Lisa Smith - Le reveil

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L’histoire se déroule dans la petite ville de Fell’s Church, calme et sans histoires.
Ce calme apparent est chamboulé le jour de l’arrivée de Stefan Salvadore, un jeune lycéen italien mystérieux.
Une vague de meurtres et d’agressions secoue alors la ville, Stefan est le coupable idéal désigné.
Elena, folle amoureuse du jeune garçon, croit envers et contre tous en l’innocence de ce dernier. En effet, elle seule partage son terrible secret, secret qui risque bien de la mettre en danger.
Quelques siècles plus tôt, Katherine, la femme qu’il aimait et qui ressemble étrangement à Elena, l’avait transformé en vampire. Mais pas lui uniquement, Damon — son frère, aussi…
Depuis la mort de la jeune femme dont Stefan se sent inutilement responsable, les deux frères nourrissent l’un envers l’autre une haine féroce qui les conduit à vouloir se détruire mutuellement.
Insouciante, Elena est loin de se douter qu’elle est l’objet des convoitises des deux frères et que l’amour qu’elle porte à Stefan risque bien de la conduire à sa propre perte…

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— Comme tu vois, les cours de Tanner ont fini par porter leurs fruits… Bonnie sait maintenant que l’inquisition espagnole n’est pas un groupe de rock, plaisanta Meredith.

Malgré ses traits tirés, la mère de Vickie fit entrer les adolescentes.

— Vickie se repose. Le médecin a ordonné qu’elle garde le lit, expliqua-t-elle avec un sourire triste.

Elle les accompagna jusqu’à la chambre de sa fille et tapa doucement à la porte.

— Vickie, ma chérie, tes amies du lycée sont venues te voir. Ne restez pas trop longtemps, ajouta-t-elle à leur adresse.

La pièce était joliment décorée dans des tons bleu lavande. Vickie reposait contre d’épais oreillers, un édredon remonté jusqu’au menton. Elle avait le teint livide, et les yeux au regard fixe avaient du mal à rester ouverts. Elle était déjà comme ça, hier soir chuchota Bonnie.

Elena s’approcha du lit.

— Vickie dit-elle doucement. Vickie, est-ce que tu m’entends ? C’est moi, Elena Gilbert. Vickie n’eut aucune réaction.

— Ils ont dû lui filer des calmants, dit Meredith.

Pourtant, Mme Bennett n’avait pas parlé de calmants, pensa Elena. Elle prit un air dubitatif, avant de faire une nouvelle tentative.

— Vickie, c’est moi, Elena. Je voulais juste te dire que je te crois, pour hier soir.

Elle ignora le regard interrogateur de Meredith, et continua :

— Et je voulais te demander…

— Nooon !

Vickie était agitée de violents soubresauts, secouant la tête dans tous les sens, les cheveux lui couvrant le visage, et battant l’air des bras.

— Nooon ! Nooon ! hurla-t-elle.

— Faites quelque chose ! s’écria Bonnie. Madame Bennett ! Madame Bennett !

Elena et Meredith tentèrent de maintenir Vickie sur son lit Enfin, sa mère accourut et prit sa fille dans ses bras après avoir repoussé les deux autres.

— Qu’est-ce que vous lui avez fait ?

Vickie, agrippée à celle-ci, parut se calmer un peu. Mais, par-dessus son épaule, elle aperçut Elena de plus en plus belle.

— Toi aussi, tu es l’une des leurs ! s’écria-t-elle diable ! Va-t’en, ne m’approche pas !

Elena était stupéfaite.

— Vickie, je suis juste venue te demander…

— Vous feriez mieux de partir, interrompit Mme Bennett en serrant sa fille contre elle. Laissez-nous tranquilles. Vous ne voyez pas dans quel état vous la mettez ?

Elena sortit de la pièce sans un mot, suivie de Meredith et Bonnie.

— Ça doit être les médicaments, dit Bonnie lorsqu’elles eurent quitté la maison. Elle déraille complètement…

— Tu as senti ses mains ? demanda Meredith à Elena. Quand on a essayé de la calmer, j’en ai attrapée une. Elle était gelée.

Elena, encore sous le choc, avait du mal à admettre les événements. Toute cette histoire était insensée. Mais elle était déterminée à ne pas se laisser gâcher la journée. Elle devait trouver quelque chose qui lui permettrait de retrouver sa bonne humeur.

— Je sais, dit-elle soudain. Je vais aller à la pension.

— Quoi ?

— J’ai demandé à Stefan de m’appeler, aujourd’hui, mais on pourrait aller directement chez lui. Ce n’est pas très loin.

— Tu parles, c’est à vingt minutes à pied ! fit remarquer Bonnie. Mais, en même temps, je suis bien curieuse de voir à quoi ressemble sa chambre…

En fait, je pensais que vous pourriez attendre en bas toutes les deux… Comme ses amies lui adressaient un regard lourd de proches, elle ajouta :

— Mais je ne resterai que quelques minutes !

À dire vrai, elle n’avait aucune envie de partager Stefan avec quiconque pour l’instant : elle voulait profiter un peu de leur toute nouvelle intimité.

Mme Flowers leur ouvrit la porte. C’était une petite femme à la peau fripée mais aux yeux noirs étonnamment brillants.

— Tu dois être Elena, devina-t-elle. Je le sais parce que je t’ai vue sortir hier soir avec Stefan, et je lui ai demandé comment tu t’appelais quand il est rentré.

— Vous nous avez vus ? Pas moi, pourtant.

— Non… , confirma-t-elle avec un petit rire. Comme tu es mignonne ! ajouta-t-elle en lui tapotant la joue. Très, très mignonne, vraiment !

— Heu… merci, répondit Elena, un peu mal à l’aise. Est-ce que Stefan est ici ?

— Je crois, oui… À moins qu’il ne soit sorti par le toit…

La logeuse s’esclaffa à nouveau, et Elena l’imita par politesse.

— Nous, on va tenir compagnie à Mme Flowers, suggéra Meredith.

Bonnie leva les yeux au ciel d’un air affligé, retenu un sourire, Elena se dirigea vers l’escalier.

« Quelle étrange vieille maison ! » pensa-t-elle tandis qu’elle s’engageait dans le deuxième escalier. Les voix à l’étage inférieur, ne lui parvenaient que dans un murmure. En approchant de la chambre de son petit ami, elle eut la sensation d’avoir pénétré dans un autre monde.

Elle frappa timidement.

— Stefan ?

Elle avait beau tendre l’oreille, aucun bruit ne perçait de l’autre côté. Soudain, la porte s’ouvrit toute grande. Elle eut à peine le temps de remarquer le visage fatigué de Stefan. Les bras du jeune homme la serraient déjà convulsivement.

— Elena… Oh, Elena…

Pourtant, lorsqu’il s’écarta, Elena eut exactement la même impression que la veille : le fossé entre eux se trouvait toujours là. Plus que jamais déterminée à le faire disparaître, elle l’attira aussitôt vers lui pour l’embrasser. Pendant quelques instants, il ne réagit pas. Puis, une sorte de tremblement le parcourut, et un baiser passionné répondit enfin à son étreinte. Ses doigts se perdirent dans les cheveux d’Elena, et elle sentit l’univers basculer à nouveau autour d’eux. Plus rien n’existait en dehors de Stefan, de ses bras autour d’elle, et du feu de ses baisers sur sa bouche.

Une éternité sembla s’écouler avant que leur étreinte prît fin, les laissant frissonnants. Les yeux dans ceux de Stefan, Elena remarqua à quel point ses pupilles étaient dilatées. Il semblait sur le point de s’évanouir et ses lèvres étaient enflées.

— Il faudra qu’on se maîtrise, la prochaine fois qu’on s’embrassera…

Il faisait visiblement un effort pour contrôler sa voix chevrotante. Elena approuva d’un hochement de tête : elle aussi se sentait faible. « Ça ne doit pas nous arriver en public, pensa-t-elle. D’ailleurs, on aurait dû éviter de s’embrasser alors que Bonnie et Meredith attendent. Mais il ne faudrait pas non plus qu’on soit complètement seuls, à moins que… »

— Ça ne t’empêche pas de me prendre contre toi, dit-elle.

C’était incroyable qu’après ce moment d’intense passion, elle soit si apaisée dans ses bras. Elle avait enfoui son visage dans le creux de son épaule. Il je t’aime, murmura-t-elle, profondément émue.

— Elena… , gémit-il.

— Il n’y a pas de mal à ça… Et toi, tu m’aimes ?

— Je…

Il la regardait, désemparé, lorsque la voix de Mme Flowers retentit :

— Stefan, mon garçon ! Stefan !

On aurait dit qu’elle tapait du pied sur la rampe. Stefan soupira.

— Je ferais mieux d’aller voir.

Et il s’éclipsa, le visage de nouveau impénétrable. Restée seule, Elena se rendit compte qu’elle était transie de froid. « Il devrait faire du feu », pensa-t-elle. Elle se mit alors à examiner les détails de la pièce, et son regard s’arrêta sur le petit coffret qu’elle avait remarqué la veille, sur la commode en acajou. Elle jeta un œil à la porte fermée. Il pouvait remonter à tout moment et la surprendre… Et puis ça ne se faisait pas, de fouiller dans les affaires des autres. « Pense aux femmes de Barbe-Bleue, se dit-elle. Leur curiosité les a tuées. » Mais elle avait déjà la main sur le couvercle. Le cœur battant, elle l’ouvrit.

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