Jules Verne - Jules Verne - 20000 lieues sous les mers

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Jules Verne: 20000 lieues sous les mers: краткое содержание, описание и аннотация

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" L'année 1866 fut marquée par un événement bizarre, un phénomène inexpliqué et inexplicable que personne n'a sans doute oublié. Sans parler des rumeurs qui agitaient les populations des ports et surexcitaient l'esprit public à l'intérieur des continents, les gens de mer furent particulièrement émus. Les négociants, armateurs, capitaines de navires, skippers et masters de l'Europe et de l'Amérique, officiers des marines militaires de tous pays, et, après eux, les gouvernements des divers États des deux continents, se préoccupèrent de ce fait au plus haut point. "
" 20000 mille lieues sous les mers " est un roman d'aventures de Jules Verne, paru en 1869-1870. L'apparition d'une bête monstrueuse en 1866 dans plusieurs mers du globe défraie la chronique. L'animal, rapide, fusiforme et phosphorescent, est responsable de plusieurs naufrages, brisant le bois et l'acier des navires avec une force colossale.

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—Lesquelles, capitaine? demandai-je.

—Ceci m'amène naturellement à vous dire comment se manœuvre le Nautilus .

—Je suis impatient de l'apprendre.

—Pour gouverner ce bateau sur tribord, sur bâbord, pour évoluer, en un mot, suivant un plan horizontal, je me sers d'un gouvernail ordinaire à large safran, fixé sur l'arrière de l'étambot, et qu'une roue et des palans font agir. Mais je puis aussi mouvoir le Nautilus de bas en haut et de haut en bas, dans un plan vertical, au moyen de deux plans inclinés, attachés à ses flancs sur son centre de flottaison, plans mobiles, aptes à prendre toutes les positions, et qui se manœuvrent de l'intérieur au moyen de leviers puissants. Ces plans sont-ils maintenus parallèles au bateau, celui-ci se meut horizontalement. Sont-ils inclinés, le Nautilus , suivant la disposition de cette inclinaison et sous la poussée de son hélice, ou s'enfonce suivant une diagonale aussi allongée qu'il me convient, ou remonte suivant cette diagonale. Et même, si je veux revenir plus rapidement à la surface, j'embraye l'hélice, et la pression des eaux fait remonter verticalement le Nautilus comme un ballon qui, gonflé d'hydrogène, s'élève rapidement dans les airs.

—Bravo! capitaine, m'écriai-je. Mais comment le timonier peut-il suivre la route que vous lui donnez au milieu des eaux?

—Le timonier est placé dans une cage vitrée, qui fait saillie à la partie supérieure de la coque du Nautilus , et que garnissent des verres lenticulaires.

—Des verres capables de résister à de telles pressions?

—Parfaitement. Le cristal, fragile au choc, offre cependant une résistance considérable. Dans des expériences de pêche à la lumière électrique faites en 1864, au milieu des mers du Nord, on a vu des plaques de cette matière, sous une épaisseur de sept millimètres seulement, résister à une pression de seize atmosphères, tout en laissant passer de puissants rayons calorifiques qui lui répartissaient inégalement la chaleur. Or, les verres dont je me sers n'ont pas moins de vingt-et-un centimètres à leur centre, c'est-à-dire trente fois cette épaisseur.

—Admis, capitaine Nemo; mais enfin, pour voir, il faut que la lumière chasse les ténèbres, et je me demande comment au milieu de l'obscurité des eaux...

—En arrière de la cage du timonier est placé un puissant réflecteur électrique, dont les rayons illuminent la mer à un demi-mille de distance.

—Ah! bravo, trois fois bravo! capitaine. Je m'explique maintenant cette phosphorescence du prétendu narwal, qui a tant intrigué les savants! A ce propos, je vous demanderai si l'abordage du Nautilus et du Scotia , qui a eu un si grand retentissement, a été le résultat d'une rencontre fortuite?

—Purement fortuite, monsieur. Je naviguais à deux mètres au-dessous de la surface des eaux, quand le choc s'est produit. J'ai d'ailleurs vu qu'il n'avait eu aucun résultat fâcheux.

—Aucun, monsieur. Mais quant à votre rencontre avec l' Abraham-Lincoln ?...

—Monsieur le professeur, j'en suis fâché pour l'un des meilleurs navires de cette brave marine américaine, mais on m'attaquait et j'ai dû me défendre! Je me suis contenté, toutefois, de mettre la frégate hors d'état de me nuire,—elle ne sera pas gênée de réparer ses avaries au port le plus prochain.

—Ah! commandant, m'écriai-je avec conviction, c'est vraiment un merveilleux bateau que votre Nautilus !

—Oui, monsieur le professeur, répondit avec une véritable émotion le capitaine Nemo, et je l'aime comme la chair de ma chair! Si tout est danger sur un de vos navires soumis aux hasards de l'Océan, si sur cette mer, la première impression est le sentiment de l'abîme, comme l'a si bien dit le Hollandais Jansen, au-dessous et à bord du Nautilus , le cœur de l'homme n'a plus rien à redouter. Pas de déformation à craindre, car la double coque de ce bateau a la rigidité du fer; pas de gréement que le roulis ou le tangage fatiguent; pas de voiles que le vent emporte; pas de chaudières que la vapeur déchire; pas d'incendie à redouter, puisque cet appareil est fait de tôle et non de bois; pas de charbon qui s'épuise, puisque l'électricité est son agent mécanique; pas de rencontre à redouter, puisqu'il est seul à naviguer dans les eaux profondes; pas de tempête à braver, puisqu'il trouve à quelques mètres au-dessous des eaux l'absolue tranquillité! Voilà, monsieur. Voilà le navire par excellence! Et s'il est vrai que l'ingénieur ait plus de confiance dans le bâtiment que le constructeur, et le constructeur plus que le capitaine lui-même, comprenez donc avec quel abandon je me fie à mon Nautilus , puisque j'en suis tout à la fois le capitaine, le constructeur et l'ingénieur!»

Le capitaine Nemo parlait avec une éloquence entraînante. Le feu de son regard, la passion de son geste, le transfiguraient. Oui! il aimait son navire comme un père aime son enfant!

Mais une question, indiscrète peut-être, se posait naturellement, et je ne pus me retenir de la lui faire.

«Vous êtes donc ingénieur, capitaine Nemo?

—Oui, monsieur le professeur, me répondit-il, j'ai étudié à Londres, à Paris, à New-York, du temps que j'étais un habitant des continents de la terre.

—Mais comment avez-vous pu construire, en secret, cet admirable Nautilus ?

—Chacun de ses morceaux, monsieur Aronnax, m'est arrivé d'un point différent du globe, et sous une destination déguisée. Sa quille a été forgée au Creusot, son arbre d'hélice chez Pen et Co, de Londres, les plaques de tôle de sa coque chez Leard, de Liverpool, son hélice chez Scott, de Glasgow. Ses réservoirs ont été fabriqués par Cail et Co, de Paris, sa machine par Krüpp, en Prusse, son éperon dans les ateliers de Motala, en Suède, ses instruments de précision chez Hart frères, de New-York, etc., et chacun de ces fournisseurs a reçu mes plans sous des noms divers.

—Mais, repris-je, ces morceaux ainsi fabriqués, il a fallu les monter, les ajuster?

—Monsieur le professeur, j'avais établi mes ateliers sur un îlot désert, en plein Océan. Là, mes ouvriers, c'est-à-dire mes braves compagnons que j'ai instruits et formés, et moi, nous avons achevé notre Nautilus . Puis, l'opération terminée, le feu a détruit toute trace de notre passage sur cet îlot que j'aurais fais sauter, si je l'avais pu.

Le feu a détruit toute trace de notre passage. (Page 95.)

—Alors il m'est permis de croire que le prix de revient de ce bâtiment est excessif?

—Monsieur Aronnax, un navire en fer coûte onze cent vingt-cinq francs par tonneau. Or, le Nautilus en jauge quinze cents. Il revient donc à seize cent quatre-vingt-sept mille francs, soit deux millions y compris son aménagement, soit quatre ou cinq millions avec les œuvres d'art et les collections qu'il renferme.

—Une dernière question, capitaine Nemo.

—Faites, monsieur le professeur.

—Vous êtes donc riche?

—Riche à l'infini, monsieur, et je pourrais, sans me gêner, payer les dix milliards de dettes de la France!»

Je regardai fixement le bizarre personnage qui me parlait ainsi. Abusait-il de ma crédulité? L'avenir devait me l'apprendre.

Le capitaine Nemo prit la hauteur du soleil. (Page 99.)

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