera pas d'une ligne, soyez tranquille.

Et, saluant les cinq amis, il se retira en disant tout haut à Balzac d'Entragues:

– Décidément, Antraguet, il n'y a rien à faire avec ces gens-là, allons-nous-en.

Livarot et Ribeirac se mirent à rire, suivant Bussy et d'Entragues, qui s'éloignèrent, mais qui, en s'éloignant, se retournèrent plusieurs fois.

Les mignons demeurèrent calmes; ils paraissaient décidés à ne rien comprendre.

Comme Bussy allait franchir le dernier salon où se trouvait madame de Saint-Luc, qui ne perdait pas des yeux son mari, Saint-Luc lui fit un signe, montrant de l'œil le favori du duc d'Anjou, qui s'éloignait. Jeanne comprit avec cette perspicacité qui est le privilège des femmes, et, courant au gentilhomme, elle lui barra le passage.

– Oh! monsieur de Bussy, dit elle, il n'est bruit que d'un sonnet que vous avez fait, à ce qu'on assure.

– Contre le roi, madame? demanda Bussy.

– Non; mais en honneur de la reine. Oh! dites-le-moi.

– Volontiers, madame, dit Bussy.

Et, offrant son bras à madame de Saint-Luc, il s'éloigna en récitant le sonnet demandé.

Pendant ce temps, Saint-Luc s'en revint tout doucement du côté des mignons, et il entendit Quélus qui disait:

– L'animal ne sera pas difficile à suivre avec de pareilles brisées; ainsi donc, à l'angle de l'hôtel des Tournelles, près la porte Saint-Antoine, en face l'hôtel Saint-Pol.

– Avec chacun un laquais? demanda d'Épernon.

– Non pas, Nogaret, non pas, dit Quélus, soyons seuls, sachons seuls notre secret, faisons seuls notre besogne. Je le hais, mais j'aurais honte que le bâton d'un laquais le touchât; il est trop bon gentilhomme.

– Sortirons-nous tous six ensemble? demanda Maugiron.

– Tous cinq, et non pas tous six, dit Saint-Luc.

– Ah! c'est vrai, nous avions oublié que tu avais pris femme. Nous te traitions encore en garçon, dit Schomberg.

– En effet, reprit d'O, c'est bien le moins que le pauvre Saint-Luc reste avec sa femme la première nuit de ses noces.

– Vous n'y êtes pas, messieurs, dit Saint-Luc; ce n'est pas ma femme qui me retient, quoique, vous en conviendrez, elle en vaille bien la peine; c'est le roi.

– Comment, le roi?

– -Oui, Sa Majesté veut que je la reconduise au Louvre.

Les jeunes gens le regardèrent avec un sourire que Saint-Luc chercha vainement à interpréter.

– Que veux-tu? dit Quélus, le roi te porte une si merveilleuse amitié, qu'il ne peut se passer de toi. D'ailleurs, nous n'avons pas besoin de Saint-Luc, dit Schomberg. Laissons-le donc à son roi et à sa dame.

– Heu! la bête est lourde, fit d'Épernon.

– Bah! dit Quélus, qu'on me mette en face d'elle; qu'on me donne un épieu, j'en fais mon affaire.

On entendit la voix de Henri qui appelait Saint-Luc.

– Messieurs, dit-il, vous l'entendez, le roi m'appelle; bonne chasse, au revoir.

Et il les quitta aussitôt. Mais, au lieu d'aller au roi, il se glissa le long des murailles encore garnies de spectateurs et de danseurs, et gagna la porte que touchait déjà Bussy, retenu par la belle mariée, qui faisait de son mieux pour ne pas le laisser sortir.

– Ah! bonsoir, monsieur de Saint-Luc, dit le jeune homme. Mais comme vous avez l'air effaré! Est-ce que, par hasard, vous seriez de la grande chasse qui se prépare? Ce serait une preuve de votre courage, mais ce n'en serait pas une de votre galanterie.

– Monsieur, répondit Saint-Luc, j'avais l'air effaré parce que je vous cherchais.

– Ah! vraiment?

– Et que j'avais peur que vous ne fussiez parti. Chère Jeanne, ajouta-t-il, dites à votre père qu'il tâche d'arrêter le roi; il faut que je dise deux mots en tête-à-tête à M. de Bussy.

Jeanne s'éloigna rapidement; elle ne comprenait rien à toutes ces nécessités; mais elle s'y soumettait, parce qu'elle les sentait importantes.

– Que voulez-vous me dire, monsieur de Saint-Luc? demanda Bussy.

– Je voulais vous dire, monsieur le comte, répondit Saint-Luc, que si vous aviez quelque rendez-vous ce soir, vous feriez bien de le remettre à demain, attendu que les rues de Paris sont mauvaises, et que si ce rendez-vous, par hasard, devait vous conduire du côté de la Bastille, vous ferez bien d'éviter l'hôtel des Tournelles, où il y a un enfoncement dans lequel plusieurs hommes peuvent se cacher. Voilà ce que j'avais à vous dire, monsieur de Bussy. Dieu me garde de penser qu'un homme comme vous puisse avoir peur. Cependant réfléchissez.

En ce moment on entendait la voix de Chicot, qui criait:

– Saint-Luc, mon petit Saint-Luc, voyons, ne te cache pas comme tu fais. Tu vois bien que je t'attends pour rentrer au Louvre.

– Sire, me voici, répondit Saint-Luc en s'élançant dans la direction de la voix de Chicot.

Près du bouffon était Henri III, auquel un page tendait déjà le lourd manteau fourré d'hermine, tandis qu'un autre lui présentait de gros gants montant jusqu'aux coudes, et un troisième le masque de velours doublé de satin.

– Sire, dit Saint-Luc en s'adressant à la fois aux deux Henri, je vais avoir l'honneur de porter le flambeau jusqu'à vos litières.

– Point du tout, dit Henri, Chicot va de son côté, moi du mien. Mes amis sont tous des vauriens qui me laissent retourner seul au Louvre tandis qu'ils courent le carême prenant. J'avais compté sur eux, et les voilà qui me manquent; or tu comprends que tu ne peux me laisser partir ainsi. Tu es un homme grave et marié, tu dois me ramener à la reine. Viens, mon ami, viens. Holà! un cheval pour M. Saint-Luc. Non pas; c'est inutile, ajouta-t-il en se reprenant, ma litière est large; il y a place pour deux.

Jeanne de Brissac n'avait pas perdu un mot de cet entretien, elle voulut parler, dire un mot à son mari, prévenir son père que le roi enlevait Saint-Luc; mais Saint-Luc, plaçant un doigt sur sa bouche, l'invita au silence et à la circonspection.

– Peste! dit-il tout bas, maintenant que je me suis ménagé François d'Anjou, n'allons pas nous brouiller avec Henri de Valois.- Sire, ajouta-t-il tout haut, me voici. Je suis si dévoué à Votre Majesté, que, si elle l'ordonnait, je la suivrais jusqu'au bout du monde.

Il y eut un grand tumulte, puis grandes génuflexions, puis grand silence pour ouïr les adieux du roi à mademoiselle de Brissac et à son père. Ils furent charmants.

Puis les chevaux piaffèrent dans la cour, les flambeaux jetèrent sur les vitraux leurs rouges reflets. Enfin, moitié riant, moitié grelottant, s'enfuirent, dans l'ombre et la brume, tous les courtisans de la royauté et tous les conviés de la noce.

Jeanne, demeurée seule avec ses femmes, entra dans sa chambre et s'agenouilla devant l'image d'une sainte en laquelle elle avait beaucoup de dévotion. Puis elle ordonna qu'on la laissât seule, et qu'une collation fût prête pour le retour de son mari.

M. de Brissac fit plus, il envoya six gardes attendre le jeune marié à la porte du Louvre, afin de lui faire escorte lorsqu'il reviendrait. Mais, au bout de deux heures d'attente, les gardes envoyèrent un de leurs compagnons prévenir le maréchal que toutes les portes étaient closes au Louvre, et qu'avant de fermer la dernière, le capitaine du guichet avait répondu:

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