Jules Verne - L'île mystérieuse

Здесь есть возможность читать онлайн «Jules Verne - L'île mystérieuse» — ознакомительный отрывок электронной книги совершенно бесплатно, а после прочтения отрывка купить полную версию. В некоторых случаях можно слушать аудио, скачать через торрент в формате fb2 и присутствует краткое содержание. Жанр: unrecognised, на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале библиотеки ЛибКат.

L'île mystérieuse: краткое содержание, описание и аннотация

Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «L'île mystérieuse»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.

L'Île mystérieuse raconte l'histoire de cinq personnages : l'ingénieur Cyrus Smith, son domestique Nab, le journaliste Gédéon Spilett, le marin Pencroff et l'adolescent Harbert. Pour échapper au siège de Richmond où ils sont retenus prisonniers par les sudistes pendant la guerre de Sécession, ils décident de fuir à l'aide d'un ballon. Pris dans un ouragan, ils échouent sur une île déserte, qu'ils baptiseront l'île Lincoln en référence au président américain Abraham Lincoln . L'objectif de Jules Verne est de s'appuyer sur le modèle de Robinson Crusoé, mais davantage pour s'en démarquer que pour l'imiter.

L'île mystérieuse — читать онлайн ознакомительный отрывок

Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «L'île mystérieuse», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.

Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Table des matières

L’ÎLE MYSTÉRIEUSE Jules Verne L’ÎLE MYSTÉRIEUSE

CHAPITRE I

CHAPITRE II

CHAPITRE III

CHAPITRE IV

CHAPITRE V

CHAPITRE VI

CHAPITRE VII

CHAPITRE VIII

CHAPITRE IX

CHAPITRE X

CHAPITRE XI

CHAPITRE XII

CHAPITRE XIII

CHAPITRE XIV

CHAPITRE XV

CHAPITRE XVI

CHAPITRE XVII

CHAPITRE XVIII

CHAPITRE XIX

CHAPITRE XX

CHAPITRE XXI

CHAPITRE XXII

CHAPITRE I

CHAPITRE II

CHAPITRE III

CHAPITRE IV

CHAPITRE V

CHAPITRE VI

CHAPITRE VII

CHAPITRE VIII

CHAPITRE IX

CHAPITRE X

CHAPITRE XI

CHAPITRE XII

CHAPITRE XIII

CHAPITRE XIV

CHAPITRE XV

CHAPITRE XVI

CHAPITRE XVII

CHAPITRE XVIII

CHAPITRE XIX

CHAPITRE XX

CHAPITRE I

CHAPITRE II

CHAPITRE III

CHAPITRE IV

CHAPITRE V

CHAPITRE VI

CHAPITRE VII

CHAPITRE VIII

CHAPITRE IX

CHAPITRE X

CHAPITRE XI

CHAPITRE XII

CHAPITRE XIII

CHAPITRE XIV

CHAPITRE XV

CHAPITRE XVI

CHAPITRE XVII

CHAPITRE XVIII

CHAPITRE XIX

CHAPITRE XX

Jules Verne

L’ÎLE MYSTÉRIEUSE

PARTIE 1

LES NAUFRAGÉS DE L’AIR

CHAPITRE I

L’ouragan de 1865. – Cris dans les airs. – Un ballon emporté dans une trombe. – L’enveloppe déchirée. – Rien que la mer en vue. – Cinq passagers. – Ce qui se passe dans la nacelle. – Une côte à l’horizon. – Le dénouement du drame.

« Remontons-nous ?

– Non ! Au contraire ! Nous descendons !

– Pis que cela, monsieur Cyrus ! Nous tombons !

– Pour Dieu ! Jetez du lest !

– Voilà le dernier sac vidé !

– Le ballon se relève-t-il ?

– Non !

– J’entends comme un clapotement de vagues !

– La mer est sous la nacelle !

– Elle ne doit pas être à cinq cents pieds de nous ! »

Alors une voix puissante déchira l’air, et ces mots retentirent :

« Dehors tout ce qui pèse !… tout ! et à la grâce de Dieu ! »

Telles sont les paroles qui éclataient en l’air, au-dessus de ce vaste désert d’eau du Pacifique, vers quatre heures du soir, dans la journée du 23 mars 1865.

Personne n’a sans doute oublié le terrible coup de vent de nord-est qui se déchaîna au milieu de l’équinoxe de cette année, et pendant lequel le baromètre tomba à sept cent dix millimètres. Ce fut un ouragan, sans intermittence, qui dura du 18 au 26 mars. Les ravages qu’il produisit furent immenses en Amérique, en Europe, en Asie, sur une zone large de dix-huit cents milles, qui se dessinait obliquement à l’équateur, depuis le trente-cinquième parallèle nord jusqu’au quarantième parallèle sud ! Villes renversées, forêts déracinées, rivages dévastés par des montagnes d’eau qui se précipitaient comme des mascarets, navires jetés à la côte, que les relevés du Bureau-Veritas chiffrèrent par centaines, territoires entiers nivelés par des trombes qui broyaient tout sur leur passage, plusieurs milliers de personnes écrasées sur terre ou englouties en mer : tels furent les témoignages de sa fureur, qui furent laissés après lui par ce formidable ouragan. Il dépassait en désastres ceux qui ravagèrent si épouvantablement la Havane et la Guadeloupe, l’un le 25 octobre 1810, l’autre le 26 juillet 1825.

Or, au moment même où tant de catastrophes s’accomplissaient sur terre et sur mer, un drame, non moins saisissant, se jouait dans les airs bouleversés.

En effet, un ballon, porté comme une boule au sommet d’une trombe, et pris dans le mouvement giratoire de la colonne d’air, parcourait l’espace avec une vitesse de quatre-vingt-dix milles 1à l’heure, en tournant sur lui-même, comme s’il eût été saisi par quelque maelström aérien.

Au-dessous de l’appendice inférieur de ce ballon oscillait une nacelle, qui contenait cinq passagers, à peine visibles au milieu de ces épaisses vapeurs, mêlées d’eau pulvérisée, qui traînaient jusqu’à la surface de l’Océan.

D’où venait cet aérostat, véritable jouet de l’effroyable tempête ? De quel point du monde s’était-il élancé ? Il n’avait évidemment pas pu partir pendant l’ouragan. Or, l’ouragan durait depuis cinq jours déjà, et ses premiers symptômes s’étaient manifestés le 18. On eût donc été fondé à croire que ce ballon venait de très loin, car il n’avait pas dû franchir moins de deux mille milles par vingt-quatre heures ?

En tout cas, les passagers n’avaient pu avoir à leur disposition aucun moyen d’estimer la route parcourue depuis leur départ, car tout point de repère leur manquait. Il devait même se produire ce fait curieux, qu’emportés au milieu des violences de la tempête, ils ne les subissaient pas. Ils se déplaçaient, ils tournaient sur eux-mêmes sans rien ressentir de cette rotation, ni de leur déplacement dans le sens horizontal. Leurs yeux ne pouvaient percer l’épais brouillard qui s’amoncelait sous la nacelle. Autour d’eux, tout était brume. Telle était même l’opacité des nuages, qu’ils n’auraient pu dire s’il faisait jour ou nuit. Aucun reflet de lumière, aucun bruit des terres habitées, aucun mugissement de l’Océan n’avaient dû parvenir jusqu’à eux dans cette immensité obscure, tant qu’ils s’étaient tenus dans les hautes zones. Leur rapide descente avait seule pu leur donner connaissance des dangers qu’ils couraient au-dessus des flots.

Cependant, le ballon, délesté de lourds objets, tels que munitions, armes, provisions, s’était relevé dans les couches supérieures de l’atmosphère, à une hauteur de quatre mille cinq cents pieds. Les passagers, après avoir reconnu que la mer était sous la nacelle, trouvant les dangers moins redoutables en haut qu’en bas, n’avaient pas hésité à jeter par-dessus le bord les objets même les plus utiles, et ils cherchaient à ne plus rien perdre de ce fluide, de cette âme de leur appareil, qui les soutenait au-dessus de l’abîme.

La nuit se passa au milieu d’inquiétudes qui auraient été mortelles pour des âmes moins énergiques. Puis le jour reparut, et, avec le jour, l’ouragan marqua une tendance à se modérer. Dès le début de cette journée du 24 mars, il y eut quelques symptômes d’apaisement. À l’aube, les nuages, plus vésiculaires, étaient remontés dans les hauteurs du ciel. En quelques heures, la trombe s’évasa et se rompit. Le vent, de l’état d’ouragan, passa au « grand frais », c’est-à-dire que la vitesse de translation des couches atmosphériques diminua de moitié. C’était encore ce que les marins appellent « une brise à trois ris », mais l’amélioration dans le trouble des éléments n’en fut pas moins considérable.

Vers onze heures, la partie inférieure de l’air s’était sensiblement nettoyée. L’atmosphère dégageait cette limpidité humide qui se voit, qui se sent même, après le passage des grands météores. Il ne semblait pas que l’ouragan fût allé plus loin dans l’ouest. Il paraissait s’être tué lui-même. Peut-être s’était-il écoulé en nappes électriques, après la rupture de la trombe, ainsi qu’il arrive quelquefois aux typhons de l’océan Indien.

Mais, vers cette heure-là aussi, on eût pu constater, de nouveau, que le ballon s’abaissait lentement, par un mouvement continu, dans les couches inférieures de l’air. Il semblait même qu’il se dégonflait peu à peu, et que son enveloppe s’allongeait en se distendant, passant de la forme sphérique à la forme ovoïde.

Vers midi, l’aérostat ne planait plus qu’à une hauteur de deux mille pieds au-dessus de la mer. Il jaugeait cinquante mille pieds cubes 2, et, grâce à sa capacité, il avait évidemment pu se maintenir longtemps dans l’air, soit qu’il eût atteint de grandes altitudes, soit qu’il se fût déplacé suivant une direction horizontale.

Читать дальше
Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Похожие книги на «L'île mystérieuse»

Представляем Вашему вниманию похожие книги на «L'île mystérieuse» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё непрочитанные произведения.


Отзывы о книге «L'île mystérieuse»

Обсуждение, отзывы о книге «L'île mystérieuse» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.

x