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Stephen King: La Tour Sombre

Здесь есть возможность читать онлайн «Stephen King: La Tour Sombre» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию). В некоторых случаях присутствует краткое содержание. Город: Paris, год выпуска: 2007, ISBN: 978-2290332504, издательство: Éditions J'ai Lu, категория: Фэнтези / Ужасы и Мистика / на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале. Библиотека «Либ Кат» — LibCat.ru создана для любителей полистать хорошую книжку и предлагает широкий выбор жанров:

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Stephen King La Tour Sombre

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Les retrouvailles du ka-tet de Dix-Neuf auront été de courte durée, car les pistoleros doivent à nouveau se séparer pour accomplir les deux tâches dont dépend le sort de la Tour Sombre : mettre fin à l’ignoble labeur des Briseurs détruisant les Rayons, et sauver l’écrivain Stephen King d’une mort programmée qui les condamnerait inéluctablement. Et ce n’est là qu’un prélude à l’affrontement avec Mordred — monstre hybride enfanté par Mia/Susannah —, le dernier héritier de la lignée d’Eld mais aussi du Roi Cramoisi, lequel n’a pas dit son dernier mot. Pour Roland de Gilead, la Tour est à ce prix… un prix qu’il devra payer de tout son être, pour la survie de tous les mondes. STEPHEN KING fait partie de ces écrivains qu’il n’est plus besoin de présenter. autant de romans — et souvent de films — mondialement célèbres. Mais rien ne compte plus à ses yeux que le cycle de son Grand Œuvre, une saga-fleuve monumentale dont il entama l’écriture alors qu’il était encore étudiant, et qui connaît enfin sa conclusion aujourd’hui.

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Roland s’avança jusqu’à l’extrémité du chemin, où se dressait le bloc noir de bois fantôme cerclé d’acier. Gravé dans le bois, le sigleu qu’il connaissait désormais si bien se détachait dans le quart supérieur :

La Tour Sombre - изображение 21

Là il déposa deux choses, ce qui restait de son gunna : la croix d’argent de Tantine Talitha, et le six-coups qu’il avait gardé. Lorsqu’il se releva, il vit que les deux premiers hiéroglyphes s’étaient effacés.

La Tour Sombre - изображение 22

DÉROBÉE était devenu : ROBÉE, qui signifiait « trouvée ».

Il leva la main comme pour frapper, mais la porte s’ouvrit d’elle-même avant qu’il ait pu la toucher, révélant les premières marches d’un escalier en spirale qui disparaissait à perte de vue, dans les hauteurs de la Tour. Une voix soupira — Bienvenue, Roland, descendant de la lignée de l’Aîné. C’était la voix de la Tour. Cet édifice n’était pas de pierre, même s’il en avait l’apparence. La Tour était vivante, elle était Gan lui-même, sans doute, et cette pulsation qu’il avait sentie au plus profond de son cerveau, même à des milliers de lieues de là, était et avait toujours été la force de vie de Gan qui battait comme un cœur.

Commala, pistolero. Comme-à-commala.

Et il sentit une bouffée d’alcali, amère comme les larmes, lui effleurer les narines. L’odeur de… de quoi, exactement ? Avant qu’il ait pu la nommer, l’odeur s’était envolée, laissant Roland dans le doute, croyant qu’elle avait surgi de son imagination.

Il pénétra à l’intérieur et le Chant de la Tour, qu’il avait toujours entendu — à Gilead, déjà, où il s’était caché dans la voix de sa mère, lorsqu’elle lui chantait des comptines au berceau —, se tut enfin. Il y eut un autre soupir. La porte claqua derrière lui dans un grand fracas, mais il ne fut pas laissé dans l’obscurité. La lumière qui baignait son visage fusait par les fenêtres qui serpentaient à flanc de Tour, et réverbérait l’embrasement du soleil couchant.

Des escaliers de pierre, un passage à peine assez large pour une personne, l’attiraient vers l’ascension.

— Voici venir Roland, claironna-t-il, et ses paroles parurent se perdre en spirale dans l’infini. Toi, au sommet, entends-moi et accueille-moi en ami, si tu le veux bien. Et si tu es mon ennemi, sache que je viens désarmé, et sans intention de nuire.

Il entama son ascension.

Les dix-neuf premières marches le menèrent à un palier (et ainsi de suite, toutes les dix-neuf marches). Une porte ouverte y apparut, et au-delà, une petite pièce ronde. Ses murs de pierre étaient gravés de milliers de visages se chevauchant les uns les autres. Il en reconnut bon nombre (l’un des personnages était Calvin Tower, jetant un regard narquois au-dessus d’un livre ouvert). Les visages étaient tournés vers lui, leurs yeux le fixaient, et il entendit leurs murmures.

Bienvenue, Roland homme de maintes lieues et de maints mondes. Bienvenue à toi de Gilead, à toi de la lignée de l’Aîné.

À l’autre bout de la pièce se dressait une porte et, à un mètre cinquante au-dessus de cette porte — à la hauteur exacte de ses yeux —, il vit une petite fenêtre ronde, à peine plus grande qu’un hublot de contrebandier. Il sentit une odeur sucrée, qu’il reconnut cette fois sans peine : le parfum de sève de pin du sachet que sa mère avait placé d’abord dans son berceau, puis plus tard dans son premier vrai lit de grand. L’odeur ramena ces jours anciens avec une clarté fulgurante, comme c’est le propre des odeurs du passé. S’il est bien un royaume qui sait nous transporter comme une machine à remonter le temps, c’est celui des parfums.

Puis, comme l’appel amer de l’alcali, celui-là s’évanouit à son tour.

Pas de meubles dans cette pièce, mais un seul objet, gisant sur le sol. Il s’en approcha et le ramassa. Il s’agissait d’une petite attache en bois de cèdre, accrochée à un petit ruban de soie bleue. Il en avait vu du même genre, bien des années auparavant, à Gilead ; il avait même dû en porter une, à son époque. Lorsque le chirurgien coupait le cordon ombilical d’un nouveau-né, séparant mère et enfant, on plaçait ce genre d’attache au-dessus du nombril du bébé, où on la laissait jusqu’à ce que le reste du cordon tombe, et avec lui la petite pince (on appelait le nombril lui-même tet-ka can Gan). Le petit morceau de ruban de celui-ci indiquait qu’il avait appartenu à un garçon. Les anneaux destinés aux petites filles étaient ornés d’un ruban de soie rose.

C’est le mien, songea-t-il. Fasciné, il le contempla encore quelques secondes, puis le reposa soigneusement là où il l’avait trouvé. En se relevant, il vit le visage d’un bébé

(est-ce que ce serait mon bah-bo chéri ? Si tu le dis, qu’il en soit ainsi !)

parmi la multitude des visages. Ses traits étaient tordus, comme si sa première inspiration hors de la matrice ne lui avait pas plu, comme si l’air était déjà vicié par l’odeur de la mort. Bientôt il énoncerait sa sentence en poussant un braillement qui résonnerait dans les appartements de Steven et de Gabrielle, provoquant chez les amis et les domestiques qui l’entendraient un sourire de soulagement (seul Marten Largecape se renfrognerait). La mise au monde était achevée, et c’était un enfant vif, disons grand merci à Gan et à tous les dieux. La lignée d’Eld, la lignée d’Arthur l’Aîné, avait désormais son héritier, par conséquent il restait une chance infime que la course en avant du monde vers sa perte soit inversée.

Roland quitta cette pièce, l’impression de déjà-vu plus prégnante que jamais. De même que son impression d’avoir pénétré dans le corps même de Gan.

Il se tourna vers les escaliers et se remit à monter.

4

Dix-neuf marches plus haut, il déboucha sur un deuxième palier, et une deuxième chambre. Dans celle-ci, des lambeaux de vêtements étaient éparpillés sur le sol circulaire. Roland ne douta pas une seconde qu’il s’agissait là des restes de lenges d’un nourrisson, réduits à l’état de chiffons par un certain intrus très véhément, qui s’était ensuite rendu sur le balcon pour contempler de nouveau le champ de roses, et qui s’était retrouvé piégé. C’était là une créature d’une fourberie magistrale, pleine d’une sagesse diabolique… mais elle avait fini par trébucher, et elle devrait le payer pour les siècles des siècles…

Si c’était seulement pour jeter un œil dehors, pourquoi aurait-il emporté ses munitions avec lui, en sortant ?

Parce que c’était son seul gunna, et qu’il le portait en bandoulière, sur le dos, murmura la voix d’un des visages gravés dans une courbe du mur. C’était le visage de Mordred. Roland n’y lut aucune trace de haine, mais la tristesse esseulée d’un enfant abandonné. Ce visage était celui d’un être aussi désolé que le sifflet d’un train par une nuit sans lune. Il n’y avait point eu d’anneau de cèdre pour le nombril de Mordred, lorsqu’il était venu au monde, rien d’autre que cette mère dont il avait fait son premier repas. Pas d’anneau, jamais de la vie, car Mordred n’avait jamais fait partie du tet de Gan. Non, pas lui.

Mon Père Rouge n’irait nulle part sans arme, chuchota le garçon de pierre. Pas après avoir quitté son château. Il était peut-être fou, mais pas fou à ce point- là.

Dans cette pièce l’odeur était celle du talc que sa mère lui appliquait sur la peau, alors qu’il était allongé nu sur une serviette, fraîchement sorti du bain, en train de s’amuser avec ce nouveau jouet tellement fascinant, ses propres doigts de pied. Elle adoucissait ainsi sa peau, chantant tout en le caressant : « Petit oiseau, bébé adoré, amène donc ici ton panier, Va, cours, vole et rapporte de quoi remplir ton panier »…

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