Blake Pierce - Le Sourire Idéal

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Dans LE SOURIRE IDÉAL (Tome 4), la profileuse criminelle Jessie Hunt, 29 ans, fraîchement diplômée de l’Académie du FBI, doit résoudre une nouvelle affaire dérangeante : une femme d’une trentaine d’années a été assassinée après avoir utilisé un site web de rencontres pour sortir avec des hommes mariés.Est-ce qu’elle a trop fait confiance à un des hommes mariés ?Est-ce qu’elle a été victime d’un chantage ? D’un harceleur ?Ou y avait-il un mobile beaucoup plus malveillant ?La liste des suspects emmène Jessie dans des quartiers riches et impeccablement entretenus, derrière le voile de vies en apparence idéales qui sont en fait pourries jusqu’à la moelle. Le tueur, comprend Jessie, doit se cacher derrière un de ces sourires faux et artificiels.Essayant à la fois d’attraper un tueur et de soutenir sa propre psyché fragile, Jessie doit sonder les profondeurs de sa psychose. Pendant ce temps-là, son propre père assassin est dans la nature et ne reculera devant rien pour la tuer.Thriller psychologique haletant aux personnages inoubliables et au suspense terrifiant, LE SOURIRE IDÉAL est le tome 4 d’une nouvelle série captivante dont vous tournerez les pages tard dans la nuit.Le tome 5 de la série de Jessie Hunt sera disponible bientôt.

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— Sors d’ici, lui dit-il en la prenant par un poignet et en l’arrachant à l’horreur qui se trouvait devant elle. Va t’asseoir sur le lit. J’appelle la police.

Gabrielle arrêta de hurler, heureuse d’avoir une instruction à suivre. Elle repartit machinalement jusqu’au lit, où elle s’assit, fixant le sol du regard sans vraiment le voir. Derrière elle, elle entendit la voix de Carter, distante et métallique.

— J’ai besoin de signaler un meurtre. Il y a le cadavre d’une femme dans la baignoire. On dirait qu’elle a été poignardée.

Gabby ferma les yeux et les crispa, mais en vain. L’image de Claire, qui gisait sans défense et toute molle dans la salle de bains à seulement quelques mètres, avait été gravée dans sa mémoire.

CHAPITRE TROIS

Le marshal se comportait comme un con. Tout ce que Jessie voulait, c’était aller faire un jogging. Il répétait constamment « C’est une mauvaise idée », ce qui signifiait en fait « C’est interdit ». Il montrait le tapis de course dans le coin du salon comme si cet appareil détenait la réponse à tous ses soucis.

— Mais j’ai besoin de prendre l’air, dit-elle, consciente d’être vraiment trop geignarde.

Le marshal, qu’elle ne connaissait que sous le nom de Murph, n’était pas le mec le plus causant du monde, chose frustrante, vu qu’il était le premier responsable de son équipe de gardes du corps. De petite taille et svelte, avec des cheveux marron clair qui donnaient l’impression qu’il les faisait couper toutes les semaines, il semblait satisfait d’éviter complètement de parler si possible. Comme pour le prouver, il répondit en montrant la cour de derrière d’un signe de tête. Jessie essaya de se rappeler s’il était un des marshals qui avaient été assassinés dans le cauchemar de la nuit dernière. Une partie d’elle-même l’aurait souhaité.

En vérité, Jessie n’avait pas seulement besoin d’air frais ou de faire du jogging. Elle voulait se rendre dans les hôpitaux du coin pour voir si un homme correspondant à la description de son père y était venu depuis sa dernière vérification, avant le jour où elle avait été placée dans ce refuge. L’inspecteur Ryan Hernandez, son ex-collègue, était supposé la tenir au courant sur ce point mais, comme elle n’avait pu contacter personne ces derniers temps, et lui non plus, elle ne savait pas s’il avait trouvé quelque chose.

Jessie était quasiment sûre que le marshal connaissait ses véritables intentions, mais cela ne l’exaspérait pas moins. Enfermée dans cette maison, elle devenait folle et, même si elle savait qu’on l’y gardait pour la protéger, elle avait atteint les limites de sa patience, particulièrement après le rêve de la nuit dernière. Elle avait décidé qu’il fallait que quelque chose change et il n’y avait qu’un moyen pour cela.

— Je veux voir le capitaine Decker, dit-elle fermement.

Le marshal sembla réticent à répondre, comme s’il espérait qu’il pourrait ignorer cette demande comme il l’avait fait avec toutes les autres, mais, bien sûr, il ne le pouvait pas. Jessie ne pouvait pas les forcer à la laisser partir en promenade ou aller à l’épicerie mais, si elle demandait formellement à voir son chef et si cela pouvait se faire sans danger, ses gardes du corps devaient obtempérer.

Lentement et avec un air renfrogné, le marshal leva une main et parla dans le dispositif de communication connecté à son poignet.

— Jabberjay demande une visite autorisée. Veuillez décider.

En attendant la réponse, Jessie resta calme et choisit de ne rien dire sur le nom de code fort peu séduisant qu’on lui avait apparemment attribué.

*

Quatre-vingt-dix minutes plus tard, elle était assise dans une petite salle de conférence dans un coin calme du Poste de Police Central du centre-ville de Los Angeles, attendant l’arrivée du capitaine Decker. Le marshal du nom de Murph qui l’avait accompagnée de la maison jusqu’ici se tenait au fond de la pièce, visiblement encore agacé qu’on l’ait forcé à être là.

Le processus pour arriver à cet endroit, que l’on connaissait en général sous le nom de Poste Central, avait été lourd. Après avoir obtenu l’autorisation formelle pour ce trajet de la part de Corcoran, il avait fallu réunir une équipe et choisir un itinéraire. Bien qu’une grande partie de ces choses ait été prévue, il avait fallu faire les choix finaux.

On avait dit à Jessie de porter une perruque et une casquette à la visière baissée sur les yeux. Alors, le véhicule, conduit par un marshal du nom de Toomey, avec Murph dans le siège du passager, était parti. Une deuxième voiture les avait suivis de loin avec deux autres agents à l’intérieur. Deux agents de plus étaient restés à la maison pour qu’elle reste sécurisée.

Même si c’était le milieu de la matinée, avec un trafic assez léger, à cause des changements de route et des demi-tours de dernière minute, le trajet avait pris plus de quarante-cinq minutes. Une fois au poste, la voiture s’était arrêtée dans le garage et ils avaient dû y rester jusqu’à ce qu’elle soit formellement autorisée par deux policiers en uniforme qui ne savaient pas pourquoi ils le faisaient, sinon qu’ils avaient reçu des ordres de la hiérarchie.

Ce ne fut qu’à ce moment-là que l’on fit passer discrètement Jessie par une entrée latérale, encore avec la perruque, la casquette et une veste ample au col fermé jusqu’en haut pour cacher sa taille et son cou, qui auraient pu révéler son sexe. On l’avait retenue à divers points de contrôle jusqu’à ce qu’il y ait assez peu de monde dans les couloirs pour qu’elle puisse passer.

Quand elle était finalement arrivée dans la salle de conférence, Murph l’avait rejointe à l’intérieur pendant que Toomey avait monté la garde à la porte. Comme Toomey mesurait un mètre quatre-vingt-treize et pesait facilement quatre-vingt-dix-neuf kilos et comme il avait la tête complètement rasée et un air constamment renfrogné, Jessie pensait que personne n’entrerait sans y être autorisé. Un des derniers marshals attendait dehors, à l’entrée qui menait du garage au bâtiment, et le quatrième contournait lentement le pâté de maisons dans sa voiture en vérifiant s’il se passait quelque chose d’inhabituel.

Jessie se força à réprimer la culpabilité qu’elle ressentait parce qu’elle était la cause de toutes ces protections. Elle savait qu’elle venait probablement de dépenser des milliers de dollars d’impôts pour ce qui semblait être un caprice. Pourtant, sa demande ne se limitait pas à cette dimension. Si elle arrivait à convaincre le capitaine Decker d’accepter son plan, le coût de ce court trajet pourrait être remboursé des centaines de fois. Cependant, il faudrait d’abord qu’elle le convainque.

— Vous savez, dit tranquillement Murph du coin, parlant pour la première fois depuis qu’ils étaient entrés dans la pièce, en fait, nous essayons de vous protéger. Vous n’avez pas besoin de nous mettre des bâtons dans les roues tout le temps.

— Je n’essaie pas de vous mettre des bâtons dans les roues, insista-t-elle. J’essaie de vous aider et, malgré ce que pense peut-être votre chef, je suis en fait très bien placée pour le faire.

— Qu’entendez-vous par là ? demanda-t-il pendant que la porte de la pièce s’ouvrait et que le capitaine Decker entrait.

— Vous allez bientôt le savoir, promit Jessie.

Le capitaine Roy Decker, qui semblait essoufflé et irrité, lui lança un regard noir. Âgé de moins de soixante ans, le capitaine du Poste Central paraissait beaucoup plus vieux. Il était grand et mince et, s’il n’était pas totalement chauve, il ne le devait qu’à quelques petites touffes de cheveux. Son visage était parcouru de rides qui s’étaient dessinées au cours de nombreuses années d’un travail stressant. Son nez pointu et ses yeux perçants faisaient penser à un oiseau en quête d’une proie.

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