AdrienH - Harry Potter et les Méthodes de la Rationalité
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- Название:Harry Potter et les Méthodes de la Rationalité
- Автор:
- Издательство:FanFiction.net
- Жанр:
- Год:2013
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" M. Potter ! "
Les yeux de Harry s'engouffrèrent dans les siens. "Oui, Minerva ? Je sais que ce n'était pas votre idée, mais j'aimerais survivre à l'usage que le directeur compte faire de moi. S'il vous plaît, n'y faites pas obstacle."
Cela faillit la briser. "Harry," murmura-t-elle d'une voix aphone, "les enfants ne devraient pas avoir à penser comme ça !"
"Vous avez raison, ce serait préférable," dit Harry. "Mais beaucoup d'enfants doivent grandir trop tôt, pas seulement moi ; et la plupart de ces enfants ne mettraient pas cinq secondes à décider d'échanger leur place avec moi. Je ne vais pas me prendre en pitié, professeur McGonagall, pas tant qu'il y existe des gens dans ce monde qui ont de vrais ennuis et que je ne suis pas l'un d'eux."
Elle déglutit avec force et dit : "M. Potter, à trente heures par jour, vous - vieillirez plus vite -" Comme Albus .
"Et en cinquième année j'aurais à peu près le même âge physiologique que Hermione," dit Harry. "Ça ne m'a pas l'air si terrible que ça." Il arborait maintenant un sourire narquois. "Franchement, je choisirais probablement de faire ça même sans Seigneur des Ténèbres. Les sorciers vivent un bon bout de temps et soit les sorciers soit les Moldus feront probablement reculer cette limite pendant le siècle à venir. Il n'y a aucune raison de ne pas caser autant d'heures par jour que possible. J'ai des projets, et il vaudrait mieux qu'ils se réalisent rapidement."
Il y eut un long silence.
"Très bien," dit Minerva. C'était presque un chuchotement. Elle éleva la voix. "Très bien, M. Potter, je demanderai au directeur et s'il accepte, ce sera fait."
Les yeux de Harry se plissèrent l'espace d'un instant. "Je vois. Veuillez alors rappeler au directeur que Godric Gryffondor, dans son dernier souffle, a dit la voie qu'il avait choisie était la bonne et qu'il ne conseillerait donc à personne de faire un choix autre, le mauvais choix, pas même aux élèves les plus jeunes de Poudlard."
Et elle sut au moment même où l'apathie s'emparait d'elle que toute chance de voir Albus empêcher cela venait de disparaître dans le néant. C'était ce que Albus lui avait dit lorsqu'elle avait objecté que Cameron Edward était trop jeune, puis lorsqu'elle avait objecté que Peter Pevensie était trop jeune, et elle avait finit par ne plus jamais faire d'objections. "Qui vous a dit ça, M. Potter ?" Pas Albus - Albus ne dirait certainement pas ça à un élève -
"J'ai beaucoup lu dernièrement," dit Harry. Son corps commença à s'élever hors de la chaise puis s'arrêta. "Oserais-je vous interroger sur la seconde bonne nouvelle ?"
"Oh," dit-elle. "Ah - le professeur Quirrell s'est éveillé et dit que vous pouvez -"
L'infirmerie de Poudlard occupait un vaste espace puissamment éclairé par le ciel depuis des fenêtres situées sur chacun de ses quatre murs, et ce en dépit de son emplacement central dans le bâtiment de Poudlard. Des lits blancs en longues rangées parcouraient la salle et seuls trois d'entre eux étaient pour le moment occupés. Un garçon plus âgé et une fille elle aussi plus âgée, chacun d'un côté de la pièce, tous deux immobiles, les yeux fermés, probablement rendus inconscients par un sortilège tandis qu'un autre, ou une potion, réorganisait leur corps sans ménagements ; et le troisième occupant avait un rideau tiré autour de son lit, ce qui était probablement préférable. Madame Pomfresh l'avait poussé avec force en lui disant de ne pas avoir l'air ahuri et Harry s'était sévèrement rappelé à lui-même que certaines personnes ne savaient toujours pas qui le Survivant était - soit ça, soit l'identité de madame Pomfresh reposait entièrement sur sa domination absolue sur son hôpital, etc, etc, bref.
Derrière la rangée de lits se trouvaient cinq portes qui menaient dans des chambres individuelles où étaient entreposés les patients qui resteraient ici quelques jours plutôt que quelques heures mais dont l'état ne justifiait pas un transfert à Ste Mangouste.
Sans fenêtre ni ciel, éclairée uniquement d'une torche d'où aucune fumée ne s'échappait et accrochée à l'un des murs de pierre : c'était la pièce derrière la porte centrale. Harry s'était demandé si les professeurs pouvaient demander à Poudlard de se modifier elle-même ou si l'infirmerie avait toujours une pièce de ce genre disponible pour ceux qui n'appréciaient pas la lumière.
Au centre de la pièce, entre deux tables de nuit qui semblaient avoir été extraites du même marbre gris que les murs, se trouvait un lit blanc d'hôpital qui prenait une teinte vaguement orangée sous la lumière sans fumée de la torche ; et dans ce lit, un drap remonté jusqu'aux cuisses et vêtu d'une chemise d'hôpital, le professeur Quirrell, assis, le dos légèrement appuyé contre la tête de lit.
En dépit de son apparence indemne, quelque chose dans l'image du professeur Quirrell assis dans l'un des lits de madame Pomfresh effrayait Harry. Même en sachant que le professeur Quirrell avait délibérément mis en scène sa défaite contre Severus afin de s'offrir une excuse qui lui permettrait de récupérer la force qu'il avait perdue à Azkaban. Harry n'avait jamais vraiment vu quelqu'un mourir dans un lit d'hôpital mais il avait regardé trop de films. C'était un présage de mortalité et le professeur de Défense n'était pas censé être mortel.
Madame Pomfresh avait dit à Harry qu'il lui était absolument interdit d'enquiquiner son patient.
Harry avait dit "je comprends," ce qui n'impliquait techniquement rien quant à son obéissance.
La vieille et sévère guérisseuse s'était alors tournée vers le professeur Quirrell et lui avait dit qu'il ne fallait absolument pas qu'il se fatigue ni qu'il... ne s'énerve...
Puis elle avait laissé sa phrase en suspens, avait fait un demi-tour empressé et s'était échappée la pièce.
"Pas mal," remarqua Harry après que la porte se fut refermée derrière la matrone médicale en fuite. "Je devrais apprendre à faire ça un jour."
Le professeur Quirrell sourit d'un sourire dénué de tout humour et dit d'une voix bien plus sèche que qu'à l'habitude : "Merci pour votre critique artistique, M. Potter."
Harry regarda les pâles yeux bleus et trouva que le professeur Quirrell avait l'air...
...plus vieux.
C'était subtil, et ça n'était peut-être qu'un effet de son imagination ou du mauvais éclairage. Mais les cheveux au-dessus du front de Quirinus Quirrell s'étaient peut-être un peu dégarnis, ceux qui demeuraient avaient peut-être minci ou grisé, comme une progression de la calvitie déjà visible à l'arrière de sa tête. Quant à son visage, il s'était peut-être un peu creusé.
Les pâles yeux bleus étaient demeurés vifs et perçants.
"Je suis heureux," dit Harry à voix basse, "de vous voir visiblement bien portant."
"Les apparences peuvent évidemment être trompeuses," dit le professeur Quirrell. Il agita les doigts et lorsque son geste fut achevé, sa baguette se trouvait entre ses mains. "Croirez-vous que cette femme pense m'avoir confisqué ceci ?"
Le professeur de Défense prononça six incantations ; six des trente qu'il avait utilisées pour protéger leur importante conversation dans la chambre de Marie.
Harry l'interrogea silencieusement d'un haussement de sourcils.
"C'est tout ce dont je suis capable pour l'instant," dit le professeur de Défense. "Je pense que cela s'avérera suffisant. Néanmoins, comme dit le proverbe : si tu ne souhaites pas qu'on entende quelque chose, ne le dis pas. Considérez qu'il s'applique ici pleinement. J'ai cru comprendre que vous désiriez me voir ?"
"Oui," dit Harry. Il s'interrompit et rassembla ses pensées. "Le directeur ou qui que ce soit d'autre vous a-t-il dit que nous ne pourrions plus aller déjeuner ?"
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