Guy de Maupassant - Maupassant - Œuvres complètes

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Maupassant : Œuvres complètes: краткое содержание, описание и аннотация

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Ce livre des œuvres complètes de Guy de Maupassant est exhaustif. Il réunit ses huit romans (dont deux inachevés), ses quelques 350 nouvelles réunies en 24 recueils, ses sept pièces de théâtre (dont deux inachevées), toutes ses poésies (réunies en deux volumes), ses carnets de voyages ainsi que les centaines d’articles qu’il écrivit pour la presse entre 1876 et 1891 (classées par dates de publication et par recueils annuels). Une introduction de l’éditeur explique le parcours et l’œuvre de Guy de Maupassant. Ce livre est le fruit d'une somme de travail considérable. Les quelques milliers de pages de « Maupassant : Œuvres complètes » sont réparties en 57 volumes, ayant chacun un sommaire interactif propre. Aussi, un sommaire général permet d’accéder instantanément à n'importe lequel de ses volumes, ou, au choix, à un de ses chapitres, nouvelles, contes fantastiques, poésies, articles de presse, etc. Toutes ces œuvres ont été relues, corrigées lorsque cela était nécessaire, et mises en page avec soin pour en rendre leur lecture aussi agréable que possible.
Au-delà d’une simple compilation, « Maupassant : Œuvres complètes » constitue également un formidable outil de recherche, facile et agréable à utiliser pour quiconque s’intéresse à l’œuvre de Guy de Maupassant. Pour le simple lecteur, il est une source de plaisir et de curiosité quasiment inépuisable.
• Edition complétée d’une étude de l’éditeur.
• Edition enrichie de notes explicatives interactives.

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Ce qu’est le Christ pour Anne Maria, mais il ne me répond pas dans mon amour. Oh ! Je l’ai bien prié pourtant ! Pourquoi n’a-t-il pas voulu, pourquoi ne m’a-t-il pas écouté ? Aspirations de chair et d’amour vrai (complétant l’amour physique), en parallèle avec les aspirations dévergondées de Don Juan, qui a eu, dans ses autres amours, surtout aux moments de lassitude, des besoins mystiques. (Indiquer ceci, quant à Don Juan, dans sa conversation avec Leporello).

Mouvement d’Anne Maria entourant Don Juan de ses deux bras. — Le gras de l’avant-bras porté sur les carotides et les poignets au bout des mains raidies, plus petites pour atteindre à lui ; une boucle des cheveux de Don Juan, en se baissant vers elle, se prend dans le bouton de sa chemise.

La nuit animée, — feu de pâtres sur les montagnes. Là aussi on parle d’amour. — C’est l’amour qui les occupe. Tu ne connais pas la joie simple. Le jour vient.

Aspirations de vie d’Anna Maria à l’époque des moissons. Matinées de dimanche les jours de tête dans l’église. — Les directeurs la tourmentent. — J’aimais beaucoup le confessionnal. Elle s’en approchait avec un sentiment de crainte voluptueuse parce que son cœur allait s’ouvrir. — Mystère, ombre. — Mais elle n’avait pas de péchés à dire, elle aurait voulu en avoir. Il y a, dit-on, des femmes à vie ardente, — heureuse.

Un jour elle s’évanouit toute seule dans l’église, où elle venait mettre des fleurs (l’organiste jouait tout seul), en contemplant un vitrail pénétré de soleil.

Désirs fréquents qu’elle a de la communion. Avoir Jésus dans le corps, Dieu en soi ! — A chaque nouveau sacrement il lui semblait qu’une soif serait apaisée. — Elle multipliait lés œuvres, jeûnes, prières, etc. — Sensualité du jeûne. — Se sentir l’estomac tiraillé, faiblesses de tête. - Elle a peur, elle s’étudie à se donner des peurs, etc. — Mortifications. — Elle aimait beaucoup les bonnes odeurs. — Elle flaire des choses dégoûtantes. — Volupté des mauvaises odeurs. - Elle en est honteuse devant Don Juan, que ça enthousiasme. — Anna Maria s’étonne de son désir. — Qu’est-ce ? Comment se fait-il que je désire et qu’elle désire ce qu’elle ne sait pas ? La volupté se glisse partout en elle (comme le dégoût chez Don Juan). — J’entendais parler du monde. - Parle-moi ! Parle-moi !

La lampe s’éteint faute d’huile. — Les étoiles éclairent la chambre (pas de lune). — Puis le jour paraît. — Anna Maria retombe morte. On entend des chevaux brouter et faire sonner leur selle sur leur dos. Don Juan s’enfuit.

Ton du caractère d’Anna Maria : doux.

Ne jamais perdre de vue Don Juan . L’objet principal (au moins de la seconde partie) c’est l’union, l’égalité, la dualité, dont chaque terme a été jusqu’ici incomplet, se fusionnant, et que chacun montant graduellement aille se compléter et s’unir au terme voisin.

Gustave Flaubert n’écrivit point d’un seul coup Bouvard et Pécuchet . On peut dire que la moitié de sa vie s’est passée à méditer ce livre et qu’il a consacré ses six dernières années à exécuter ce tour de force. Liseur insatiable, chercheur infatigable, il amoncelait sans repos les documents. Enfin, un jour, il se mit à l’œuvre, épouvanté toutefois devant l’énormité de la besogne. « Il faut être fou, disait-il souvent, pour entreprendre un pareil livre. » Il fallait surtout une patience surhumaine et une indéracinable volonté.

Là-bas, à Croisset, dans son grand cabinet à cinq fenêtres, il geignait jour et nuit sur son œuvre. Sans aucune trêve, sans délassements, sans plaisirs et sans distractions, l’esprit formidablement tendu, il avançait avec une lenteur désespérante, découvrant chaque jour de nouvelles lectures à faire, de nouvelles recherches à entreprendre. Et la phrase aussi le tourmentait, la phrase si concise, si précise, colorée en même temps, qui devait renfermer en deux lignes un volume, en un paragraphe toutes les pensées d’un savant. Il prenait ensemble un lot d’idées de même nature et, comme un chimiste préparant un élixir, il les fondait, les mêlait, rejetait les accessoires, simplifiait les principales, et de son formidable creuset sortait des formules absolues contenant en cinquante mots un système entier de philosophie.

Une fois il lui fallut s’arrêter, épuisé, presque découragé, et comme repos il écrivit son délicieux volume intitulé : Trois Contes.

On dirait qu’il a voulu faire là un résumé complet et parfait de son œuvre. Les trois nouvelles : Un Cœur simple, La Légende de saint Julien l’Hospitalier et Hérodias, montrent d’une façon courte et admirable les trois faces de son talent.

S’il fallait classer ces trois bijoux, peut-être mettrait-on au premier rang Saint Julien l’Hospitalier. C’est un absolu chef-d’œuvre de couleur et de style, un chef-d’œuvre d’art.

Un Cœur simple raconte l’histoire d’une pauvre servante de campagne honnête et bornée ; dont la vie va tout droit jusqu’à la mort, sans qu’une lueur de bonheur vrai l’éclaire jamais. La Légende de saint Julien l’Hospitalier nous montre les aventures miraculeuses du saint, comme le ferait un vieux vitrail d’église d’une naïveté savante et colorée.

Hérodias nous dit l’accident tragique de la décollation de saint Jean-Baptiste.

Gustave Flaubert avait encore plusieurs sujets de nouvelles et de romans.

Il comptait écrire d’abord le Combat des Thermopyles et il devait accomplir un voyage en Grèce au commencement de l’année 1882 pour voir le paysage réel de cette lutte surhumaine.

Il voulait faire de cela une sorte de récit patriotique simple et terrible, qu’on pourrait lire aux enfants de tous les peuples pour leur apprendre l’amour du pays.

Il voulait montrer les âmes vaillantes, les cœurs magnanimes et les corps vigoureux de ces héros symboliques, et, sans employer un mot technique, ni un terme ancien, dire cette bataille immortelle qui n’appartient pas à l’histoire d’une nation, mais à l’histoire du monde. Il se réjouissait à l’idée d’écrire en termes sonores les adieux de ces guerriers recommandant à leurs femmes, s’ils mouraient dans la rencontre, d’épouser vite des hommes robustes pour donner de nouveaux fils à la patrie. La pensée seule de ce conte héroïque jetait Flaubert dans un enthousiasme violent.

Il songeait encore à une sorte de Matrone d’Éphèse moderne, ayant été séduit par un sujet que lui avait raconté Tourgueneff. Enfin, il méditait un grand roman sur le Second Empire, où on aurait vu le mélange et le contact des civilisations orientale et occidentale, le rapprochement de ces Grecs de Constantinople, venus à Paris si nombreux pendant le règne de Napoléon et jouant un rôle important dans la société parisienne, avec le monde factice et raffiné de la France impériale.

Deux personnages principaux l’attiraient, l’homme et la femme, un ménage parisien, astucieux avec naïveté, ambitieux et corrompu. L’homme, fonctionnaire supérieur, rêvait d’une haute fortune qu’il atteignait lentement, et, avec une rouerie égoïste et naturelle, il faisait servir sa femme, fort jolie et intrigante, à ses projets.

Malgré les efforts de toute nature de sa compagne, ses désirs n’étaient point satisfaits à son gré. Alors, après de longues années de tentatives, ils reconnaissaient tous deux la vanité de leurs espérances et finissaient leur vie en honnêtes gens déçus, d’une façon tranquille et résignée.

Il voyait encore en projet un autre grand roman sur l’administration, avec ce titre : Monsieur le Préfet, et il affirmait que personne n’avait jamais compris quel personnage comique, important et inutile est un préfet.

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