Charles Dickens - Oliver Twist (version non abrégée)

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Oliver Twist (version non abrégée): краткое содержание, описание и аннотация

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L'histoire concerne un orphelin, Oliver Twist, soumis à des privations et des vexations dans l'hospice paroissial où il fut laissé suite à la mort de sa mère. Choisi par tirage au sort par ses camarades affamés, il ose demander une portion supplémentaire de gruau et il est alors placé chez un croque-mort, d'où il s'échappe pour prendre la route de Londres ; dès son arrivée, il rencontre l'un des personnages les plus célèbres de Dickens, The Artful Dodger (rusé matois) , chef d'une bande de jeunes pickpockets. Naïvement confiant en son nouveau compagnon, il se laisse entraîner dans l'antre de son maître, le criminel Fagin.
Oliver Twist est l'un des romans les plus universellement connus de Charles Dickens.

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– Non, dit l’enfant.

– Si vraiment, dit Mme Sowerberry.

– Vous mentez ! » dit Oliver.

Mme Sowerberry fondit en larmes. Ce torrent de larmes ne laissait à son mari aucune alternative. S’il eût hésité un instant à punir Oliver plus sévèrement, il est clair comme le jour que, d’après les usages reçus dans les querelles de ménage, il eût été une brute, un mari dénaturé, un être méprisable et n’ayant d’humain que le visage, sans compter mille autres agréables épithètes trop nombreuses pour avoir place dans ce chapitre.

Il faut reconnaître qu’autant qu’il dépendait de lui (mais son autorité était fort limitée), il était bien disposé pour l’enfant, soit parce qu’il y allait de son intérêt, soit parce que sa femme le détestait. Le torrent de larmes de la dame ne lui laissa nulle ressource. En conséquence il administra à Oliver une correction telle, que Mme Sowerberry elle-même s’en montra satisfaite, et que la canne paroissiale de M. Bumble devint inutile. Le reste du jour, Oliver fut enfermé dans l’arrière-cuisine, en compagnie de la pompe et d’un morceau de pain sec ; le soir, Mme Sowerberry, après avoir encore fait plusieurs remarques injurieuses pour la mémoire de sa mère, lui ouvrit la porte, et, au milieu des sarcasmes de Noé et de Charlotte, lui ordonna de gagner son lit.

Abandonné à lui-même dans la boutique morne et silencieuse du croque-mort, Oliver se livra aux réflexions que le traitement qu’il venait d’éprouver devait éveiller dans son cœur d’enfant. Il avait écouté les sarcasmes avec dédain ; il avait supporté les coups sans pousser un cri : car il sentait se développer dans son cœur un sentiment d’orgueil qui l’eût empêché de proférer une plainte, quand même on l’eût brûlé vif : mais, maintenant que personne ne pouvait le voir ou l’entendre, il tomba à genoux sur le plancher et, cachant son visage dans ses mains, il versa de telles larmes qu’il faut souhaiter pour l’honneur de notre nature que Dieu veuille en faire rarement répandre de semblables à des enfants de cet âge !

Oliver resta longtemps immobile dans cette position. La chandelle allait finir de brûler quand il se leva ; il regarda prudemment autour lui, écouta attentivement ; puis il tira doucement les verrous de la porte d’entrée et regarda dans la rue.

La nuit était froide et sombre ; les étoiles paraissaient à l’enfant plus éloignées de la terre qu’il ne les avait jamais vues ; il ne faisait pas de vent ; l’ombre que les arbres projetaient sur le sol était complètement immobile et avait quelque chose de sinistre et de sépulcral. Il referma doucement la porte, et, profitant des dernières lueurs de la chandelle pour réunir dans un mouchoir le peu d’effets qu’il possédait, il s’assit sur un banc et attendit les premières clartés du matin.

Dès qu’un rayon de lumière pénétra à travers les fentes des volets, Oliver se leva et tira de nouveau les verrous. Il jeta autour de lui un regard timide, hésita quelques instants, puis tira la porte derrière lui : il était dans la rue.

Il regarda à droite et à gauche, incertain du côté par où il fuirait. Il se souvint d’avoir vu les chariots, quand ils sortaient de la ville, gravir péniblement la colline ; il prit la même direction, et arriva à un petit sentier à travers champs, qu’il savait rejoindre bientôt la grande route ; il s’y engagea et se mit à marcher rapidement.

Il se rappela très bien avoir déjà suivi ce sentier, lorsqu’il trottait derrière M. Bumble, pour venir de la Ferme au dépôt de mendicité. Le chemin le conduisit tout droit à la chaumière ; son cœur battit violemment à ce souvenir, et il était presque résolu à revenir sur ses pas ; mais il avait déjà fait bien du chemin, et un détour lui ferait perdre beaucoup de temps : d’ailleurs il était si matin, qu’il avait peu à craindre d’être vu ; il continua à avancer.

Il arriva à la ferme ; il n’y avait pas d’apparence que ses petits habitants fussent debout à cette heure matinale : Oliver s’arrêta et jeta à la dérobée un coup d’œil dans le jardin ; un enfant arrachait les mauvaises herbes d’un carré dans un moment où il leva son visage pâle, Oliver reconnut en lui un de ses anciens compagnons. Oliver se sentit joyeux de le revoir avant de s’éloigner ; quoique plus jeune que lui, cet enfant avait été son petit ami, son compagnon de jeu ; ils avaient été tant de fois affamés, battus, enfermés ensemble !

« Chut, Dick ! dit Oliver, comme l’enfant courait à la porte et passait ses petits bras à travers les barreaux pour lui faire accueil ; est-ce qu’on est levé ?

– Non, il n’y a que moi, répondit l’enfant.

– Il ne faut pas dire que tu m’as vu, Dick, reprit Oliver ; je me sauve ; on me bat et on me maltraite, Dick ; je vais chercher fortune, si loin, si loin que je ne sais où. Comme tu es pâle !

– J’ai entendu le médecin dire que j’allais mourir, répondit l’enfant avec un léger sourire ; je suis bien content de te voir, mon cher ami ; mais ne t’arrête pas, ne t’arrête pas.

– Oui, oui ; mais je veux te dire au revoir, reprit Oliver. Je te reverrai, Dick, j’en suis sûr ; et alors tu seras bien portant et heureux.

– Je serai heureux, dit l’enfant, quand je serai mort, et pas avant, le médecin a raison, Oliver ; car je rêve souvent du ciel et des anges, et de douces figures que je ne vois jamais quand je suis éveillé. Embrasse-moi ! ajouta l’enfant en grimpant sur la petite porte et en croisant ses petits bras autour du cou d’Oliver. Adieu, mon cher ami ; que Dieu te bénisse ! »

Cette bénédiction sortait de la bouche d’un enfant, mais c’était la première qu’Oliver eût jamais entendu appeler sur sa tête. Au milieu des épreuves, des souffrances, des vicissitudes de sa vie, il ne l’oublia jamais.

CHAPITRE VIII.

Oliver va à Londres, et rencontre en route un singulier jeune homme.

Arrivé à la barrière, au bout du sentier, Oliver se retrouva sur la grande route. Il était huit heures ; et, bien qu’il fût à peu près à cinq milles de la ville, il courut, et se cacha par moments derrière les haies, jusqu’à midi, dans la crainte d’être poursuivi et rattrapé ; il s’assit alors près d’une borne pour se reposer, et se mit à songer pour la première fois à l’endroit qu’il devait choisir pour tâcher de gagner sa vie.

La borne au pied de laquelle il était assis indiquait en gros caractères qu’elle était posée à soixante-dix milles de Londres ; ce nom fit naître dans l’esprit de l’enfant une nouvelle suite de pensées. S’il allait à Londres, dans l’immense ville, où personne, pas même M. Bumble, ne pourrait le découvrir ! il avait souvent entendu dire aux vieux indigents du dépôt qu’un garçon d’esprit n’était jamais dans le dénuement à Londres, et qu’il y avait dans cette grande ville des moyens d’existence dont les gens élevés à la campagne ne se doutaient pas. C’était bien l’endroit qui convenait à un garçon sans asile, destiné à mourir dans la rue, si on ne venait à son aide. Tout en se laissant aller à ces pensées, il se leva et continua sa route.

Il diminua encore de quatre bons milles la distance qui le séparait de Londres, sans songer à tout ce qu’il devrait souffrir avant d’atteindre le but de son voyage : comme cette réflexion se faisait jour dans son esprit, il ralentit sa marche, et se mit à méditer sur les moyens d’arriver à Londres. Il avait dans son paquet un morceau de pain, une mauvaise chemise, deux paires de bas, et dans sa poche un penny que lui avait donné Sowerberry après un enterrement où il s’était distingué encore plus que de coutume. C’est fort bon d’avoir une chemise blanche, pensait Oliver, et deux méchantes paires de bas, et un penny ; mais c’est une mince ressource pour faire soixante-cinq milles à pied pendant l’hiver. Oliver avait comme bien des gens, l’esprit prompt et ingénieux à découvrir les difficultés, mais lent et paresseux à découvrir le moyen de les surmonter ; de sorte qu’après avoir bien réfléchi, sans trouver la solution qu’il cherchait, il mit son petit paquet sur l’autre épaule et doubla le pas.

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