Roger Zelazny - Seigneur de lumière

Здесь есть возможность читать онлайн «Roger Zelazny - Seigneur de lumière» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию без сокращений). В некоторых случаях можно слушать аудио, скачать через торрент в формате fb2 и присутствует краткое содержание. Город: Paris, Год выпуска: 1975, Издательство: Denoël, Жанр: Фантастика и фэнтези, на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале библиотеки ЛибКат.

Seigneur de lumière: краткое содержание, описание и аннотация

Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «Seigneur de lumière»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.

Ils ont découvert le secret de l'immortalité, mais ils le gardent jalousement pour eux et tiennent le peuple dans un Moyen Age éhonté.
Le fanatisme religieux remplace la connaissance scientifique. Mais si vous voulez joindre les « dieux », utilisez le téléphone automatique, c'est tout de même plus pratique.
Mais attention, un homme va se révolter et partir en guerre contre ces « dieux » immortels et fanatiques…

Seigneur de lumière — читать онлайн бесплатно полную книгу (весь текст) целиком

Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «Seigneur de lumière», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.

Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Il leva les mains vers son visage, les abaissa, regarda Kubera, se releva.

— Tu as construit la chambre appelée Peur, dit-il, dans le pavillon du Silence. Je me rappelle à présent quel est ton pouvoir, dieu antique, et il ne suffira pas à me vaincre.

Un cheval invisible court à travers les prés de ton esprit. Tu le connais par l’empreinte de ses sabots, dont chacune est une blessure…

Sam tint ferme, serra le poing.

Le ciel grince au-dessus de toi. Le sol peut s’ouvrir sous tes pieds. Et quelle est cette grande chose sombre et semblable à une ombre qui vient, qui se tient derrière toi ?

Le poing de Sam tremblait encore, mais il le lança en avant.

Kubera oscilla sous le choc, sa tête pencha de côté, mais il tint bon.

Sam frissonna pendant que Kubera rejetait son bras droit en arrière pour porter le dernier coup.

— Tu triches, dit-il.

Kubera sourit, le visage ensanglanté, et son poing s’abattit comme un sombre boulet.

Yama parlait avec Ratri quand le cri de Garuda réveillé traversa la nuit.

— Cela n’est encore jamais arrivé, dit-il.

Les cieux s’éclairaient peu à peu.

— Vichnou part peut-être…

— Il n’est jamais parti de nuit. Et quand je lui ai parlé, il y a un moment, il ne m’en a rien dit.

— Alors, un autre dieu a peut-être osé prendre sa monture.

— Non ! Allons aux cages ! Et vite ! J’aurai peut-être besoin de tes pouvoirs.

Et il l’entraîna avec lui vers l’aire d’acier de l’oiseau.

Garuda était éveillé, détaché, mais avait encore son chaperon.

Kubera, qui avait transporté Sam jusqu’aux cages, l’attacha à son siège sur la selle, toujours sans connaissance.

Il redescendit et s’activa autour des commandes. Le haut de la cage s’ouvrit. Puis il prit un long croc de métal, et revint vers l’échelle de corde. L’odeur de l’oiseau était suffocante. Garuda s’agitait nerveusement et ébouriffait des plumes deux fois grandes comme un homme.

Il grimpa lentement. Comme il s’attachait sur son siège Yama et Ratri s’approchèrent de la cage.

— Kubera ! Tu es fou ! Tu n’as jamais aimé l’altitude !

— Affaires urgentes, Yama, et il faudrait toute une journée pour mettre en état de marche le char de la foudre.

— Quelles affaires, Kubera ? Pourquoi ne pas prendre une gondole ?

— Garuda est plus rapide. Je t’expliquerai tout à mon retour.

— Je peux peut-être t’aider.

— Non, merci.

— Mais Murugan ?…

— Il me sera utile en cette affaire.

— Mais vous n’avez jamais été en bons termes !

— Rien n’a changé, mais j’ai besoin de ses services.

— Salut, Murugan !… Pourquoi ne répond-il pas ?

— Il dort, Yama.

— Il y a du sang sur ton visage, frère.

— J’ai eu un petit accident.

— Et Murugan n’a pas l’air en trop bon état.

— À cause du même accident.

— Il y a quelque chose de louche dans tout cela. Attends-moi, je rentre dans la cage.

— Reste dehors, Yama.

— Les Lokapalas ne se donnent pas d’ordres les uns aux autres. Nous sommes égaux.

— Reste dehors, Yama, je vais enlever le chaperon de Garuda.

— Non !

Les yeux de Yama étincelèrent, il se redressa dans son costume rouge.

Kubera se pencha en avant, croc en main, ôta le chaperon de la grande tête de l’oiseau. Garuda rejeta la tête en arrière et cria.

— Ratri, dit Yama, fais tomber l’ombre devant les yeux de Garuda pour qu’il ne voit plus.

Yama se dirigea vers l’entrée de la cage. L’obscurité enveloppa la tête de l’oiseau comme un nuage d’orage.

— Ratri ! cria Kubera, éclaire-nous, mets Yama dans la nuit, ou tout est perdu !

Ratri n’hésita qu’un moment, puis obéit.

— Viens vite avec nous ! cria encore Kubera. Viens monter Garuda, pars avec nous, nous avons grand besoin de toi !

Elle entra dans la cage et disparut, tandis que les ténèbres s’étendaient comme une mare d’encre et que Yama cherchait à tâtons son chemin.

L’échelle se balança, trembla, tandis que Ratri montait sur Gurada.

Garuda hurla et bondit dans les airs, car Yama s’était avancé, poignard à la main, et avait frappé la première chose qu’il avait touchée.

La nuit tourbillonna autour d’eux, le Ciel était déjà loin au-dessous de l’oiseau.

Quand ils arrivèrent en haute altitude, le dôme commença à se fermer.

Garuda fila vers la porte, en hurlant.

Ils la franchirent avant qu’elle se ferme.

— Où allons-nous ? demanda Ratri.

— À Keenset, sur les bords du Védra, répondit Kubera. Et celui-là, c’est Sam. Il vit toujours.

— Qu’est-il arrivé ?

— C’est lui que recherche Yama.

— Le poursuivra-t-il jusqu’à Keenset ?

— Sans aucun doute. Mais avant qu’il ne le trouve, nous aurons le temps de nous préparer à l’assaut.

Pendant les jours qui précédèrent la Grande Bataille, les défenseurs arrivèrent à Keenset. Kubera, Sam et Ratri les avaient avertis. Keenset savait déjà que ses voisins se préparaient à la guerre, mais ignorait tout des vengeurs célestes qui devaient arriver plus tard.

Sam entraîna les soldats qui se battraient contre les dieux, et Kubera ceux qui lutteraient contre les hommes.

On forgea une armure noire pour la déesse de la Nuit, à qui l’on dit : « Garde nous de la louve et du loup, garde nous des voleurs, ô Nuit. »

Et le troisième jour, il y eut une tour de feu devant la tente de Sam, sur la plaine hors de la ville.

— C’est le seigneur du Puits d’Enfer qui vient tenir sa promesse, ô Siddharta ! dit la voix qui résonna en son esprit.

— Taraka ! Comment m’as-tu retrouvé ? Reconnu ?

— Je regarde les flammes qui sont ton être véritable, et non la chair qui les masque, tu le sais.

— Je te croyais mort.

— Il s’en est fallu de peu. Ces deux-là boivent vraiment toute vie de leurs yeux ! Même la vie d’un être tel que moi !

— Je te l’avais dit. As-tu amené tes légions ?

— Oui.

— Parfait. Les dieux vont bientôt attaquer cette ville.

— Je le sais. Je suis souvent allé au Ciel sur sa montagne de glace, et j’y ai encore mes espions. Je sais donc qu’ils se préparent à venir ici. Ils invitent aussi des humains à se joindre à la bataille. Bien qu’ils ne pensent pas avoir besoin de l’aide des hommes, ils jugent bon qu’ils participent à la destruction de Keenset.

— Cela se comprend, dit Sam, regardant le grand tourbillon de flammes jaunes. Quelles autres nouvelles apportes-tu ?

— Celui qui est vêtu de rouge arrive.

— Je l’attendais.

— Il trouvera la mort. Je veux et dois le vaincre.

— Il aura sur lui de l’anti-démon.

— Alors je trouverai un moyen de le lui enlever, ou je le tuerai de loin. Il sera ici à la tombée du jour.

— Comment vient-il ?

— Dans une machine volante. Pas aussi grande que le char que nous avions essayé de prendre, mais très rapide. Je n’ai pas pu l’attaquer en vol.

— Vient-il seul ?

— Oui, avec les machines.

— Des machines ?

— Oui, beaucoup. Sa machine volante est pleine d’instruments étranges.

— Mauvais présage.

La tour devint orange en tournant.

— Mais d’autres arrivent aussi.

— Tu viens de me dire qu’il était seul.

— C’est vrai.

— Alors, explique-toi.

— Les autres ne viennent pas du Ciel.

— D’où, alors ?

— J’ai beaucoup voyagé depuis ton départ du Ciel, je suis allé aux quatre coins du monde, chercher des alliés parmi ceux qui haïssent aussi les dieux de la Cité. Pendant que j’y pense, au cours de ta dernière incarnation, j’ai essayé de te sauver, de t’arracher aux félins de Kaniburrha.

Читать дальше
Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Похожие книги на «Seigneur de lumière»

Представляем Вашему вниманию похожие книги на «Seigneur de lumière» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё непрочитанные произведения.


Отзывы о книге «Seigneur de lumière»

Обсуждение, отзывы о книге «Seigneur de lumière» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.

x