Brown, Dan - Da Vinci code

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Ils sortirent sous le porche et regardèrent la vieille dame s'éloigner d'un pas lent et tranquille.

– 495 –

Quand Sophie se tourna vers lui, ses yeux luisaient d'une profonde émotion.

— Je ne m'attendais vraiment pas à ce que notre jeu de piste se termine ainsi..., murmura Sophie.

Moi non plus , pensa Langdon conscient de l'orage intérieur qu'elle vivait. Les nouvelles qu'elle avait reçues aujourd'hui avaient transfiguré sa vie.

— Ça va ? lui demanda-t-il. Vous avez eu votre lot d'émotions fortes, ce soir...

— J'ai retrouvé une famille, dit-elle avec un sourire heureux mais fatigué. Il va me falloir quelque temps pour digérer mon histoire...

Et comme Langdon se taisait.

— Vous allez rester un peu ici ? Au moins quelques jours ?

— Non, Sophie, je préfère rentrer à Paris, soupira Langdon.

Je repartirai demain matin. Vous avez besoin de rester entre vous.

Si elle était déçue, elle ne le manifesta pas. C'était peut-être mieux ainsi. Soudain, elle lui prit la main et l'entraîna vers le sommet de la colline. La lueur pâle de la lune perçait les nuages, éclairant les stèles grises du cimetière et faisant danser des reflets métalliques sur la petite rivière qui s'écoulait au fond du vallon. Ils restèrent là longtemps, sans parler, la main dans la main, en proie à la même fatigue heureuse.

Les étoiles commençaient à émailler le ciel. À l'est, un point de lumière solitaire brillait plus fort que tous les autres.

Langdon sourit en l'apercevant. C'était Vénus. La déesse antique semblait veiller sur son temple.

Une brise fraîche montait de la vallée. Sophie avait fermé les yeux. Elle souriait doucement. Langdon sentait ses paupières s'alourdir. À contrecœur, il interrompit ce moment magique. Il resserra la pression de sa main.

— Sophie ?

Lentement, elle ouvrit les yeux et se tourna vers lui. La clarté lunaire magnifiait les traits de son visage. Elle lui adressa un sourire engourdi.

— Oui?

– 496 –

Langdon sentit une tristesse inattendue l'envahir en réalisant qu'il allait rentrer à Paris sans elle.

— Je partirai peut-être avant que vous soyez réveillée demain matin, dit-il avec une boule dans la gorge. Je voulais vous dire... désolé, je ne suis pas très fort pour...

Sophie lui plaqua la main sur la bouche et, se hissant sur la pointe des pieds, elle l'embrassa tendrement sur la joue.

— Est-ce que je vous reverrai ? Bientôt ? s'enquit-elle.

Langdon chancela sous le regard vert. Il hésita, se demandant si elle soupçonnait à quel point il attendait cette question.

— Je dois revenir en Europe le mois prochain, pour donner une conférence à Florence. J'y passerai une semaine. J'aurai du temps libre...

— C'est une invitation ?

— Les organisateurs m'ont retenu une suite dans un véritable palace, le Brunelleschi...

Sophie lui adressa un sourire taquin.

— Vous êtes bien sûr de vous, monsieur Langdon !

Il regrettait déjà son audace.

— Ce que je voulais dire, c'est...

— Il n'y a rien qui me ferait plus plaisir que de vous rejoindre là-bas, Robert. Mais à une seule condition...

Sa voix se fît plus grave.

— ... c'est que nous n'y passerons pas notre temps à fouiller les églises à la recherche de je ne sais quelles reliques...

— Mais Sophie, Florence n'a aucun intérêt, à part ses églises.

Cette fois, Sophie se pencha et l'embrassa sur les lèvres. Ils s'étreignirent doucement avant de s'abandonner peu à peu.

Lorsqu'elle se dégagea, le regard et le sourire de Sophie étaient pleins de promesses.

— Très bien, monsieur Langdon, fit-elle. Le rendez-vous est pris.

– 497 –

Épilogue

Robert Langdon se réveilla en sursaut d'un sommeil plein de rêves. Il lut machinalement le monogramme brodé HÔTEL

RITZ PARIS qui ornait la poche du peignoir de bain posé à côté de son lit. Un soleil rose filtrait à travers les stores.

Aube ou crépuscule ? se demanda-t-il.

Il se sentait étonnamment dispos et comme régénéré.

Il avait dormi quarante heures. S'asseyant lentement sur son lit, il comprit ce qui l'avait réveillé... une pensée bien étrange. Langdon venait de passer plusieurs jours à essayer de s'y retrouver dans un déluge d'informations, et subitement il entrevoyait une solution qu'il n'avait pas envisagée jusque-là.

Serait-ce possible !

Il demeura immobile pendant une bonne minute.

Pourquoi n'y ai-je pas songé plus tôt ?

Il se leva pour aller à la salle de bains et resta longtemps sous la douche, se massant les épaules avec le puisant jet d’eau.

Mais la pensée ne le quittait plus.

Non, impossible...

Vingt minutes plus tard, Langdon sortait du Ritz et traversait la place Vendôme. Le soir tombait. Ces presque deux jours de sommeil avaient quelque peu bouleversé ses repères, pourtant il se sentait étrangement lucide. Il avait prévu de s’arrêter au bar du Ritz pour y prendre un café, mais il était sorti de l’hôtel sans s’en rendre compte. Il s’engagea dans la rue des Petits-Champs en proie à une excitation croissante, tourna à droite dans la rue de Richelieu balayée, ce jour-là, par les senteurs jasminées qui s’exhalaient du Palais-Royal.

Empruntant le trottoir de gauche il ralentit le pas, scrutant le sol sous ses pieds. Il ne mit pas plus de deux minutes à repérer ce qu’il cherchait : un disque de bronze d’une dizaine de centimètres de diamètre, enchâssé dans le revêtement du trottoir et gravé de deux lettres opposées : N et S . Un autre, identique, suivait quelques vingt mètres plus bas.

Le nord et le sud.

– 498 –

Il suivit les médaillons dorés en direction du sud, se retournant de temps à autre pour vérifier qu’il suivait une trajectoire rectiligne. Au coin de la Comédie-Française, coupant sous les arcades, il posa le pied sur un cinquième médaillon gravé...

Voilà !

Langdon avait lu un jour que cent trente cinq médaillons traçaient, sur un axe nord-sud, une ligne parfaitement droite à travers les rues et les trottoirs de la capitale française, pour matérialiser l’axe du premier méridien de Paris. Il avait un jour suivi cette ligne depuis le Sacré-Cœur jusqu’à l’ancien Observatoire. C’est là qu’il avait découvert la signification sacrée de cet ancien chemin.

La première méridienne, l’ancienne longitude zéro, la Rose Ligne de Paris.

En traversant la rue de Rivoli, il se savait presque arrivé à destination.

Sous l’ancienne Roslin, le Saint-Graal nous attend.

Chaque vers du poème de Saunière trouvait une signification nouvelle. Le double sens de l’ancienne orthographe de Rosslyn... la Lame et le Calice... la tombe...

Etait-ce la raison pour laquelle Saunière désirait me parler ? Aurais-je frôlé la vérité à mon insu ?

Il accéléra, porté par la Rose Ligne qui l’entraînait vers le but. En traversant le passage Richelieu, il frissonnait d’excitation. De l’autre côté se dressait le plus mystérieux des monuments parisiens, conçu et commandé par le « Sphinx »

lui-même, François Mitterrand, l’homme des réseaux occultes, qui avait légué à Paris ce monument que Langdon avait visité pour la première fois quelques jours auparavant.

Dans une autre vie.

Dans un dernier sursaut d’énergie, il déboucha sur la grande esplanade désormais familière. Il s’arrêta net. Le souffle coupé, il leva les yeux lentement, incrédule, vers la grande structure qui scintillait devant lui.

La pyramide du Louvre luisait dans l'obscurité.

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