George Gordon Byron - Œuvres complètes de lord Byron, Tome 10

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Œuvres complètes de lord Byron, Tome 10: краткое содержание, описание и аннотация

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»Croyez-moi toujours, mon cher Moore, votre, etc., etc.»

Note 15: (retour)Acteur extraordinaire dans l'emploi des bas comiques. Il doit à sa laideur une partie de son extrême popularité; et, comme MM. Potier et Odey; il a le privilége de faire rire aux larmes, avant même d'ouvrir la bouche.( N. du Tr. )

Les passages omis ici offrent la narration un peu trop amusante des troubles qui venaient d'éclater à Newsteadt par suite de la mauvaise conduite d'une des servantes de la maison, que l'on soupçonnait un peu trop avant dans les bonnes grâces de son maître, et qui, par les airs de supériorité qu'elle se donnait à l'égard de ses camarades, les avait disposés à peu d'indulgence envers elle. Les principaux personnages dans cette lutte furent cette sultane favorite et le jeune Rushton. Le premier point en litige, bien que dans la suite d'autres griefs plus importans se présentassent contre la dame, fut de savoir si le jeune Rushton était obligé, d'après son ordre, de porter des lettres à l'autre extrémité du domaine. Je n'aurais pas fait ici la moindre allusion à un épisode de cette nature, si ce n'était à cause des deux lettres suivantes. Il est curieux d'y voir avec quelle gravité et quel sang-froid le jeune lord s'établit juge dans cette contestation; avec quelle délicatesse il penche en faveur du serviteur dont il a éprouvé l'attachement et la fidélité, au lieu d'écouter la partialité qu'on aurait pu lui soupçonner pour une servante qui ne paraissait pas alors lui être absolument indifférente.

LETTRE LXXXIV

À ROBERT RUSHTON

21 janvier 1812.

«Bien que je ne trouve pas mauvais que vous refusiez de porter des lettres à Mealey, vous voudrez bien avoir soin qu'elles y soient portées en tems utile par Spero . Je dois aussi vous faire observer que Suzanne doit être traitée civilement, que je ne veux point qu'elle soit insultée par personne de ma maison, et même par qui que ce soit tant que j'aurai le pouvoir de la protéger. Je suis réellement désolé que vous me donniez sujet de me plaindre de vous : j'ai trop bonne opinion de votre caractère pour croire que vous fournissiez l'occasion de nouveaux reproches, d'après le soin que j'ai pris de vous et mes bonnes intentions à votre égard. Si le sentiment général des convenances n'est pas assez fort pour vous empêcher de vous conduire grossièrement avec vos camarades, je puis du moins espérer que votre propre intérêt et le respect pour un maître qui n'a jamais été dur à votre égard, vous paraîtront de quelque poids.

»Votre, etc.

BYRON.

» P. S. Je désire que vous vous appliquiez à votre arithmétique, que vous vous occupiez à arpenter, à lever des plans, que vous vous rendiez familier dans tout ce qui concerne la terre de Newsteadt, enfin que vous m'écriviez une fois par semaine , pour que je voie où vous en êtes.»

LETTRE LXXXV

À ROBERT RUSHTON

25 janvier 1812.

«Mes reproches ne tombaient pas sur votre refus de porter la lettre, cela ne rentre pas dans vos attributions; mais, s'il faut en croire cette fille, vous lui avez parlé d'une manière très-inconvenante.

»Vous dites que vous aussi vous auriez des plaintes à former: exposez-les moi donc immédiatement; il ne serait ni juste, ni conforme à mon usage de n'écouter que l'une des deux parties.

»S'il s'est passé quelque chose entre vous, avant ou depuis mon dernier séjour à Newsteadt, ne craignez pas de me le dire. Je suis sûr que vous , vous ne voudrez pas me tromper, et je n'en voudrais pas dire autant d'elle. Quoi qu'il soit arrivé, je vous le pardonnerai à vous . Je ne suis pas sans avoir eu déjà quelques soupçons à cet égard, et je suis certain qu'à votre âge ce n'est pas vous qui seriez à blâmer si la chose était arrivée. Ne consultez personne sur votre réponse, mais écrivez immédiatement. Je serai d'autant plus disposé à vous écouter favorablement, que je ne me souviens pas de vous avoir jamais entendu prononcer un seul mot qui pût nuire à quelqu'un; je suis convaincu que vous n'avancerez pas sciemment un mensonge. Personne ne vous fera impunément le moindre tort, tant que vous vous conduirez comme il convient. J'attends une réponse immédiate.

»Votre, etc.»

BYRON.

C'est à la suite de cette correspondance qu'il acquit la certitude de quelques légèretés dans la conduite de la fille en question, et qu'il la renvoya ainsi qu'une autre servante. On verra dans la lettre suivante, à M. Hodgson, quelle profonde impression cette découverte avait faite sur son esprit.

LETTRE LXXXVI

À M. HODGSON

16 février 1812.

Mon Cher Hodgson,

«Je vous envoie une épreuve. J'ai été très-malade la semaine dernière, la pierre m'a forcé de garder le lit. J'eusse voulu qu'elle fût dans mon cœur, au lieu d'être dans mes reins. Les servantes sont parties dans leurs familles, après plusieurs tentatives pour expliquer ce qui n'était déjà que trop clair. N'importe, je suis guéri de cela aussi, je m'étonne seulement de ma folie de vouloir excepter mes maîtresses de la corruption générale de leur sexe… et puis une sottise de deux mois vaut mieux qu'une de dix années. J'ai une prière à vous faire: ne me pariez jamais femme , dans aucune de vos lettres, ne faites pas même allusion à l'existence du sexe. Je ne veux plus lire un seul substantif du genre féminin; je ne veux que propria quæ maribus 16.

Note 16: (retour)Premiers mots d'une des règles élémentaires de la grammaire latine à l'usage du collége d'Éton. Cette grammaire expose les règles en mauvais vers latins, aussi bien que la grammaire grecque adoptée dans le même collége, et suivie dans tous ceux dont les élèves sont destinés à l'université d'Oxford.( N. du Tr. )

»Je quitterai l'Angleterre pour toujours au printems de 1813: mes affaires, mon goût et ma santé m'y portent également. Ni mes habitudes, ni ma constitution ne s'accommodent de nos usages et de notre climat. Je m'occuperai à devenir bon orientaliste. Je fixerai mon domicile dans l'une des plus belles îles, et je parcourrai de nouveau, de tems en tems, les plus belles parties du Levant. D'ici-là j'arrangerai mes affaires; il me restera, quand tout sera réglé, de quoi vivre en Angleterre, c'est-à-dire de quoi acheter une principauté en Turquie. Je suis fort gêné dans ce moment: j'espère toutefois, en prenant des mesures pénibles, mais nécessaires, me tirer tout-à-fait de cette fausse position. Hobhouse est attendu journellement à Londres; nous serons charmés de l'y voir; peut-être viendrez-vous aussi boire avec lui une bonne bouteille avant son départ, sinon « à la montagne Mahomet .» Cambridge lui rappellera de tristes souvenirs, et de plus tristes encore à moi-même. Je crois que le seul être humain qui m'ait jamais aimé sincèrement et tout-à-fait, était de Cambridge, et, à mon âge, il ne faut plus attendre de changement sur ce point. La mort a cela de consolant, que, quand elle a mis son cachet quelque part, l'impression n'en peut être ni fondue ni brisée; elle est inviolable.

»Pour toujours, votre, etc.»

BYRON.

Parmi les lettres où se peignent l'obligeance et la bonté de son naturel, lettres précieuses à ceux qui les ont reçues, et dignes de l'admiration des autres, nous citerons la suivante, dans laquelle il recommande un jeune enfant qui allait entrer à l'école d'Éton, aux soins d'un élève plus âgé.

LETTRE LXXXVII

AU JEUNE JOHN COWELL

12 février 1812.

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