• Пожаловаться

Juliette Benzoni: Le Couteau De Ravaillac

Здесь есть возможность читать онлайн «Juliette Benzoni: Le Couteau De Ravaillac» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию). В некоторых случаях присутствует краткое содержание. категория: Исторические любовные романы / на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале. Библиотека «Либ Кат» — LibCat.ru создана для любителей полистать хорошую книжку и предлагает широкий выбор жанров:

любовные романы фантастика и фэнтези приключения детективы и триллеры эротика документальные научные юмористические анекдоты о бизнесе проза детские сказки о религиии новинки православные старинные про компьютеры программирование на английском домоводство поэзия

Выбрав категорию по душе Вы сможете найти действительно стоящие книги и насладиться погружением в мир воображения, прочувствовать переживания героев или узнать для себя что-то новое, совершить внутреннее открытие. Подробная информация для ознакомления по текущему запросу представлена ниже:

Juliette Benzoni Le Couteau De Ravaillac

Le Couteau De Ravaillac: краткое содержание, описание и аннотация

Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «Le Couteau De Ravaillac»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.

En dépit des lourdes menaces qui pèsent sur son union avec Lorenza, Thomas de Courcy n'a aucune intention de renoncer à la jeune femme. Leur mariage donne lieu à une belle fête à peine troublée par l'ordre donné au marié par le roi - un piège ? - de le rejoindre immédiatement... Et, dans les bras fougueux de Thomas, passionnément épris, Lorenza, émerveillée, découvre enfin l'amour. Après quelques jours de bonheur absolu, le couple doit, hélas, revenir à la réalité. La guerre est sur le point d'éclater. Henri IV s'apprête à la faire pour les beaux yeux de sa passion du moment, la jeune Charlotte de Montmorency que son mari, Condé, a emmenée aux Pays-Bas. Trois gentilshommes - dont Thomas ! - ont pour mission d'enlever la gente dame avant que les troupes françaises n'attaquent Bruxelles. A Paris, on prépare le couronnement de Marie de Médicis auquel le roi a consenti malgré les sombres pressentiments qu'il suscite : un étrange homme roux, vêtu de vert, que Lorenza a croisé, erre déjà en ville... Le lendemain du sacre de sa femme, Henri IV est assassiné. Le couteau de Ravaillac, en ôtant la vie au souverain, a-t-il détruit aussi le bonheur de Lorenza et de Thomas ?

Juliette Benzoni: другие книги автора


Кто написал Le Couteau De Ravaillac? Узнайте фамилию, как зовут автора книги и список всех его произведений по сериям.

Le Couteau De Ravaillac — читать онлайн бесплатно полную книгу (весь текст) целиком

Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «Le Couteau De Ravaillac», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.

Тёмная тема

Шрифт:

Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

— Il devrait être embastillé ! Il a eu de la chance qu’Henri ait été de bonne humeur ! Qu’en pense votre colonel?

— M. de Sainte-Foy n’est pas homme à livrer ses sentiments. Il a ordonné qu’on le raye des rôles du régiment sans autre commentaire. En revanche, la plupart de ses camarades lui ont tourné le dos. Mais, pour ce que j’en sais, cela ne l’empêche pas de mener joyeuse vie avec des filles et les fêtards les plus notoires de Paris grâce à la fortune des Davanzati. Il joue beaucoup en compagnie de cet ex-croupier de Concini avec lequel la Reine le verrait toujours avec plaisir quand le Roi n’y est pas. On le rencontrerait aussi chez Mme de Verneuil mais là rien d’étonnant : il lui rendait déjà visite avant l’entrée en scène de Lorenza ! Voilà tout ce que je sais !

— Tu ne t’en tires pas si mal, pour quelqu’un qui ne s’intéresse pas aux potins de la Cour ! Donc, au fond de toi-même, tu le crois capable d’avoir rédigé ce maudit billet ?

Thomas haussa des épaules désabusées.

— C’est possible... bien que ce tutoiement me gêne !

— Pas moi ! Ce n’est jamais qu’une infamie de plus laissant supposer des droits de propriété !

— Vous voulez me faire comprendre qu’il en aurait eu...

— Ne divague pas ! J’ai dit une infamie de plus ! De toute façon, et au cas - inimaginable ! - où tu en douterais encore, la nuit de demain devrait te donner une preuve irréfutable.

— Je n’ai pas besoin de preuve ! Ce que je veux, c’est savoir le nom de ce salaud et lui passer mon épée au travers du corps ! A y réfléchir d’ailleurs, l’auteur du billet ne peut pas être Sarrance...

— Pourquoi ?

— La dague. Elle a peut-être tué son père mais je suis sûr qu’il ne l’a jamais vue. Celui qui l’a soigneusement dessinée devait l’avoir sous les yeux...

— Là, il se pourrait que tu aies raison !

Etait-ce le clair rayon de soleil qui envahit sa chambre le lendemain mais, en s’éveillant après une nuit réparatrice, Lorenza se retrouva telle qu’elle était avant l’arrivée du désastreux message : une jeune fille au matin de ses noces avec un garçon qu'elle aimait bien. Le cercle d’affection spontanée et l’atmosphère de ce puissant château dont l’élégance cachait une force réelle avaient, en se refermant autour d’elle, chassé les ténèbres de ses souvenirs. Et c’était une impression délicieuse que de se sentir, après tant de vicissitudes, partie intégrante d’une vraie famille. Surtout de cette famille-là !

A Guillemette qui, après avoir gratté timidement à la porte, passait un visage inquiet par l’entrebâillement, elle offrit un sourire radieux.

— Entre donc ! De quoi as-tu peur ?

— C’est que... vous étiez si malheureuse hier...

— Hier n’est pas aujourd’hui et aujourd’hui j’ai faim !

Brève disparition pour reprendre le plateau laissé sans doute sur un meuble à l’extérieur que la jeune femme de chambre vint déposer sur les genoux de Lorenza.

— Ah ! J’aime mieux ça ! On s’est fait tant de souci pour vous !

— C’est gentil et je vous en remercie tous !

Elle n’eut pas le temps d’en dire davantage : Mme de Royancourt, visiblement en proie à une inquiétude qu’elle s’efforçait de cacher, effectuait une entrée plus discrète que d’habitude. Le soupir de soulagement qu'elle lâcha dès le seuil fut plus révélateur qu’un long discours. Elle aussi se demandait dans quel état elle allait trouver la future baronne. Voir celle-ci tremper une tartine de miel dans un bol de lait chaud lui parut le plus agréable des spectacles.

— Bon appétit ! lança-t-elle. Je suis venue vous annoncer que votre robe vient d’arriver. J’avoue que je commençais à m’inquiéter mais enfin elle est là !

— Comment est-elle ?

— Sublime ! La maison Pèlerin s’est surpassée et il est préférable que la reine Marie ne nous honore pas de sa présence : elle s’en pâmerait de jalousie !

— Pas au point de se la faire « prêter » tout de même afin de la copier ? Elle a déjà oublié de me rendre mes bijoux...

— Ah ! Si l’on parle de bijoux, je crois que c’est mon domaine !

Après un coup léger frappé à la porte, le baron Hubert entrait dans la chambre suivi d’un valet chargé d’une cassette et d’une pile d'écrins.

— C’est l’approche de Noël qui vous inspire, Hubert ? Le taquina sa sœur. Quel dommage que nous ne soyons que deux ! Nous aurions fait une assez bonne imitation des Rois mages !

A la vue de son futur beau-père, Lorenza se hâta de se lever, d’enfiler sa robe de chambre et ses pantoufles. Elle se sentait soudain très émue.

— Ma chère enfant, commença le baron un rien solennel, puisque vous devenez ma fille en ce jour béni, j’estime naturel de vous remettre le petit trésor qui était celui de ma chère épouse Catherine, la mère de Thomas. J’espère que vous porterez ces babioles avec plaisir...

— ... et beaucoup d’émotion, murmura Lorenza à deux doigts des larmes. Mais c’est avec humilité que je les reçois. Comme un dépôt sacré qu’avec l’aide de Dieu, je voudrais transmettre, dans l’avenir, aux enfants qui seront, je pense, la meilleure façon de vous rendre un peu du bonheur que vous me donnez aujourd’hui...

— Ajoutez-y votre affection et nous serons comblés.

La gorge nouée par l’émotion, Lorenza les embrassa tous les deux.

En parlant d’un petit trésor, le baron Hubert avait fait preuve de modestie. Les joyaux dont elle se considérerait désormais comme dépositaire étaient dignes d’une princesse bien plus que ceux qu’elle avait apportés dans ses bagages. Colliers, bracelets, pendants d’oreilles, ornements de tête, ceintures, devants de corsage, broches, agrafes, il y en avait de toutes les couleurs, mais perles et diamants dominaient. Une mignonne couronne de chignon composée de fleurs en diamant semblait faite exprès pour retenir un voile de mariée.

— Vous voyez, dit Clarisse, que, si vous vous rendez à la Cour, vous serez aussi joliment parée que les duchesses.

— Ce qui est normal, appuya son frère, car si les Montmorency sont les premiers barons chrétiens, nous, les Courcy, sommes les deuxièmes et ce depuis des siècles. Mais qu’est-ce donc qui vous rend tout à coup si songeuse ?

Lorenza contemplait en effet l’étalement scintillant qui couvrait une table et auquel le soleil arrachait des éclairs.

— Je me demande justement si les porter à la Cour serait prudent. Il est vrai que je serais fort étonnée d’y être appelée et qu’en toute vérité je n’en ai pas envie !

— Si vous pensez à l’œil glauque et aux doigts collants de notre gracieuse souveraine, vous avez pleinement raison... à ceci près qu’il lui serait plus difficile de dépouiller la baronne de Courcy qu’une petite filleule nouvellement arrivée et dont personne ne savait rien ! Certaines de ces pièces sont célèbres! Et puis dites-vous que notre Dauphin a huit ans, qu’on le mariera peut-être bientôt et que notre Reine à venir ne sera pas affligée de la même passion collectionneuse que sa belle-mère! Bon, trêve de bavardage ! Je crois qu’il est l’heure d’aller nous adoniser et revêtir nos atours ! Et vous, jeune fille, ajouta-t-il en posant ses deux mains sur les épaules de Lorenza pour la tenir à bout de bras, songez seulement à vous, à être belle... et heureuse ! Il n’y a ici que des gens qui vous aiment et sont prêts à vous défendre ! Contre toute menace !

Bien que les fiancés eussent souhaité une cérémonie simple et que l’on eût convenu de n’inviter que les proches, il suffit à Lorenza d’un regard rapide sur la table préparée pour le festin pour constater que les convives seraient nombreux. Comme elle s’en étonnait auprès de la comtesse Clarisse, celle-ci lui répondit, gaiement, qu’on n’avait invité que les amis, c’est-à-dire les châtelains des environs que l’on connaissait depuis toujours à la seule exception des gens de Verneuil qui étaient d’acquisition récente et à qui son frère - et elle-même d’ailleurs ! -ne pardonnait pas l’offensante désinvolture avec laquelle on avait « déménagé » Lorenza.

Читать дальше
Тёмная тема

Шрифт:

Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Похожие книги на «Le Couteau De Ravaillac»

Представляем Вашему вниманию похожие книги на «Le Couteau De Ravaillac» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё не прочитанные произведения.


Juliette Benzoni: Toi, Marianne
Toi, Marianne
Juliette Benzoni
Juliette Benzoni: Haute-Savane
Haute-Savane
Juliette Benzoni
Juliette Benzoni: La jeune mariée
La jeune mariée
Juliette Benzoni
Juliette Benzoni: Marie des passions
Marie des passions
Juliette Benzoni
Juliette Benzoni: La dague au lys rouge
La dague au lys rouge
Juliette Benzoni
Juliette Benzoni: Dans l'ombre de Mayerling
Dans l'ombre de Mayerling
Juliette Benzoni
Отзывы о книге «Le Couteau De Ravaillac»

Обсуждение, отзывы о книге «Le Couteau De Ravaillac» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.