Eugène Sue - Les Mystères De Paris Tome III

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Voici un roman mythique, presque à l'égal du Comte de Monte-Cristo ou des Trois mousquetaires, un grand roman d'aventures, foisonnant, qui nous décrit un Paris mystérieux et inconnu, dévoilé dans ses recoins les plus secrets, un Paris exotique où les apaches de Paris remplacent ceux de l'Amérique.
Errant dans les rues sombres et dangereuses de la Cité, déguisé en ouvrier, le prince Rodolphe de Gérolstein sauve une jeune prostituée, Fleur-de-Marie, dite la Goualeuse, des brutalités d'un ouvrier, le Chourineur. Sans rancune contre son vainqueur, le Chourineur entraîne Rodolphe et Fleur-de-Marie dans un tripot, Au Lapin Blanc. Là, le Chourineur et Fleur-de-Marie content leur triste histoire à Rodolphe. Tous deux, livrés dès l'enfance à l'abandon et à la misère la plus atroce, malgré de bons instincts, sont tombés dans la dégradation: le meurtre pour le Chourineur, dans un moment de violence incontrôlée, la prostitution pour Fleur-de-Marie. Rodolphe se fait leur protecteur et entreprend de les régénérer en les arrachant à l'enfer du vice et de la misère où ils sont plongés…

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– Ah! monsieur Rodolphe…

– Si estimable…

– Ah! mon roi des locataires…

– Que cette jeune fille enfin, recommandée par vous, serait certainement acceptée par M meSéraphin, tandis que présentée par moi…

– Connu!… C’est comme si je présentais un petit jeune homme! Eh bien! tope… ça me chausse… Allez donc!… Enfoncée la Séraphin! Tant mieux, j’ai une dent contre elle; je vous réponds de l’affaire, monsieur Rodolphe! Je lui ferai voir des étoiles en plein midi; je lui dirai que depuis je ne sais combien de temps j’ai une cousine établie en Allemagne, une Galimard; que je viens de recevoir la nouvelle qu’elle est défunte, comme son mari, et que leur fille, qui est orpheline, va me tomber sur le dos d’un jour à l’autre.

– Très-bien… Vous conduirez vous-même Cecily chez M. Ferrand, sans en parler davantage à M meSéraphin. Comme il y a vingt ans que vous n’avez vu votre cousine, vous n’aurez rien à répondre, si ce n’est que depuis son départ pour l’Allemagne vous n’aviez eu d’elle aucune nouvelle.

– Ah çà! mais si la jeunesse ne baragouine que l’allemand?

– Elle parle parfaitement français. Je lui ferai sa leçon; ne vous occupez de rien, sinon de la recommander très-instamment à M meSéraphin; ou plutôt, j’y songe, non… car elle soupçonnerait peut-être que vous voulez lui forcer la main… Vous le savez, souvent il suffit qu’on demande quelque chose pour qu’on vous refuse…

– À qui le dites-vous!… C’est pour ça que j’ai toujours rembarré les enjôleurs. S’ils ne m’avaient rien demandé… je ne dis pas…

– Cela arrive toujours ainsi… Ne faites donc aucune proposition à M meSéraphin et voyez-la venir… Dites-lui seulement que Cecily est orpheline, étrangère, très-jeune, très-jolie, qu’elle va être pour vous une bien lourde charge, et que vous ne sentez pour elle qu’une très-médiocre affection, vu que vous étiez brouillée avec votre cousine, et que vous ne concevez rien au cadeau qu’elle vous fait là…

– Dieu de Dieu! que vous êtes malin!… Mais soyez tranquille, à nous deux nous faisons la paire. Dites donc, monsieur Rodolphe, comme nous nous entendons bien… nous deux!… Quand je pense que si vous aviez été de mon âge dans le temps où j’étais un vrai salpêtre… ma foi, je ne sais pas… et vous?

– Chut!… Si M. Pipelet…

– Ah bien! oui… Pauvre cher homme, il pense bien à la gaudriole! Vous ne savez pas… une nouvelle infamie de ce Cabrion?… Mais je vous dirai cela plus tard… Quant à votre jeune fille, soyez calme… je gage que j’amène la Séraphin à me demander de placer ma parente chez eux.

– Si vous y réussissez, ma chère madame Pipelet, il y a cent francs pour vous. Je ne suis pas riche, mais…

– Est-ce que vous vous moquez du monde, monsieur Rodolphe? Est-ce que vous croyez que je fais ça par intérêt? Dieu de Dieu!… C’est de la pure amitié… Cent francs!

– Mais jugez donc que si j’avais longtemps cette jeune fille à ma charge, cela me coûterait bien plus que cette somme… au bout de quelques mois…

– C’est donc pour vous rendre service que je prendrai les cent francs, monsieur Rodolphe; mais c’est un fameux quine à la loterie pour nous que vous soyez venu dans la maison. Je puis le crier sur les toits, vous êtes le roi des locataires… Tiens, un fiacre!… C’est sans doute la petite dame de M. Bradamanti… Elle est venue hier, je n’ai pas pu bien la voir… Je vas lanterner à lui répondre pour la bien dévisager; sans compter que j’ai inventé un moyen pour avoir son nom… Vous allez me voir travailler… ça vous amusera.

– Non, non, madame Pipelet, peu m’importent le nom et la figura de cette dame, dit Rodolphe en se reculant dans le fond de la loge.

– Madame! cria Anastasie en se précipitant au-devant de la personne qui entrait, où allez-vous, madame?

– Chez M. Bradamanti, dit la femme visiblement contrariée d’être ainsi arrêtée au passage.

– Il n’y est pas…

– C’est impossible, j’ai rendez-vous avec lui.

– Il n’y est pas…

– Vous vous trompez…

– Je ne me trompe pas du tout…, dit la portière en manœuvrant toujours habilement afin de distinguer les traits de cette femme, M. Bradamanti est sorti, bien sorti, très-sorti… c’est-à-dire excepté pour une dame…

– Eh bien! c’est moi… vous m’impatientez… laissez-moi passer.

– Votre nom, madame?… Je verrai bien si c’est le nom de la personne que M. Bradamanti m’a dit de laisser entrer. Si vous ne portez pas ce nom-là… il faudra que vous me passiez sur le corps pour monter…

– Il vous a dit mon nom? s’écria la femme avec autant de surprise que d’inquiétude.

– Oui, madame…

– Quelle imprudence! murmura la jeune femme. Puis, après un moment d’hésitation, elle ajouta impatiemment à voix basse, et comme si elle eût craint d’être entendue: – Eh bien! je me nomme M med’Orbigny.

À ce nom, Rodolphe tressaillit.

C’était le nom de la belle-mère de M med’Harville.

Au lieu de rester dans l’ombre, il s’avança, et, à la lueur du jour et de la lampe, il reconnut facilement cette femme grâce au portrait que Clémence lui en avait plus d’une fois tracé.

– M med’Orbigny? répéta M mePipelet, c’est bien ça le nom que m’a dit M. Bradamanti; vous pouvez monter, madame.

La belle-mère de M med’Harville passa rapidement devant la loge.

– Et alllllez donc! s’écria la portière d’un air triomphant, enfoncée la bourgeoise!… Je sais son nom, elle s’appelle d’Orbigny… pas mauvais le moyen, hein… monsieur Rodolphe? Mais qu’est-ce que vous avez donc? Vous voilà tout pensif!

– Cette dame est déjà venue voir M. Bradamanti? demanda Rodolphe à la portière.

– Oui. Hier soir, dès qu’elle a été partie, M. Bradamanti est tout de suite sorti, afin d’aller probablement retenir sa place à la diligence pour aujourd’hui: car hier, en revenant, il m’a priée d’accompagner ce matin sa malle jusqu’au bureau des voitures, parce qu’il ne se fiait pas à ce petit gueux de Tortillard.

– Et où va M. Bradamanti? Le savez-vous?

– En Normandie… route d’Alençon.

Rodolphe se souvint que la terre des Aubiers, qu’habitait M. d’Orbigny, était située en Normandie.

Plus de doute, le charlatan se rendait auprès du père de Clémence, nécessairement dans de sinistres intentions!

– C’est son départ, à M. Bradamanti, qui va joliment ostiner la Séraphin! reprit M mePipelet. Elle est comme une enragée pour voir M. Bradamanti, qui l’évite le plus qu’il peut; car il m’a bien recommandé de lui cacher qu’il partait ce soir à six heures; aussi, quand elle va revenir, elle trouvera visage de bois! Je profiterai de ça pour lui parler de votre jeunesse. À propos, comment donc qu’elle s’appelle… Cicé?

– Cecily…

– C’est comme qui dirait Cécile avec un i au bout. C’est égal, faudra que je mette un morceau de papier dans ma tabatière pour me rappeler ce diable de nom-là… Cici… Caci… Cecily; bon, m’y voilà.

– Maintenant, je monte chez M lleRigolette, dit Rodolphe à M mePipelet, en sortant de sa loge.

– Et en redescendant, monsieur Rodolphe, est-ce que vous ne direz pas bonjour à ce pauvre vieux chéri? Il a bien du chagrin, allez! Il vous contera cela… ce monstre de Cabrion a encore fait des siennes…

– Je prendrai toujours part aux chagrins de votre mari, madame Pipelet…

Et Rodolphe, singulièrement préoccupé de la visite de M med’Orbigny à Polidori, monta chez M lleRigolette.

XIII Le premier chagrin de Rigolette

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