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Margaret Weis: Dragons d'une nuit d'hiver

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Margaret Weis Dragons d'une nuit d'hiver
  • Название:
    Dragons d'une nuit d'hiver
  • Автор:
  • Издательство:
    Fleuve Noir
  • Жанр:
  • Язык:
    Французский
  • Рейтинг книги:
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Dragons d'une nuit d'hiver: краткое содержание, описание и аннотация

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Ce soir, ces sont les rêves de l’humanité que l’ombre menace d’engloutir à jamais. Les dragons avancent en terre de Krynn, semant la désolation et la mort. Usés par les périls, cernés par le mal qui rôde, les compagnons de Tanis ont perdu leur superbe. Il va falloir se séparer. Les coeurs sont lourds, le désarroi s’installe. D'autant que Tanis, leur Étoile du Berger, a rencontré un ennemi, le plus redoutable de tous : l’amour. Pour reprendre le flambeau, devra-t-il renoncer à sa flamme ?

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— Je reste avec toi, dit le nain.

Tanis sourit et posa sa main sur l’épaule de Flint.

— Bien sûr, mon vieux, cela va sans dire.

Flint sourit de plaisir et tendit sa hache de guerre à Caramon.

— Prends-la. Mieux vaut qu’elle ne tombe pas aux mains de cette racaille.

— Bonne idée, dit Tanis.

Il détacha de son ceinturon Tranchedragon, l’épée magique qu’il avait trouvée près du squelette du roi des elfes Kith-Kanan. Gilthanas remit son arc et son carquois à Caramon.

— Toi aussi, chevalier, dit le grand guerrier, la main tendue vers Sturm.

Sturm se rembrunit. Son antique épée à deux mains et son bouclier étaient le seul héritage que lui avait légué son père, un Chevalier de Solamnie. Il détacha lentement son ceinturon et le tendit à Caramon.

— J’en prendrai grand soin, tu le sais, Sturm…

— Je sais, dit le chevalier avec un sourire triste. De plus, Catyrpelius le Grand Ver la protège, n’est-ce pas, mage ?

Raistlin eut un sursaut. La question de Sturm lui rappela un souvenir de Solace : le mage avait fait croire aux hobgobelins que l’épée de Sturm était enchantée. C’était la seule fois que le chevalier lui avait manifesté un sentiment voisin de la gratitude. Raistlin eut un bref sourire.

— Oui, le Ver la protège toujours. Ne crains rien, chevalier. Ton arme est en sécurité, ainsi que les compagnons que tu nous confies… Du moins autant qu’on puisse l’être. Au revoir, mes amis, continua-t-il, les yeux luisant d’un éclat étrange. Ce sera peut-être un « au revoir » lointain. Certains d’entre nous ne se reverront plus en ce monde.

Il s’inclina devant ses compagnons, et commença à monter l’escalier.

On peut dire qu’il ne rate jamais ses sorties, pensa Tanis, irrité, tandis que le bruit de bottes approchait de l’auberge.

La déclaration du mage troublait le demi-elfe plus qu’il ne voulait l’admettre. Au cours des années, il avait vu Raistlin acquérir de plus en plus de pouvoir grâce à ses connaissances occultes.

— Si vous ne nous voyez pas revenir, que tout le monde retourne à la Cité du Sud, conclut Tanis.

— Ce ne sera probablement qu’un simple contrôle de routine, dit Sturm, baissant la voix en voyant les gardes passer devant la fenêtre. Ils vont nous poser quelques questions, c’est tout. Cela n’empêche pas qu’ils ont le signalement de chacun de nous !

— J’ai l’impression qu’il ne s’agit pas de routine : même l’aubergiste a pris le large. Ils veulent savoir qui compose notre groupe, répondit Tanis.

Les gardes apparurent dans l’encadrement de la porte.

— Ce sont eux ! cria un homme en montrant les compagnons du doigt. Voilà le chevalier, je te l’avais bien dit ! Ainsi que l’elfe barbu, le nain et le kender. Et le seigneur elfe.

— Parfait, dit l’officier. Où sont les autres ?

Il fit un geste vers ses soldats, qui pointèrent aussitôt leurs armes sur les compagnons.

— Je ne vois pas où vous voulez en venir, dit doucement Tanis. Nous sommes des étrangers en route pour le sud. Est-ce ainsi que vous nous souhaitez la bienvenue ?

— Nous n’aimons pas beaucoup les étrangers par ici, répliqua l’officier. Surtout quand il s’agit d’un Chevalier de Solamnie. Si vous êtes aussi inoffensifs que tu le prétends, vous ne verrez pas d’inconvénient à répondre aux questions du seigneur de la ville et de son Conseil. Où sont les autres ?

— Mes amis sont fatigués. Ils se reposent dans leurs chambres du long et pénible voyage que nous avons fait. Comme nous n’avons pas l’intention de causer le moindre trouble, nous vous suivrons et répondrons à vos questions. Inutile de déranger les autres.

— Allez les chercher ! ordonna l’officier à ses hommes.

À l’instant où deux gardes posaient le pied sur la deuxième marche, les flammes envahirent le haut de l’escalier. Des nuages de fumée les forcèrent à redescendre. Tout le monde se rua vers la porte d’entrée. Tanis attrapa Tass par le collet et le traîna dehors.

L’officier lâcha plusieurs coups de sifflet rageurs, tandis que ses hommes s’égayaient dans la rue pour aller donner l’alarme. Mais les flammes s’éteignirent aussi vite qu’elles s’étaient allumées.

Livide, l’officier arrêta de siffler et rentra dans l’auberge. Tanis secoua la tête, inquiet de la façon dont tournaient les choses. Les flammes n’avaient pas laissé de traces, ni la moindre odeur de fumée. Venant du fond du couloir, il entendit la voix étouffée de Raistlin, qui s’arrêta net quand l’officier approcha de l’escalier.

— Le magicien doit être là-haut, marmonna-t-il. (Il se tourna vers Sturm :) Prêts à nous suivre sans opposer de résistance ?

— Tu as ma parole, répondit le chevalier. Peu m’importe ce que tu penses, mais tu sais que mon honneur est ma vie.

— Parfait. Deux gardes resteront ici et se posteront près de l’escalier. Les autres boucleront toutes les issues. Ne laissez sortir ou entrer personne. Vous avez le signalement des étrangers.

Les gardes hochèrent la tête en échangeant des regards gênés. Les hommes affectés à la surveillance de l’escalier s’en tenaient aussi loin que possible. Ils semblaient en avoir peur.

Les cinq compagnons suivirent l’officier hors de l’auberge. Tanis jeta un rapide coup d’œil en arrière. Laurana, debout devant la fenêtre de sa chambre, lui lança un regard plein d’inquiétude. Elle lui fit signe de la main et ses lèvres remuèrent. Il y lut : « Je suis désolée » en langage elfe. Les paroles de Raistlin lui revinrent à l’esprit, et il frissonna. Son cœur était lourd. À la pensée qu’il ne la reverrait peut-être plus, le monde lui sembla soudain vide. Il réalisa que Laurana s’était insinuée en lui sans qu’il s’en rende compte. Sa foi, son courage, son espérance étaient indéfectibles ! Comme elle se révélait différente de Kitiara !

Un garde poussa Tanis dans le dos.

— Avance ! N’essaie pas de prévenir quiconque !

Tanis pensa à Kitiara. La guerrière n’aurait jamais agi ainsi. Elle n’aurait pas aidé les autres comme Laurana. Kit aurait perdu patience et les aurait abandonnés à leur destin. Elle détestait et méprisait les gens plus faibles qu’elle.

La vieille douleur qui le tenaillait quand il pensait à Kitiara n’était plus aussi vive. Non, c’était Laurana, encore une enfant gâtée il y a quelques mois, qui lui faisait bouillir les sangs. Et maintenant, il était peut-être trop tard.

Au bout de la rue, il jeta un dernier coup d’œil en arrière dans l’espoir de lui faire savoir qu’il avait compris. Qu’il avait été idiot. Lui « dire » que…

Devant la fenêtre, le rideau était tiré.

5

L’émeute. La disparition de Tass. Alhana Astrevent.

— Maudit chevalier !

La pierre atteignit Sturm à l’épaule. Il chancela, bien que le projectile ait rebondi sur son armure. Tanis devina que la douleur physique n’était pas en cause.

À mesure que la nouvelle de l’arrestation se répandait, la foule envahissait les rues. Sturm marchait la tête haute, ignorant avec superbe les insultes et les projectiles. Les gardes ne montrant guère d’empressement à contenir la populace, les compagnons durent essuyer une pluie de pierres et de légumes divers.

Tanis savait que Sturm ne s’abaisserait pas à répondre mais il redoutait les réactions bouillantes de Flint. Il en oublia le kender.

Outre leur conception très personnelle de la propriété, les kenders avaient une autre caractéristique : la maîtrise d’une ironie particulièrement mordante. C’était un moyen, pour cette race fragilisée par sa petite taille, de survivre dans un monde de chevaliers et de guerriers, de trolls et de hobgobelins. Cette ironie meurtrière leur permettait d’énerver l’ennemi jusqu’à ce qu’il perde la tête et l’habileté au combat.

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