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[1]Célèbre général de Pierre le Grand et de l’impératrice Anne.
[2]Qui veut dire maître, pédagogue. Les instituteurs étrangers l’ont adopté pour nommer leur profession.
[3]Ce mot signifie qui n’a pas encore sa croissance. On appelle ainsi les gentilshommes qui n’ont pas encore pris de service.
[4]Avdolia, fille de Basile. On sait qu’en Russie le nom patronymique est inséparable du prénom, et bien plus usité que le nom de famille.
[5]Diminutif de Piôtr, Pierre.
[6]Anastasie, fille de Garasim.
[7]Chef-lieu du gouvernement d’Orenbourg, le plus oriental de la Russie d’Europe, et qui s’étend même en Asie.
[8]Pelisse courte n’atteignant pas le genou.
[9]Jean, fils de Jean.
[10]Le rouble valait alors, comme aujourd’hui le rouble d’argent, quatre francs de notre monnaie.
[11]Pierre, fils d’André.
[12]Espèce de cidre qui fait la boisson commune des Russes.
[13]Ouragan de neige.
[14]Tapis fait de la seconde écorce du tilleul et qui couvre la capote d’une kibitka.
[15]Parrain du mariage.
[16]Planchette de sapin ou de bouleau, qui sert de chandelle.
[17]Fleuve qui se jette dans l’Oural.
[18]Bouilloire à thé
[19]Cafetan court.
[20]Les paysans russes portent la hache passée dans la ceinture ou derrière le dos.
[21]Lit ordinaire des paysans russes.
[22]Allusion aux récompenses faites par les anciens tsars à leurs boyards, auxquels ils donnent leur pelisse.
[23]Maisons de paysans.
[24]Grossières gravures enluminées.
[25]Jean, fils de Kouzma.
[26]Formule de politesse affable.
[27]Officier subalterne de Cosaques.
[28]Alexis, fils de Jean.
[29]Basile (au féminin), fille d’Iégor.
[30]Jean, fils d’Ignace.
[31]Diminutif de Maria.
[32]Soupe russe faite de viande et de légumes.
[33]En russe, on dit tant d’âmes pour tant de paysans.
[34]Poète célèbre alors, oublié depuis.
[35]Ils sont écrits dans le style suranné de l’époque.
[36]Poète ridicule, dont Catherine II s’est moquée jusque dans son Règlement de l’ermitage .
[37]Manière méprisante d’écrire le nom patronymique.
[38]Formule de consentement.
[39]Environ trois pouces.
[40]De Catherine II.
[41]Jurement tatar.
[42]Ce mot, pris dans Pougatcheff, signifie épouvantail.
[43]Robe parée; c’est l’usage, chez les Russes, d’enterrer les morts dans leurs plus riches habits.
[44]Ceintures que portent tous les paysans russes.
[45]Pierre III.
[46]Petite armoire plate et vitrée où l’on enferme les saintes images, et qui forme un autel domestique.
[47]Chef militaire chez les Cosaques.
[48]À vapeur.
[49]Pièce de cinq kopeks en cuivre.
[50]Le premier des faux Démétrius.
[51]Allusion aux anciennes formules des suppliques adressées au tsar: «Je frappe la terre du front, et je présente ma supplique à tes yeux lucides…».
[52]Alors on leur arrachait les narines. Cette coutume barbare a été abolie par l’empereur Alexandre.
[53]Blanc bec.
[54]Il y a également dans le russe un mot forgé avec le verbe «suborner».
[55]Fille d’un autre commandant de forteresse, que tua Pougatcheff.
[56]Nom d’un célèbre bandit du siècle précédent, qui a lutté longtemps contre les troupes impériales.
[57]Pour la torture.
[58]Légère escarmouche où l’avantage était resté à Pougatcheff
[59]Nom donné à Frédéric le Grand par les soldats russes.
[60]Titre d’un officier supérieur.
[61]Nom général des établissements métallurgiques de l’Oural.
[62]Diminutif de Iéméliane.
[63]Après s’être avancé jusqu’aux portes de Moscou, qu’il aurait peut-être enlevé si son audace n’eût faibli au dernier moment, Pougatcheff, battu, avait été livré par ses compagnons pour cent mille roubles. Enfermé dans une cage de fer et conduit à Moscou, il fut exécuté en 1775.
[64]Petit chariot d’été.
[65]Un aïeul de Pouschkine fut condamné à mort par Pierre le Grand.
[66]Chefs du parti russe contre Biron, sous l’impératrice Anne; ils furent tous deux suppliciés avec barbarie.
[67]Anne, fille de Blaise.
[68]Roumiantzeff, vainqueur des Turcs à Larga et à Kagoul en 1772.