AdrienH - Harry Potter et les Méthodes de la Rationalité
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- Название:Harry Potter et les Méthodes de la Rationalité
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- Издательство:FanFiction.net
- Жанр:
- Год:2013
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Avaient-ils perdu quelqu'un qui leur était précieux, est-ce ainsi que cela avait commencé ?
"Ils y ont consacré leur vie, ils ont essayé, ils ont progressé…"
La Cape d'Invisibilité, capable d'échapper au regard des Détraqueurs.
"…mais ils n'ont pas terminé leurs recherches…"
Se cacher de l'ombre de la Mort ne revient pas à vaincre la Mort elle-même. La Pierre de Résurrection ne peut pas réellement faire revenir qui que ce soit. La Baguette de Sureau ne protège pas de la vieillesse.
"…ils ont alors transmis la mission à leurs enfants et aux enfants de leurs enfants."
Génération après génération.
Jusqu'à en venir à moi.
Le Temps pouvait-il produire de tels échos, rimer entre un futur et un passé si lointains ? Cela ne pouvait pas être une coïncidence. Pas ce message, pas ici.
Ma famille.
Vous étiez véritablement mon père et ma mère.
"Ça ne parle pas de ressusciter les morts, Harry," dit M. Lupin. "Ça parle d'accepter la mort, de pouvoir la dépasser, la maîtriser."
"Est-ce que James vous a dit ça ?" dit Harry d'une voix étrange.
"Non," dit M. Lupin, "mais…"
"Bien."
Harry se releva lentement de sa position agenouillée avec la sensation de pousser un soleil sur ses épaules, de faire se lever l'aube au-dessus de l'horizon.
Bien sûr que d'autres sorciers ont essayé. Je ne suis pas unique. Je n'ai jamais été seul. Ces sentiments que je ressens en moi, ils ne sont pas particulièrement spéciaux, pas plus dans le monde des sorciers que dans le monde Moldu.
"Harry, ta baguette ?" La voix de M. Lupin s'était soudain agitée, et lorsque Harry leva sa baguette pour la regarder de plus près, il vit qu'elle luisait, très légèrement, d'une lueur argentée qui suintait du bois.
"Lance le Patronus !" le pressa M. Lupin. "Réessaye de le lancer, Harry !"
Ah oui, pour ce qu'il en sait, je ne peux pas…
Harry sourit, rit même un peu. "Il ne vaut mieux pas," dit Harry. "Si j'essayais de lancer le sortilège dans mon état d'esprit actuel, ça me tuerait probablement."
" Quoi ? " dit M. Lupin. "Le Patronus ne fait pas ça !"
Harry James Potter-Evans-Verres leva sa main gauche, toujours en riant, et essuya quelques-unes des larmes.
"Vous savez, M. Lupin," dit Harry, "il faut vraiment être capable d'interpréter les choses de façon baroque pour pouvoir penser que quelqu'un, songeant que la mort est une chose que nous devrions tous accepter, communiquerait son état d'esprit en disant : 'Le dernier ennemi qui sera détruit est la mort'. Peut-être que quelqu'un a trouvé que c'était poétique, qu'il a récupéré la phrase et a tenté de l'interpréter différemment, mais celui ou celle qui l'a dit en premier n'appréciait pas beaucoup la mort." Harry trouvait parfois mystérieux de voir comment les gens étaient capables de ne même pas remarquer qu'ils tordaient une phrase jusqu'à lui faire effectuer un revirement complet, à l'opposé de sa signification première évidente. Ça ne pouvait pas être une question d'intelligence brute, les gens pouvaient comprendre le sens évident de la plupart des phrases en anglais. "D'autre part, 'sera détruit' fait référence à une situation future, cela ne peut donc pas parler de l'état actuel des choses."
Remus Lupin le regardait avec des yeux écarquillés. "Tu es certainement l'enfant de James et Lily," dit l'homme d'un air plutôt stupéfait.
"Oui, effectivement," dit Harry. Mais ça ne suffisait pas, il devait faire plus, alors il leva sa baguette et dit d'une voix aussi assurée que possible : "Je suis Harry James Potter-Evans-Verres, le fils de Lily et James Potter de la maison Potter, et j'accepte la quête de ma famille. La Mort est mon ennemi et je le vaincrai."
Thrayen beyn Peverlas soona ahnd thrih heera toal thissoom Dath bey yewoonen.
"Quoi ?" dit Harry. Les mots étaient apparus dans sa conscience comme s'ils avaient été l'une de ses pensées, sans autre explication.
"Qu'est-ce que c'était ?" dit Remus Lupin au même instant.
Harry se retourna, parcourut le cimetière du regard, mais il ne vit rien. À côté de lui, M. Lupin faisait de même.
Aucun d'eux ne remarqua la grande pierre, apparemment vieille de mille ans, sur laquelle une ligne dans un cercle dans un triangle luisait, très légèrement, d'une couleur argent, semblable à la lumière qui avait émané de la baguette de Harry, invisible à cette distance, sous le soleil encore radieux.
Quelques temps plus tard :
"Merci encore, M. Lupin," dit Harry au grand homme légèrement balafré qui se préparait à repartir. "Même si j'aurais vraiment aimé que vous ne…"
"Le professeur Dumbledore a dit que je devais te ramener par Portoloin à Poudlard si quoi que ce soit d'inhabituel arrivait, que cela ressemble à une attaque ou non," dit M. Lupin avec conviction. "Ce qui est fort raisonnable."
Harry hocha la tête. Puis, ayant choisi avec soin de prononcer cette question en dernier : "Avez-vous la moindre idée de ce que ces mots signifiaient ?"
"Si je le savais, je ne te le dirais pas," dit M. Lupin d'un air plutôt sévère. "Certainement pas sans la permission du professeur Dumbledore. Je peux comprendre ton impatience, mais tu ne devrais essayer de découvrir aucun secret ancestral des Potter avant d'être un adulte. C'est à dire après avoir passé des ASPICs, Harry, ou au moins tes BUSEs. Et je pense toujours que tu as très mal compris le sens premier de la devise de ta famille !"
Harry hocha la tête, soupira intérieurement, et fit ses adieux à M. Lupin.
Harry retraversa Poudlard en direction de la tour Serdaigle avec une sensation étrange, comme s'il était devenu plus fort. Jamais il ne se serait attendu à aucun de ces événements, mais ils avaient tous été pour le mieux.
Il traversait la salle commune Serdaigle, en chemin vers son dortoir.
C'est alors que la créature lumineuse vint vers lui, d'un doux blanc qui étincelait sous les torches de la salle commune Serdaigle, se glissant de nulle part, le serpent blanc.
Þregen béon Pefearles suna and þrie hira tól þissum Déað béo gewunen.
Trois seront les fils Peverell et trois seront leurs instruments au moyen desquels la Mort sera vaincue.
- Dit en présence des trois frères Peverell
dans une petite taverne en périphérie de ce que l'on appellerait plus tard Godric's Hollow.
*Chapter 97*: Rôles, partie 8
(Note de l'auteur : Je vous suggère de relire les derniers paragraphes du chapitre 96 avant de commencer celui-ci pour vous souvenir de ce qui se passe.)
Pour la seconde fois de la journée, les yeux de Harry s'emplirent de larmes. Sans prêter attention aux regards interloqués des Serdaigle présents dans la salle commune, il s'avança vers la créature d'argent que Draco Malfoy avait envoyée et la berça dans ses bras comme si elle était vivante ; puis il s'orienta vers sa chambre en chancelant, comme à moitié aveugle, et se dirigea vers le fond de sa malle, le serpent d'argent silencieux entre ses bras.
La cinquième rencontre : dimanche 19 avril à 10h12.
La rencontre que Lord Malfoy avait exigée de son débiteur - qui lui devait 58.203 Gallions - se déroulait, selon les lois Britanniques, à la banque centrale de Gringotts.
L'Enchanteur-en-chef Dumbledore y avait quelque peu résisté et avait essayé d'empêcher Harry Potter de quitter la sécurité de Poudlard (un mot auquel Harry Potter avait réagit en levant les mains et en mimant des guillemets). Quant à lui, le Survivant avait semblé méditer en silence avant de consentir à la rencontre, et il avait été étrange qu'il accepte ainsi l'exigence de son ennemi.
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