Frank Herbert - Dune (Tome 1)

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Dune (Tome 1): краткое содержание, описание и аннотация

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Il n’y a pas, dans tout l’Empire, de planète plus inhospitalière que Dune. Partout des sables à perte de vue. Une seule richesse : l’épice de longue vie, née du désert, et que tout l’univers achète à n’importe quel prix. Richesse très convoitée : quand Leto Atréides reçoit Dune en fief, il flaire le piège. Il aura besoin des guerriers Fremen qui, réfugiés au fond du désert, se sont adaptés à une vie très dure en préservant leur liberté, leurs coutumes et leur foi mystique. Ils rêvent du prophète qui proclamera la guerre sainte et qui, à la tête des commandos de la mort, changera le cours de l’histoire. Cependant les Révérendes Mères du Bene Gesserit poursuivent leur programme millénaire de sélection génétique ; elles veulent créer un homme qui concrétisera tous les dons latents de l’espèce. Tout est fécond dans ce programme, y compris ses défaillances. Le Messie des Fremen est-il déjà né dans l’Empire ?

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Il soupira.

Je dois immédiatement demander un nouveau Mentat à Tleielax. Il y en a certainement un de prêt pour moi, dès maintenant.

Près de lui, un garde toussota.

Il se retourna. « J’ai faim. »

« Oui, Mon Seigneur. »

« Je désire aussi que l’on me divertisse pendant que cette pièce est nettoyée et que ses secrets sont examinés. »

Le garde baissa les yeux. « Quel divertissement souhaiterait Mon Seigneur ? »

« Je me rends dans ma chambre. Amenez-moi ce heune homme que nous avons acheté sur Gamont et qui a des yeux adorables. Droguez-le, surtout. Je n’ai pas envie de lutter. »

« Oui, Mon Seigneur. »

Le Baron se détourna et prit le chemin de sa chambre, soutenu par les suspenseurs qui lui conféraient une démarche sautillante. Oui, se disait-il, celui qui a des yeux adorables et qui ressemble tant au jeune Paul Atréides.

O Mers de Caladan,
O Gens du duc Leto,
Citadelle abattue,
A jamais disparus…

(extrait de Chatns de Muad’Dib, par la princesse Irulan.)

Tout son passé, tout ce qu’il avait vécu, songeait Paul, était devenu comme du sable s’écoulant dans un sablier. Assis auprès de sa mère dans la petite tente de plastique et de tissu (l’abri-distille), il avait croisé les mains sur ses genoux. L’abri-distille provenait, tout comme la tenue fremen qu’ils portaient maintenant, du paquet trouvé dans l’orni.

Dans l’esprit de Paul, il n’y avait plus de doute quant à l’identité de celui qui avait placé le paquet là, qui avait pris ses dispositions pour que l’ornithoptère les amène là, auprès de Duncan Idaho.

Yueh.

Le docteur traître.

Au-delà de l’extrémité transparente de l’abri-distille, il apercevait les rochers baignés de lune qui délimitaient ce refuge préparé par Idaho.

Je me couche comme un enfant alors que je suis le Duc, maintenant, songea Paul. Cette pensée l’irritait mais, d’autre part, il ne pouvait nier que Duncan Idaho eût agi sagement.

Cette nuit, sa perception avait été modifiée. Il voyait avec clarté et netteté tout ce qui l’entourait, les événements, les circonstances. Il se sentait incapable d’endiguer le flot d’informations qui se déversait en lui. Avec une froide précision, chaque nouvel événement s’ajoutait à sa connaissance et l’opération était localisée au centre de sa conscience. Un pouvoir de Mentat. Plus encore.

Il songea à ce moment de rage impuissante qu’il avait connu lorsque l’étrange orni avait plongé sur eux du fond de la nuit, comme un faucon gigantesque, le vent du désert sifflant dans ses ailes. C’est alors qu’il s’était passé quelque chose dans son esprit. L’orni avait glissé sur le sable, droit sur eux, et il se souvenait de l’odeur de soufre brûlé qui s’était élevée des patins de l’appareil crissant sur le sable.

Sa mère, il le savait, s’était retournée avec la certitude d’affronter un pistolet laser. Et elle avait vu Duncan Idaho. Il se penchait au-dehors par la porte ouverte et il leur avait crié : « Vite ! Il y a le signe du ver au sud ! »

Pourtant Paul, à l’instant où il s’était retourné, avait su, lui, qui pilotait l’orni. Des détails subtils concernant sa façon de voler, de se poser, avaient été pour lui autant d’indices, si minces que sa mère ne les avait pas décelés.

Jessica bougea et dit : « Il ne peut y avoir qu’une explication. Les Harkonnens tenaient la femme de Yueh en leur pouvoir. Il les haissait ! Je n’ai pu faire erreur sur ce point. Tu as lu son message. Mais pourquoi nous a-t-il sauvés du carnage ? »

Elle ne le devine qu’à présent, et bien difficilement, pensa Paul. Et cette pensée fut un choc. Il avait compris les faits simplement en lisant le message qui accompagnait l’anneau ducal.

« N’essayez pas de ma pardonner, avait écrit Yueh. Je ne veux pas de votre pardon. J’ai déjà bien assez de fardeaux. Ce que j’ai fait, je l’ai fait sans méchanceté et sans espoir d’être compris. Ce fut mon tahaddi-al-burhan, mon dernier test. Je vous donne le sceau ducal pour prouver que j’écris la vérité. Lorsque vous lirez ces lignes, le Duc Leto sera mort. Puisse l’assurance que je vous donne qu’il n’est pas mort seul mais qu’il a entraîné avec lui celui que nous détestions par-dessus tout, vous consoler. »

Il n’y avait ni adresse ni signature, mais l’écriture était familière.

En se rappelant la teneur du message, Paul revivait sa détresse comme quelque chose d’aigu, d’étrange, qui semblait se situer à l’extérieur de sa nouvelle vivacité mentale. Il avait lu que son père était mort et il savait que ces mots étaient vrais. Mais cela n’était pour lui qu’un élément nouveau, une information supplémentaire qui était entrée dans son esprit pour être utilisée.

J’aimais mon père, se dit-il, sachant bien que c’était vrai. Je devrais le pleurer. Je devrais ressentir quelque chose.

Mais il ne ressentait rien. Il pensait seulement : Voilà un fait important.

A côté de bien d’autres.

Et sans cesse, son esprit ajoutait des impressions nouvelles, extrapolait, calculait.

Les paroles d’Halleck lui revinrent : « On se bat quand il le faut, et pas lorsqu’on en a le cœur ! Garde donc ton cœur pour l’amour ou pour jouer de la balisette. Ne le mêle pas au combat ! »

Peut-être en est-il ainsi, se dit-il. Je pleurerai mon père plus tard… lorsque j’en aurai le temps.

Mais, dans la précision froide qui l’habitait maintenant, il ne ressentait pas le moindre fléchissement. Sa nouvelle perception venait seulement de naître et elle continuait de se développer. Cette sensation d’un but terrible qu’il avait éprouvée lors de sa confrontation avec la Révérende Mère GaÏus Helen Mohiam lui revint. Sa main droite, sous le souvenir de la souffrance devint brûlante.

Etre le Kwisatz Haderach, c’est donc cela ?

« J’ai pensé pendant un temps que Hawat s’était encore trompé, dit Jessica. Je crois qu’il est possible que Yueh n’ait pas été docteur Suk. »

« Il était tout ce que nous pensions… et plus encore, dit Paul. (Il pensa : Pourquoi est-elle si lente à voir ces choses ?) Si Idaho ne parvient pas lusqu’à Kynes, nous serons… »

« C’est notre seul espoir », dit-elle.

« Ce n’est pas ce que je suggérais. »

Dans la voix de son fils, elle décela une dureté d’acier, une inflexion de commandemant et, dans l’ombre grise de l’abri-distille, elle le regarda. Il se silhouettait sur l’image claire des rochers givrés de lune.

« D’autres hommes de ton père ont dû réussir à fuir. Nous devons les regrouper, trouver… »

« Nous allons dépendre de nous-mêmes, dit-il. Notre premier souci devra être l’arsenal d’atomiques. Il faut l’atteindre avant que les Harkonnens ne se mettent en quête. »

« Il est pau probable qu’il le découvre là où il est caché. »

« Nous ne devons pas courir ce risque. »

Utiliser les atomiques de la famille pour menacer toute la planète et son épice. Voilà ce qu’il a en tête. Mais alors, il ne peut espérer survivre qu’en se réfugiant dans l’anonymat d’un renégat.

Les paroles de sa mère avaient déclenchée un nouveau flux de pensées dans l’esprit de Paul. En tant que Duc, il s’inquiétait du sort de ses gens perdus dans la nuit du désert. Les hommes sont la force véritable de toute Grande Maison, se dit-il.

A nouveau, lui revinrent des paroles de Hawat : « Il est triste d’être séparé de ses amis. Mais une demeure n’est jamais qu’une demeure. »

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