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Jules Verne: Voyage Au Centre De La Terre

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Jules Verne Voyage Au Centre De La Terre

Voyage Au Centre De La Terre: краткое содержание, описание и аннотация

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Dans le cabinet encombré de l'excentrique professeur Lidenbrock, un parchemin couvert d'étranges caractères s'échappe d'un vieux manuscrit, œuvre d'un alchimiste islandais du XVIe siècle. Le savant déchiffre alors un curieux message: une invitation à se rendre au centre de la terre! Un mois plus tard, avec son neveu Axel et un guide islandais, Lidenbrock s'engouffre dans les entrailles de notre planète… Une périlleuse expédition ponctuée de découvertes extraordinaires et de créatures fantastiques. Jules Verne signe là un étonnant roman de science-fiction.

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Pendant que chacun s’abandonnait ainsi à toutes les douceurs du repos, un enfant apparut entre deux touffes d’oliviers.

«Ah! m’écriai-je, un habitant de cette heureuse contrée!»

C’était une espèce de petit pauvre, très misérablement vêtu, assez souffreteux, et que notre aspect parut effrayer beaucoup; en effet, demi-nus, avec nos barbes incultes, nous avions fort mauvaise mine, et, à moins que ce pays ne fût un pays de voleurs, nous étions faits de manière à effrayer ses habitants.

Au moment où le gamin allait prendre la fuite, Hans courut après lui et le ramena, malgré ses cris et ses coups de pied.

Mon oncle commença par le rassurer de son mieux et lui dit en bon allemand:

«Quel est le nom de cette montagne, mon petit ami?»

L’enfant ne répondit pas.

«Bon, fit mon oncle, nous ne sommes point en Allemagne.»

Et il refit la même demande en anglais.

L’enfant ne répondit pas davantage. J’étais très intrigué.

«Est-il donc muet?» s’écria le professeur, qui, très fier de son polyglottisme, recommença la même demande en français.

Même silence de l’enfant.

«Alors essayons de l’italien», reprit mon oncle, et il dit en cette langue:

« Dove noi siamo?

– Oui! où sommes-nous?» répétai-je avec impatience.

L’enfant de ne point répondre.

«Ah çà! parleras-tu? s’écria mon oncle, que la colère commençait à gagner, et qui secoua l’enfant par les oreilles. Come si noma questa isola?

Stromboli », répondit le petit pâtre, qui s’échappa des mains de Hans et gagna la plaine à travers les oliviers.

Nous ne pensions guère à lui! Le Stromboli! Quel effet produisit sur mon imagination ce nom inattendu! Nous étions en pleine Méditerranée, au milieu de l’archipel éolien de mythologique mémoire, dans l’ancienne Strongyle, ou Éole tenait à la chaîne les vents et les tempêtes. Et ces montagnes bleues qui s’arrondissaient au levant, c’étaient les montagnes de la Calabre! Et ce volcan dressé à l’horizon du sud, l’Etna, le farouche Etna lui-même.

«Stromboli! Stromboli!» répétai-je

Mon oncle m’accompagnait de ses gestes et de ses paroles. Nous avions l’air de chanter un chœur!

Ah! quel voyage! quel merveilleux voyage! Entrés par un volcan, nous étions sortis par un autre, et cet autre était situé à plus de douze cents lieues du Sneffels, de cet aride pays de l’Islande jeté aux confins du monde! Les hasards de cette expédition nous avaient transportés au sein des plus harmonieuses contrées de la terre! Nous avions abandonné la région des neiges éternelles pour celle de la verdure infinie et laissé au-dessus de nos têtes le brouillard grisâtre des zones glacées pour revenir au ciel azuré de la Sicile!

Après un délicieux repas composé de fruits et d’eau fraîche, nous nous remîmes en route pour gagner le port de Stromboli. Dire comment nous étions arrivés dans l’île ne nous parut pas prudent: l’esprit superstitieux des Italiens n’eût pas manqué de voir en nous des démons vomis du sein des enfers; il fallut donc se résigner à passer pour d’humbles naufragés. C’était moins glorieux, mais plus sûr.

Chemin faisant, j’entendais mon oncle murmurer:

«Mais la boussole! la boussole, qui marquait le nord! Comment expliquer ce fait?

– Ma foi! dis-je avec un grand air de dédain, il ne faut pas l’expliquer, c’est plus facile!

– Par exemple! un professeur au Johannaeum qui ne trouverait pas la raison d’un phénomène cosmique, ce serait une honte!»

En parlant ainsi, mon oncle, demi-nu, sa bourse de cuir autour des reins et dressant ses lunettes sur son nez, redevint le terrible professeur de minéralogie.

Une heure après avoir quitté le bois d’oliviers, nous arrivions au port de San-Vicenzo, où Hans réclamait le prix de sa treizième semaine de service, qui lui fut compté avec de chaleureuses poignées de main.

En cet instant, s’il ne partagea pas notre émotion bien naturelle, il se laissa aller du moins à un mouvement d’expansion extraordinaire.

Du bout de ses doigts il pressa légèrement nos deux mains et se mit à sourire.

XLV

Voici la conclusion d’un récit auquel refuseront d’ajouter foi les gens les plus habitués à ne s’étonner de rien. Mais je suis cuirassé d’avance contre l’incrédulité humaine.

Nous fûmes reçus par les pêcheurs stromboliotes avec les égards dus à des naufragés. Ils nous donnèrent des vêtements et des vivres. Après quarante-huit heures d’attente, le 31 août, un petit speronare nous conduisit à Messine, où quelques jours de repos nous remirent de toutes nos fatigues.

Le vendredi 4 septembre, nous nous embarquions à bord du Volturne , l’un des paquebots-postes des messageries impériales de France, et, trois jours plus tard, nous prenions terre à Marseille, n’ayant plus qu’une seule préoccupation dans l’esprit, celle de notre maudite boussole. Ce fait inexplicable ne laissait pas de me tracasser très sérieusement. Le 9 septembre au soir, nous arrivions à Hambourg.

Quelle fut la stupéfaction de Marthe, quelle fut la joie de Graüben, je renonce à le décrire.

«Maintenant que tu es un héros, me dit ma chère fiancée, tu n’auras plus besoin de me quitter, Axel!»

Je la regardai. Elle pleurait en souriant.

Je laisse à penser si le retour du professeur Lidenbrock fit sensation à Hambourg. Grâce aux indiscrétions de Marthe, la nouvelle de son départ pour le centre de la terre s’était répandue dans le monde entier. On ne voulut pas y croire, et, en le revoyant, on n’y crut pas davantage.

Cependant le présence de Hans, et diverses informations venues d’Islande modifièrent peu à peu l’opinion publique.

Alors mon oncle devint un grand homme, et moi, le neveu d’un grand homme, ce qui est déjà quelque chose. Hambourg donna une fête en notre honneur. Une séance publique eut lieu au Johannaeum, où le professeur fit le récit de son expédition et n’omit que les faits relatifs à la boussole. Le jour même, il déposa aux archives de la ville le document de Saknussemm, et il exprima son vif regret de ce que les circonstances, plus fortes que sa volonté, ne lui eussent pas permis de suivre jusqu’au centre de la terre les traces du voyageur islandais. Il fut modeste dans sa gloire, et sa réputation s’en accrut.

Tant d’honneur devait nécessairement lui susciter des envieux. Il en eut, et, comme ses théories, appuyées sur des faits certains, contredisaient les systèmes de la science sur la question du feu central, il soutint par la plume et par la parole de remarquables discussions avec les savants de tous pays.

Pour mon compte, je ne puis admettre sa théorie du refroidissement: en dépit de ce que j’ai vu, je crois et je croirai toujours à la chaleur centrale; mais j’avoue que certaines circonstances encore mal définies peuvent modifier cette loi sous l’action de phénomènes naturels.

Au moment où ces questions étaient palpitantes, mon oncle éprouva un vrai chagrin. Hans, malgré ses instances, avait quitté Hambourg; l’homme auquel nous devions tout ne voulut pas nous laisser lui payer notre dette. Il fut pris de la nostalgie de l’Islande.

«Färval», dit-il un jour, et sur ce simple mot d’adieu, il partit pour Reykjawik, où il arriva heureusement.

Nous étions singulièrement attachés à notre brave chasseur d’eider; son absence ne le fera jamais oublier de ceux auxquels il a sauvé la vie, et certainement je ne mourrai pas sans l’avoir revu une dernière fois.

Pour conclure, je dois ajouter que ce Voyage au centre de la terre fit une énorme sensation dans le monde. Il fut imprimé et traduit dans toutes les langues; les journaux les plus accrédités s’en arrachèrent les principaux épisodes, qui furent commentés, discutés, attaqués, soutenus avec une égale conviction dans le camp des croyants et des incrédules. Chose rare! mon oncle jouissait de son vivant de toute la gloire qu’il avait acquise, et il n’y eut pas jusqu’à M. Barnum qui ne lui proposât de «l’exhiber» à un très haut prix dans les États de l’Union.

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