Frank Herbert - Dune (Tome 1)

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Dune (Tome 1): краткое содержание, описание и аннотация

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Il n’y a pas, dans tout l’Empire, de planète plus inhospitalière que Dune. Partout des sables à perte de vue. Une seule richesse : l’épice de longue vie, née du désert, et que tout l’univers achète à n’importe quel prix. Richesse très convoitée : quand Leto Atréides reçoit Dune en fief, il flaire le piège. Il aura besoin des guerriers Fremen qui, réfugiés au fond du désert, se sont adaptés à une vie très dure en préservant leur liberté, leurs coutumes et leur foi mystique. Ils rêvent du prophète qui proclamera la guerre sainte et qui, à la tête des commandos de la mort, changera le cours de l’histoire. Cependant les Révérendes Mères du Bene Gesserit poursuivent leur programme millénaire de sélection génétique ; elles veulent créer un homme qui concrétisera tous les dons latents de l’espèce. Tout est fécond dans ce programme, y compris ses défaillances. Le Messie des Fremen est-il déjà né dans l’Empire ?

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La chance. La chance et ce qu’il avait lu sur les traits d’un vieil homme mourant… Cela avait suffi pour le sauver.

Il ne ressentait aucune gratitude envers Piter. Cet idiot était mort en même temps que le stupide capitaine des gardes. Tous ceux qui étaient mis en présence du Baron étaient sondés, disaient-ils… Comment le Duc avait-il pu ?… Pas le moindre avertissement. Le goûte-poison lui-même n’avait pas réagi jusqu’à ce qu’il fût trop tard. Comment était-ce possible ?

Aucune importance, maintenant, songea le Baron comme son esprit devenait plus ferme. Le nouveau capitaine des gardes arrivera bien à trouver une réponse.

Il perçut un redoublement d’activité, de l’autre côté de cette pièce où régnait la mort. Il s’écarta de la porte et son regard courut sur les laquais, autour de lui. Ils le dévisageaient en silence, attendant ses ordres, guettant sa réaction.

Le Baron sera-t-il furieux ?

Le Baron prenait seulement conscience que quelques secondes s’étaient écoulées depuis qu’il s’était échappé de cette terrible pièce.

Certains des gardes avaient encore leurs armes braquées vers la porte. D’autres dirigeaient leur férocité sur le couloir vide d’où venaient les bruits d’agitation, maintenant.

Un homme apparut à l’angle. Un masque à gaz pendait à son cou. Ses yeux ne quittaient pas les indicateurs de poison alignés au long du couloir. Son visage était plat sous sa chevelure jaune. Ses yeux étaient intenses, verts. De fines rides irradiaent de sa bouche aux lèvres minces. Il évoquait quelque créature marine perdue sur la terre ferme.

Le Baron, tout en le regardant approcher, se souvint de son nom : Nefud. Iakin Nefud. Caporal de la garde. Nefud était intoxiqué par la sémuta, ce mélange de drogue et de musique qui agissait au niveau le plus profond de la conscience. Précieuse information.

Nefud s’arrêté devant lui et salua : »Le couloir est sûr, Mon Seigneur. Je montais la garde à l’extérieur et j’ai pensé qu’il pouvait s’agir d’un gaz latéral. Les ventilateurs de la pièce puisaient l’air de ces couloirs. (Il leva les yeux vers un détecteur placé au-dessus du Baron.) Il ne reste plus une seule trace du gaz, maintenant. La pièce a été assainie. Quels sont vos ordres ? »

Le Baron reconnut la voix. C’était celle qui avait lancé des ordres, un instant plus tôt. Un homme efficace, ce caporal.

« Ils sont tous morts ? » demanda-t-il.

« Oui, Mon Seigneur. »

Eh bien, il faut nous adapter, se dit-il.

« Tout d’abord, laissez-moi vous féliciter, Nefud. Vous êtes maintenant capitaine de mes gardes. Et j’espère que vous apprendrez par cœur cette leçon qu’est la mort de votre prédécesseur. »

Le Baron put sentir cheminer la conscience de cette situation nouvelle dans l’esprit de Nefud. Jamais plus il ne manquerait de semuta.

Le garde acquiesça. « Mon Seigneur sait que je me dévouerai totalement à sa sécurité. »

« Oui. A ce propos, je pense que le Duc avait quelque chose dans la bouche. Découvrez ce que c’était, comment cela a été utilisé et qui a pu l’aider. Prenez toutes précautions… »

Il s’interrompit. Le train de ses pensées venait d’être disloqué par un remue-ménage dans le couloir, derrière lui. Des gardes postés devant l’ascenceur qui reliait cet étage aux niveaux inférieurs de la frégate essayaient de contenir un grand colonel bashar qui venait d’émerger de la cabine.

Le Baron ne parvenait pas à situer ce visage mince, cette bouche pareille à une fente dans du cuir, ces petits yeux d’encre.

« Ecartez vos mains, mangeurs de charogne ! » rugit le personnage en bondissant hors de portée des gardes.

Ah, l’un des Sardaukars, pensa le Baron.

Le colonel bashar s’avançait vers lui et les yeux du Baron devinrent deux fentes pleines d’appréhension. Les Sardaukars provoquaient en lui un malaise. Ils semblaient tous avoir un quelconque lien de parenté avec le Duc… feu le Duc. Et la façon dont ils se comportaient avec le Baron…

Le Sardaukar vint se planter à un pas du Baron, les mains sur les hanches. Derrière lui, les gardes hésitaient.

Le Baron remarqua que l’homme ne le saluait pas et que ses façons étaient imprégnées de mépris. Son malaise n’en devint que plus grand. Une seule légion de Sardaukar (dix brigades) était venue renforcer les légions harkonnens. Mais le Baron ne se faisait pas d’illusions. Cette unique légion pouvait être très bien se retourner contre eux et triompher.

« Dites à vos hommes de ne pas essayer de m’empêcher de vous voir, Baron, gronda le Sardaukar. Quant aux miens, ils vous ont livré le Duc Atréides avant que j’aie pu discuter avec vous du sort qui lui serait réservé. Nous allons le faire maintenant. »

Je ne dois pas perdre la face devant mes hommes, se dit le Baron.

« Vraiment ? » Sa voix était froide, parfaitement contrôlée et le Baron en ressentit de la fierté.

« Mon Empereur m’a chargé de m’assurer que son royal cousin périrait proprement, sans souffrance », dit le colonel bashar.

« Tels étaient les ordres impériaux que j’ai reçus, dit le Baron. Pensiez-vous que je n’allais pas leur obéir ? »

« Je dois rapporter à l’Empereur ce que j’aurai vu de mes propres yeux. »

« Le Duc est déjà mort », lança le Baron, et il leva la main pour congédier le Sardaukar.

Celui-ci demeura immobile devant lui. Il ne fit pas le moindre mouvement, n’eut pas le moindre regard qui pût donner à penser qu’il avait enregistré ce geste.

« Comment ? » gronda-t-il.

Vraiment, pensa le Baron, en voilà assez !

« De sa propre main, si vous tenez à le savoir. Il a absorbé du poison. »

« Je veux voir le corps maintenant. »

Feignant l’exaspération, le Baron leva les yeux vers le plafond. Mais ses pensées s’accéléraient. Damnation ! Ce Sardaukar à l’œil acéré va pénétrer dans la pièce sans que rien ait bougé !

« Je veux le voir maintenant ! » répéta le Sardaukar.

Impossible d’y échapper, se dit le Baron. Il va tout voir. Il va découvrir que le Duc a tué des hommes d’Harkonnen… et que le Baron s’en est tiré de justesse. Les reliefs du repas étaient une preuve. Au même titre que le Duc, mort au centre de ce massacre.

Impossible d’y échapper.

« Vous ne m’évincerez pas », dit le colonel bashar d’un ton grinçant.

« Nul ne veut vous évincer, répliqua le Baron en regardant dans les yeux d’obsidienne de son interlocuteur. Je ne cache rien à l’Empereur. (Il inclina la tête à l’intention de Nefud.) Le colonel bashar doit tout vérifier, immédiatement. Introduisez-le par la porte devant laquelle vous étiez posté, Nefud. »

« Par ici, colonel », dit Nefud.

Lentement, insolemment, le Sardaukar contourna le Baron et se fraya un chemin entre les gardes.

Insupportable, songea le Baron. A présent, l’empereur sera au courant de cette faute. Il la jugera comme un signe de faiblesse.

Et il était effrayant de se dire que l’Empereur et ce sardaukar étaient identiques dans leur mépris de toute faiblesse. Le Baron se mordti la lèvre. Au moins, l’Empereur n’avait rien su du raid des Atréides sur Geidi Prime et de la destruction des entrepôts d’épice harkonnens.

Maudit soit ce perfide Duc !

Le Baron regardait s’éloigner l’arrogant Sardaukar et l’efficient Nefud.

Il faut nous adapter. Je devrai remettre Rabban sur cette satanée planète. Sans restriction. Il va me falloir payer de mon sang d’Harkonnen pour qu’Arrakis soit en mesure d’accepter Feyd-Rautha. Maudit Piter ! Il a fallu qu’il se fasse tuer avant que j’en aie fini avec lui !

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