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Jules Verne: Cinq Semaines en ballon (Édition Originale Illustrée)

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Jules Verne Cinq Semaines en ballon (Édition Originale Illustrée)
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    Cinq Semaines en ballon (Édition Originale Illustrée)
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Cinq Semaines en ballon (Édition Originale Illustrée): краткое содержание, описание и аннотация

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Cette édition contient toutes les illustrations de l'édition originale de 1863.
" Cinq semaines en ballon " est un roman de Jules Verne, paru en 1863. Le roman est publié en édition in-18 le 31 janvier 1863 et a pour sous-titre " Voyage de découvertes en Afrique par trois Anglais ". La grande édition in-8o est mise en vente le 5 décembre 1865. Il s'agit du premier roman de Verne édité par Pierre-Jules Hetzel après le refus du " Voyage en Angleterre et en Écosse ". Verne y met au point les " ingrédients " de son œuvre à venir, mêlant avec habileté une intrigue féconde en aventures et en rebondissements de toutes sortes et des descriptions techniques, géographiques et historiques. Le livre fait un bon résumé des explorations du continent africain, à cette époque encore incomplètement connu des Européens mais sillonné par les explorateurs qui veulent en découvrir les secrets.

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En 1859, M. Guillaume Lejean, chargé d’une mission par le gouvernement français, se rendit à Karthoum par la mer Rouge, s’embarqua sur le Nil avec vingt et un hommes d’équipage et vingt soldats ; mais il ne put dépasser Gondokoro, et courut les plus grands dangers au milieu des nègres en pleine révolte. L’expédition dirigée par M. d’Escayrac de Lauture tenta également d’arriver aux fameuses sources.

Mais ce terme fatal arrêta toujours les voyageurs ; les envoyés de Néron avaient atteint autrefois le 9 edegré de latitude ; on ne gagna donc en dix-huit siècles que 5 ou 6 degrés, soit de trois cents à trois cent soixante milles géographiques.

Plusieurs voyageurs tentèrent de parvenir aux sources du Nil, en prenant un point de départ sur la côte orientale de l’Afrique.

De 1768 à 1772, l’Écossais Bruce partit de Masuah, port de l’Abyssinie, parcourut le Tigre, visita les ruines d’Axum, vit les sources du Nil où elles n’étaient pas, et n’obtint aucun résultat sérieux.

En 1844, le docteur Krapf, missionnaire anglican, fondait un établissement à Monbaz sur la côte de Zanguebar, et découvrait, en compagnie du révérend Rebmann, deux montagnes à trois cents milles de la côte ; ce sont les monts Kilimandjaro et Kenia, que MM. de Heuglin et Thornton viennent de gravir en partie.

En 1845, le Français Maizan débarquait seul à Bagamayo, en face de Zanzibar, et parvenait à Deje-la-Mhora, où le chef le faisait périr dans de cruels supplices.

En 1859, au mois d’août, le jeune voyageur Roscher, de Hambourg, parti avec une caravane de marchands arabes, atteignait le lac Nyassa, où il fut assassiné pendant son sommeil.

Enfin, en 1857, les lieutenants Burton et Speke, tous deux officiers à l’armée du Bengale, furent envoyés par la Société de Géographie de Londres pour explorer les Grands Lacs africains ; le 17 juin ils quittèrent Zanzibar et s’enfoncèrent directement dans l’ouest.

Après quatre mois de souffrances inouïes, leurs bagages pillés, leurs porteurs assommés, ils arrivèrent à Kazeh, centre de réunion des trafiquants et des caravanes ; ils étaient en pleine terre de la Lune ; là ils recueillirent des documents précieux sur les mœurs, le gouvernement, la religion, la faune et la flore du pays ; puis ils se dirigèrent vers le premier des Grands Lacs, le Tanganayika situé entre 3° et 8° de latitude australe ; ils y parvinrent le 14 février 1858, et visitèrent les diverses peuplades des rives, pour la plupart cannibales.

Ils repartirent le 26 mai, et rentrèrent à Kazeh le 20 juin. Là, Burton épuisé resta plusieurs mois malade ; pendant ce temps, Speke fit au nord une pointe de plus de trois cents milles, jusqu’au lac Oukéréoué, qu’il aperçut le 3 août ; mais il n’en put voir que l’ouverture par 2° 30’ de latitude.

Il était de retour à Kazeh le 25 août, et reprenait avec Burton le chemin de Zanzibar, qu’ils revirent au mois de mars de l’année suivante. Ces deux hardis explorateurs revinrent alors en Angleterre, et la Société de Géographie de Paris leur décerna son prix annuel.

Le docteur Fergusson remarqua avec soin qu’ils n’avaient franchi ni le 2 edegré de latitude australe, ni le 29 edegré de longitude est.

Il s’agissait donc de réunir les explorations de Burton et Speke à celles du docteur Barth ; c’était s’engager à franchir une étendue de pays de plus de douze degrés.

Chapitre V

Rêves de Kennedy. — Articles et pronoms au pluriel. — Insinuations de Dick. — Promenade sur la carte d’Afrique — Ce qui reste entre les deux pointes du compas. — Expéditions actuelles. — Speke et Grant. — Kraff, de Decken, de Heuglin.

Le docteur Fergusson pressait activement les préparatifs de son départ ; il dirigeait lui-même la construction de son aérostat, suivant certaines modifications sur lesquelles il gardait un silence absolu.

Depuis longtemps déjà, il s’était appliqué à l’étude de la langue arabe et de divers idiomes mandingues ; grâce à ses dispositions de polyglotte, il fit de rapides progrès.

En attendant, son ami le chasseur ne le quittait pas d’une semelle ; il craignait sans doute que le docteur ne prît son vol sans rien dire ; il lui tenait encore à ce sujet les discours les plus persuasifs, qui ne persuadaient pas Samuel Fergusson, et s’échappait en supplications pathétiques, dont celui-ci se montrait peu touché. Dick le sentait glisser entre ses doigts.

Le pauvre Écossais était réellement à plaindre ; il ne considérait plus la voûte azurée sans de sombres terreurs ; il éprouvait, en dormant, des balancements vertigineux, et chaque nuit il se sentait choir d’incommensurables hauteurs.

Nous devons ajouter que, pendant ces terribles cauchemars, il tomba de son lit une fois ou deux. Son premier soin fut de montrer à Fergusson une forte contusion qu’il se fit à la tête.

« Et pourtant, ajouta-t-il avec bonhomie, trois pieds de hauteur ! pas plus ! et une bosse pareille ! Juge donc ! »

Cette insinuation, pleine de mélancolie, n’émut pas le docteur.

« Nous ne tomberons pas, fit-il.

— Mais enfin, si nous tombons ?

— Nous ne tomberons pas. »

Ce fut net, et Kennedy n’eut rien à répondre.

Ce qui exaspérait particulièrement Dick, c’est que le docteur semblait faire une abnégation parfaite de sa personnalité, à lui Kennedy ; il le considérait comme irrévocablement destiné à devenir son compagnon aérien. Cela n’était plus l’objet d’un doute. Samuel faisait un intolérable abus du pronom pluriel de la première personne :

« Nous » avançons…, « nous » serons prêts le…, « nous » partirons le…

Et de l’adjectif possessif au singulier :

« Notre » ballon…, « notre » nacelle…, « notre » exploration…

Et du pluriel donc :

« Nos » préparatifs…, « nos » découvertes…, « nos » ascensions…

Dick en frissonnait, quoique décidé à ne point partir ; mais il ne voulait pas trop contrarier son ami. Avouons même que, sans s’en rendre bien compte, il avait fait venir tout doucement d’Édimbourg quelques vêtements assortis et ses meilleurs fusils de chasse.

Un jour, après avoir reconnu qu’avec un bonheur insolent, on pouvait avoir une chance sur mille de réussir, il feignit de se rendre aux désirs du docteur ; mais, pour reculer le voyage, il entama la série des échappatoires les plus variées. Il se rejeta sur l’utilité de l’expédition et sur son opportunité. Cette découverte des sources du Nil était-elle vraiment nécessaire ?… Aurait-on réellement travaillé pour le bonheur de l’humanité ?… Quand, au bout du compte, les peuplades de l’Afrique seraient civilisées, en seraient-elles plus heureuses ?… Était-on certain, d’ailleurs, que la civilisation ne fût pas plutôt là qu’en Europe ? — Peut-être. — Et d’abord ne pouvait-on attendre encore ?… La traversée de l’Afrique serait certainement faite un jour, et d’une façon moins hasardeuse… Dans un mois, dans dix mois, avant un an, quelque explorateur arriverait sans doute…

Ces insinuations produisaient un effet tout contraire à leur but, et le docteur frémissait d’impatience.

« Veux-tu donc, malheureux Dick, veux-tu donc, faux ami, que cette gloire profite à un autre ? Faut-il donc mentir à mon passé ? reculer devant des obstacles qui ne sont pas sérieux ? reconnaître par de lâches hésitations ce qu’ont fait pour moi, et le gouvernement anglais, et la Société Royale de Londres ?

— Mais…, reprit Kennedy, qui avait une grande habitude de cette conjonction.

— Mais, fit le docteur, ne sais-tu pas que mon voyage doit concourir au succès des entreprises actuelles ? Ignores-tu que de nouveaux explorateurs s’avancent vers le centre de l’Afrique ?

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