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Brown, Dan: Da Vinci code

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Brown, Dan Da Vinci code

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Un entresol et un étage . Une dizaine de secondes.

L'ascenseur s'ébranla.

— M. Saunière et vous, reprit Fache, ne vous êtes jamais parlé ? Jamais écrit ? Ni envoyé quoi que ce soit ?

Encore une question lourde de sous-entendus.

— Jamais, fit Langdon en secouant la tête.

Fache acquiesça, prenant bonne note de cette réponse, les yeux fixés sur les portes métalliques. Langdon essaya de se concentrer sur autre chose que les quatre cloisons qui l'enfermaient. Son regard fut attiré par l'épingle à cravate de son compagnon - un crucifix d'argent serti de treize petites pierres d'onyx noir. Une croix gemmée . La crux gemmata symbolisait Jésus et ses douze apôtres et Langdon fut étonné de voir un

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haut fonctionnaire français afficher aussi ouvertement ses convictions religieuses.

— C'est une crux gemmata , s'exclama Fache brusquement.

Langdon, surpris par la remarque, leva les yeux et vit, reflétés dans la porte de l'ascenseur, les yeux de Fache braqués sur lui.

La cabine s'immobilisa enfin, les portes s'ouvrirent et Langdon sortit le premier, avide de grands volumes et de hauts plafonds. Mais le monde dans lequel il pénétra ne ressemblait guère à celui qu'il espérait.

Surpris, il s'arrêta net.

Fache lui jeta un regard perçant.

— Je parie que vous n'avez jamais visité le Louvre de nuit ?

En effet , songea Langdon en essayant de s'orienter.

Les salles du musée, d'ordinaire illuminées, étaient particulièrement sombres ce soir. Au lieu de l'habituelle lumière blanche et terne qui se diffusait du plafond, une lueur rouge tamisée provenant des plinthes dessinait sur le sol, à intervalles réguliers, des flaques rosâtres.

Il aurait pourtant pu prévoir cette scène. Presque tous les grands musées utilisent ce type d'éclairage nocturne rougeâtre.

Ces émissions lumineuses de faible intensité au ras du sol permettent en effet aux employés de circuler dans les salles tout en protégeant les œuvres des effets nocifs d'une exposition permanente à la lumière. Ce soir, l'atmosphère du Louvre était presque oppressante. Chaque recoin semblait abriter son lot d'ombres embusquées et les plafonds voûtés qui donnaient en général une telle sensation d'espace paraissaient noyés dans une vertigineuse obscurité.

— Par ici, intima Fache, en tournant brusquement à droite.

Les yeux de Langdon s'habituaient à la pénombre et les grandes toiles se matérialisaient peu à peu autour de lui, comme des clichés photographiques plongés dans le révélateur d'une chambre noire. Il reconnut l'odeur familière du carbone émanant des déshumidificateurs qui fonctionnaient en permanence pour contrer les effets délétères de l'oxyde de carbone exhalé par les visiteurs. Sous le plafond, les caméras de sécurité surplombant les toiles semblaient adresser un clair

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message aux visiteurs : « Vous êtes sous surveillance, ne touchez à rien. »

— Elles fonctionnent ? demanda Langdon en montrant les caméras.

Fache secoua la tête.

— Bien sûr que non.

Langdon s'en doutait. La vidéosurveillance dans un musée de cette taille aurait été aussi coûteuse qu'inefficace. Avec des hectares de salles à couvrir, la seule surveillance des écrans aurait nécessité des centaines de techniciens. La plupart des grands musées actuels utilisent une technique de « containment

» : Renoncez à empêcher les voleurs d'entrer ; en revanche,empêchez-les de sortir . Tel était l'axiome de base de la sécurité nocturne : si un intrus déplaçait une œuvre d'art dans une salle, les issues de cette salle se fermaient aussitôt et le voleur se retrouvait derrière des barreaux avant même l'arrivée de la police.

Au fond du couloir, Langdon entendit des bruits de voix sortant d'une porte à double battant grande ouverte. La lumière dessinait un rectangle de lumière sur le plancher.

— Le bureau de Jacques Saunière, expliqua Fache en s'effaçant pour laisser entrer Langdon.

La grande pièce lambrissée était couverte de tableaux de maîtres anciens. Sur le grand bureau d'un autre temps, trônait une statue d'un peu moins d'un mètre représentant un chevalier du Moyen Âge en armure. Une demi-douzaine de policiers s'affairaient, le portable à l'oreille, ou le calepin à la main. L'un d'eux, assis au bureau de Saunière, pianotait sur le clavier d'un ordinateur portable. Le bureau du conservateur en chef était visiblement devenu le PC de campagne de la police judiciaire pour la nuit.

— Messieurs, déclara Fache d'une voix ferme, je me rends sur les lieux du crime avec M. Langdon. Ne nous dérangez sous aucun prétexte, entendu ?

Il quitta la pièce, suivi de Langdon, et traversa le salon carré vers la Grande Galerie, la partie la plus célèbre du musée. Ce large couloir apparemment interminable abritait les chefs-d'œuvre italiens les plus précieux du Louvre.

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L'entrée était barrée par une énorme grille d'acier qui évoquait une herse médiévale, censée protéger l'entrée du château fort des attaques surprises.

— La herse de sécurité, expliqua Fache, en approchant de l'entrée.

Même dans la pénombre, la lourde grille donnait l'impression de pouvoir arrêter un char.

Langdon jeta un coup d'œil, à travers les barreaux sur les profondeurs obscures de la Grande Galerie.

— Après vous, monsieur Langdon.

Langdon se tourna vers Fache, interloqué. Après moi, maiscomment ?

Le policier lui indiqua la base de la grille.

En scrutant l'obscurité, Langdon découvrit un détail qui lui avait échappé : on avait relevé la grille d'une soixantaine de centimètres pour permettre l'accès à la Grande Galerie. À

condition de ramper.

— Nous serons seuls. L'équipe de la police scientifique et technique vient de terminer son travail. Glissez-vous là-dessous.

Langdon regarda l'étroit interstice et de nouveau l'énorme herse d'acier. Il plaisante, non ?

Cette grille avait tout du dispositif destiné à guillotiner les intrus.

Fache grommela quelque chose et regarda sa montre. Puis il s'agenouilla et aplatit son corps massif contre le parquet. Il rampa à plat ventre en se tortillant sous l'ouverture. Une fois de l'autre côté, il se releva pour regarder Langdon en faire autant.

Ce dernier poussa un grand soupir et, posant ses mains sur le parquet, il s'allongea à plat ventre et se glissa tant bien que mal sous la grille non sans faire un accroc à sa veste de tweed.

Il se cogna aussi la tête à un barreau. Bravo, Robert ! se lança-t-il, passablement vexé de sa médiocre performance, avant de se relever péniblement. Langdon commençait à réaliser qu'il n'était pas près d'aller se recoucher.

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5

Au 243, Lexington Avenue, se dresse Murray Hill Place, le nouveau siège de l'Opus Dei. Ce bâtiment de quarante-cinq mille mètres carrés a coûté un peu plus de quarante-sept millions de dollars. Construite par le cabinet d'architectes May

& Piska, la tour habillée de brique rouge et de pierre calcaire blanche abrite plus de cent chambres, six salles à manger, des bibliothèques, des salons, des salles de réunion et des bureaux.

Les deuxième, sixième et septième étages sont destinés aux chapelles ornées de marbre et de tapisseries. Le dix-septième étage est réservé aux résidences privées des dirigeants. Seuls les hommes utilisent l'entrée principale de Lexington Avenue. Les femmes entrent par une porte située sur la rue latérale. Une fois à l'intérieur de l'immeuble, elles restent constamment isolées, «

sur le plan visuel comme acoustique », de leurs conuméraires masculins.

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