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Ben Bova: Colonie 1

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Ben Bova Colonie 1

Colonie 1: краткое содержание, описание и аннотация

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En l’an 2008… Loin de la Terre,  — riche et heureuse colonie spatiale, d’une technologie si avancée qu’un homme y a été « créé » en laboratoire : David Adams. Beauté d’archange, intelligence souveraine. Pourtant cet être « invulnérable » s’est épris d’une journaliste de passage, la belle Evelyn Hall... et veut la retrouver. Tout comme il veut, parce qu’il se sent solidaire des hommes, sauver la Terre qu’une guerre bactériologique menace et dont le Gouvernement mondial vacille… Bravant l’interdiction de quitter David se lance dans le plus fantastique des voyages, passager clandestin d’astronefs en fusées, traqué de satellites en planètes… N’arrivera-t-il pas trop tard sur une Terre où déjà règnent la violence et l’anarchie ? Londres brûle, on se bat dans New York…

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Il vit passer devant lui les assassins armés de couteaux aux longues lames effilées.

Alors, il émergea de sa cachette et rejoignit la rue qu’il avait quittée. Quand il leva la tête, il aperçut un turban à damiers sur une terrasse. Qui disparut mais pas assez vite pour lui échapper.

Dieu du ciel ! Il y en a partout !

En approchant de la rue suivante, il hésita. Un coup d’œil en arrière : personne. Il se plaqua contre la surface rugueuse du mur pour inspecter précautionneusement la ruelle qui coupait la venelle. Les deux Arabes qu’il avait mystifiés quelques instants plus tôt se rabattaient sur lui. L’un d’eux examinait les porches, l’autre avançait à grands pas… droit sur Denny. Il avait une petite radio collée à l’oreille.

Le fugitif aspira un grand coup, serra les poings et attendit. Cela ne ressemblera en rien à une bagarre de chantier. Ils veulent ta peau.

Quand le premier des deux Arabes arriva à l’intersection, Denny bondit et lui expédia un coup de pied dans le bas-ventre. L’autre poussa un cri et se plia en deux. L’architecte en profita pour l’assommer d’un jab sur la nuque avant qu’il eût touché terre et il s’empara du couteau. Le complice chargea alors en braillant. Denny l’attendit de pied ferme. Il fit même un pas dans sa direction. L’Arabe s’immobilisa à quelques mètres de lui, l’arme prête.

Oui, tu peux te payer le luxe d’attendre que tes copains s’amènent pour t’aider à étriper la volaille, hein ?

Avec un rugissement de rage qui le surprit lui-même, il se jeta sur l’aspirant tueur désorienté qui tenta de battre en retraite mais, plongeant comme un demi de mêlée, Denny lui fit une clé aux jambes qui le déséquilibra, pivota sur lui-même et enfonça son poignard dans l’épaule de son adversaire qui exhala un cri de douleur et lâcha son arme. Maintenant, la lame était à quelques centimètres de la gorge de l’Arabe aux yeux écarquillés par la souffrance et la terreur.

Denny lui cracha en pleine face, le désarma et prit ses jambes à son cou. Dommage que je ne connaisse pas assez bien le gaélique pour l’injurier comme il faut !

Il tourna au coin de la rue sans rien voir et continua de courir jusqu’au moment où il eut l’impression que sa poitrine allait éclater. Alors, il s’arrêta, se plia en deux, un couteau dans chaque main, et, haletant péniblement, il s’efforça de reprendre son souffle.

Il leva la tête. Au-delà des arceaux de la ruelle, il distinguait, à sa droite, la lune presque à son plein qui dérivait, sereine, dans le ciel ténébreux. Arrête de ricaner en me regardant, lança-t-il à l’adresse de l’Homme dans la Lune. Juste à la verticale, une étoile luisait sans clignoter : Île Un qui montait à son zénith.

Peut-être que je pourrais maintenant lancer un appel…

Mais quand il se retourna, il comprit qu’il était trop tard. Debout sur un toit voisin, un homme parlait dans sa radio portative. Denny était acculé dans une sorte de cour ceinturée par de hauts murs et l’alignement des échoppes hermétiquement closes. Trois rues s’ouvraient devant lui et dans chacune d’elles un groupe d’assassins avançaient lentement, convergeant sur lui.

Trois… cinq… huit en tout. Neuf avec l’autre qui est sur le toit. Neuf contre un. Je suis mal parti. Je dois être fichtrement important pour que l’on ait mobilisé toute cette armée ! Mais pourquoi ? Pourquoi moi ?

Une partie de lui-même s’étonnait : il n’éprouvait ni peur, ni affolement, ni même de colère à l’idée que quelqu’un prenait tant de peine pour le faire passer de vie à trépas. Il tremblait mais c’était d’excitation — une excitation presque joyeuse. Bon Dieu ! pensa-t-il. Faut-il que nous soyons encore restés des guerriers païens derrière notre vernis de courtoisie et d’aimable verbiage !

Et, lançant à pleins poumons un inintelligible cri de guerre, il chargea dans la rue du milieu où il n’y avait que deux hommes.

Ils firent front. Quand il fut à bonne distance, il se jeta, le poignard droit levé, sur l’un des Arabes, l’obligeant à esquiver, et doubla d’un coup du poignard qu’il tenait de la main gauche. Un cri de douleur fusa et il se rendit compte que c’était de sa propre gorge qu’il sortait. Fulgurante, une souffrance brûlante le déchira. Ses jambes ployèrent sous lui et il s’écroula. Vision de dents scintillantes, de longues lames perfides qui dansaient au-dessus de lui…

Une lueur éblouissante l’aveugla soudain et les poignards, les visages, tout s’évanouit d’un seul coup.

Son poing crispé sur la plaie qui lui entaillait le flanc, Denny, perdant son sang en abondance, se mit à plat ventre en gémissant et essaya de comprendre ce qui s’était passé. La douleur lui brouillait la vue.

Cette lumière provenait des phares d’une voiture. Une voiture ? Dans le souk ? Quelqu’un en uniforme noir… un chauffeur ?… se pencha sur lui, attentif, tourna la tête et dit quelques mots en arabe sur un débit précipité. De la voiture, une voix lui répondit.

Le chauffeur prit Denny par les aisselles et le mit debout. La douleur s’intensifia et le blessé cria en portant les deux mains à sa blessure.

— Avancez ! le pressa le chauffeur. Vite !

Chaque fois que Denny faisait un pas, il avait l’impression qu’une pince chauffée au rouge lui fouaillait le ventre. Il s’appuyait de tout son poids sur le chauffeur qui, bien qu’il fût beaucoup plus petit, le soutenait et, moitié le poussant, moitié le halant, l’entraînait vers l’auto. En dépit du vertige qui l’emportait, Denny vit que c’était une gigantesque limousine noire. Qui diable peut se servir d’un de ces antiques zeppelins ? se demanda-t-il à travers les affres de la souffrance.

Le chauffeur réussit à ouvrir la portière arrière sans le lâcher et il le poussa au fond du véhicule. Chaque mouvement était une torture mais le martyre de Denny s’atténua quelque peu quand il se courba pour entrer.

Il y avait quelqu’un à l’intérieur qui l’aida à s’allonger sur la banquette. Denny, vidé de ses forces, ne bougeait plus. Il sentit que le chauffeur lui repliait les jambes. La portière claqua. Il faisait noir. Trop noir pour distinguer quoi que ce soit. Une voix de femme lui parvint. Elle parlait en arabe. Il était question d’un médecin. Il y eut une légère secousse quand la voiture démarra. Denny perdit conscience.

Quand il rouvrit les yeux, il était toujours couché sur la banquette de la limousine et la femme, son visage invisible dans l’ombre, était agenouillée à côté de lui. On devait avoir baissé les vitres car le vent de la nuit agitait son épaisse chevelure et sa caresse fraîche effleurait la joue de Denny.

À moins que ce soit elle qui me caresse ?

— Je délire, ce n’est pas possible, balbutia-t-il.

— Chut ! Ne bougez pas. Un médecin va bientôt vous examiner.

Elle parlait bas, d’une voix presque rauque.

La limousine filait dans la nuit. De l’autre côté des fenêtres glissaient les façades de hauts bâtiments modernes. Rue Rachid ? En tout cas, le souk était loin.

— Je vais… mettre du sang… partout, dit-il faiblement.

— Cela n’a pas d’importance.

Quand ils traversèrent une place dégagée, la lune éclaira la femme. Jamais Denny n’avait vu visage aussi exquis. Des yeux noirs fendus en amande, des pommettes hautes, un menton à la fois énergique et délicat, un nez dont le dessin avait toute la noblesse de l’Arabie.

Un ange arabe sorti tout droit du paradis coranique.

Peut-être que je suis mort et qu’on m’a dirigé par erreur chez Mahomet, songea Denny.

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