Scott Kaelen - La Cité Ravagée
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"Si tu me permets d'être franc," dit Luthan, "je pense que ça te ferait du bien d'aller, euh, te dégourdir les jambes. Je préfère ça plutôt que de te voir assis sur ton derrière ici à te faire du mouron pour tes amis ou à jeter cet homme dehors."
"Qu'est-ce que tu sous-entends ?"
"Allons, patron. Tu sais que tu aurais pu traiter Renfrey avec un tout petit peu plus de déférence. Bien qu'il soit un sérieux cas de chiasse verbale et un gâchis pour notre bière, c'est un régulier et ses poches sont profondes."
"Hmm. Ça faisait longtemps que ça lui pendait au nez."
"Peut-être, mais il faut dire ce qui est, tu n'arrêteras pas avant d'en avoir le cœur net et une taverne n'est pas vraiment l'endroit rêvé pour une tête brûlée. Je te le dis en tant qu'ami. Quand tu m'as demandé de te rejoindre en tant que chef, je suis venu depuis Aster parce que j'avais confiance en tes qualités de maître tavernier, même si c'était un travail que tu n'avais jamais fait auparavant. Tout autant, j'ai foi en toi maintenant."
Maros grommela. "J'apprécie le vote de confiance."
Henwyn leva une main. "Au moins, laisse-moi me joindre à toi. Je préfère être sur les routes plutôt que de traîner dans le coin à attendre qu'un contrat pointe son nez."
"Ha ! Hen, tu es le plus ancien de nous tous. Je serais heureux d'avoir ta compagnie. En plus, je pense avoir besoin d'un archer si je veux mettre quelque chose à rôtir. Mais le mieux que je puisse te proposer, c'est un dixième des dix pour cent non remboursables."
Henwyn haussa les épaules. "C'est plus qu'acceptable. Mais s'il s'agissait de Fenn au lieu de Jalis, je demanderais plus."
Maros souris, amusé. "S'il s'agissait de Fenn, nous n'aurions pas cette discussion."
"Alors, si cet aspect est réglé," déclara Luthan, "je ne veux pas que tu te fasses du souci pour la taverne pendant ton absence. Je m'en occuperai à ta place, ouais, même en plus de mes attributions de chef."
Henwyn sirota ce qui restait de son vin et se leva. "Je vais aller nous dégoter un chariot. Si aucun de ceux qui en ont n'est prêt à aider, je choisirai celui que j'aime le moins. Leaf a déjà ta requête pour le QG. Elle se met en route bientôt. N'est-ce pas, petite ?"
Leaf se leva et se tint debout près de lui. "Mon sac est déjà prêt. J'ai juste besoin de passer le prendre à la maison de la Guilde."
"Bonne chance," lui dit Maros. "Et ne traîne pas."
Leaf sourit. "Je ne traîne jamais." Avec un clin d'œil envers Henwyn, elle traversa la salle et se glissa entre les portes battantes.
"Elle a plus de potentiel que la plupart des novices, celle-ci," dit Maros. "Et avec un très bon professeur, Henwyn. Je ne pouvais demander meilleure équipe. Et tu en fais partie, Luthan."
"Allons." Le chef repoussa sa chaise et lissa son tablier. "Retiens-moi cet élan de tendresse, surtout que j'ai des marmites à nettoyer."

Jalis s'accroupit, visa et pressa la détente de son arbalète. Un instant plus tard, le balukha dans le lointain laisser échapper un croassement de douleur, fit quelques pas hésitants et s'effondra.
Elle gratifia ses compagnons d'un sourire satisfait. "Je l'ai eu !"
"Bien visé, copine," dit Dagra.
Jalis sourit. "Je vis pour tes compliments, ô Homme à Barbe." Elle se leva et mima une révérence, tout à fait consciente d'être complètement déplacée avec ses armes et sa tenue de voyage froissée.
Elle partit au trot chercher le volatile qu'elle avait abattu et Oriken lança : "Ça nous remplira la panse pour ce soir. Et ouis ça changera des lapins malingres et des baies de marécages. On ferait peut-être mieux de faire une pause ici. Qu'est-ce que vous en dites ?"
Jalis approuva, son estomac gargouillait déjà. "D'accord," cria-t-elle par-dessus l'épaule tout en saisissant le balukha mourant. "J'ai fait la chasse, vous les hommes pouvez maintenant vous chamailler pour faire un feu et dépecer la carcasse." Elle sortit Silverspire de son fourreau et glissa la fine lame dans le cœur de la créature. La soulevant par les pattes, elle retourna vers ses compagnons et la déposa par terre.
S'approchant d'un monticule herbeux, elle s'installa par terre et posa Silverspire dans l'herbe près d'elle. Elle fouilla dans son sac à dos à la recherche d'un chiffon et de son cuir à rasoir, tout en regardant Oriken et Dagra ; l'un dégainait son couteau de chasse en s'agenouillant devant la carcasse et l'autre ramassait de quoi faire du feu dans les buissons avoisinants. Il y aurait encore de longues heures avant la tombée de la nuit mais manger maintenant serait tout aussi bien.
Avec un soupir de frustration, elle cria en direction de ses compagnons : "Je n'arrive pas à trouver mon cuir à rasoir. Est-ce que l'un de vous l'a pris ?"
"Non, ce truc est à toi." Oriken fit une pause pour tapoter le sabre fixé à sa taille. "Tu sais que je ne polis jamais ce vieux truc."
"La pierre à aiguiser se trouve dans le sac d'Oriken," cria Dagra de loin pendant qu'il se penchait pour ramasser du bois.
"Je le prendrais bien pour toi," dit Oriken, "mais je suis pris jusqu'aux poignets dans les tripes de ce truc."
"Oublie ça. Je le retrouverai." Faisant une boule de son chiffon, Jalis se mit à nettoyer la lame de sa dague ; son regard était perdu vers la Route du Royaume qu'ils avaient pu rejoindre après avoir traversé le marécage. Les marais étaient loin derrière eux à présent, bien que le paysage fut encore parsemé de parcelles boueuses. Que quiconque ait choisi de vivre ici était un mystère, à moins que la région n'ait à l'époque été plus propice au fermage et au pâturage. Cela se voyait que le vaste marécage n'avait pas toujours recouvert la route et Jalis se demandait si quelqu'un ne l'avait pas créé, tranchant à l'intérieur des terres dans une tentative délibérée de dissuader les voyageurs d'aller plus au sud. Si c'était le cas, c'était en effet décourageant.
Elle finit de nettoyer Silverspire et le remit dans son fourreau puis posa sa tête contre l'herbe. Elle s'endormit vite et ne se réveilla que plus tard au son du feu qui crépitait et à l'arôme de la viande qui rôtissait.
"Ah, la princesse se réveille," dit Oriken avec un clin d'œil tandis que Jalis s'étirait. "Et au bon moment. Dag en a presque fini avec l'oiseau."
Ils s'attaquèrent à la chair blanche brûlante du balukha pendant que le feu se réduisait en braises. L'estomac plein, ils bouclèrent leur paquetage et reprirent leur voyage, suivant ce qu'il restait de la route. Les heures s'égrenaient, le globe doré de Banael poursuivant sa course dans le ciel bleu.
Tout en marchant, Jalis réajusta son sac dans son dos, puis pinça sa chemise pour en décoller le tissu de son dos en sueur. "Je devrais être habituée à cette chaleur," marmonna-t-elle. "J'ai été à Himaera trop longtemps. J'ai passé plus de vingt ans dans l'Arkh et la plupart du temps à Sardaya. La température ici, en comparaison, est beaucoup plus supportable."
"Bah." Devant elle, Oriken échangea un regard avec Dagra et sourit par-dessus son épaule. "Il n'y a rien de tel que de passer trop de temps à Himaera."
Jalis se moqua. "Venant d'un homme qui n'a jamais mis les pieds en dehors de sa terre natale ? Excuse-moi si je ne te prends pas au mot."
"Eh, on a tous pris le ferry pour l’île de Carrados, tu te souviens ?"
"Comment pourrais-je oublier ?" dit Dagra "Tu as passé ton temps à vomir sur le pont."
"Ce n'était pas ma faute ! Personne ne m'avait prévenu. Tu ne me verras plus sur un bateau, ça, tu peux en être sûr."
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