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Jules Verne: Les Enfants Du Capitaine Grant

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Jules Verne Les Enfants Du Capitaine Grant

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Lord et Lady Glenarvan, ainsi que le géographe Paganel, aident Mary et Robert Grant à retrouver leur père qui a fait naufrage sur une île dont on ne connait que la latitude, ce qui les amène à traverser l'Amérique du sud, puis l'Australie où un bagnard évadé, Ayrton, tente de s'emparer du yacht de Glenarvan, et enfin l'Océanie où, après avoir échappé aux anthropophages, il retrouveront enfin la trace de leur père…

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– Oh! Nous n’avons pas besoin d’aller chercher si loin, répondit John Mangles. J’ai ici la collection de la mercantile and shipping gazette , qui nous fournira des indications précises.

– Voyons, voyons!» dit lady Glenarvan.

John Mangles prit une liasse de journaux de l’année 1862 et se mit à la feuilleter rapidement. Ses recherches ne furent pas longues, et bientôt il dit avec un accent de satisfaction:

«30 mai 1862. Pérou! Le Callao! En charge pour Glasgow. B ritannia , capitaine Grant.

– Grant! s’écria lord Glenarvan, ce hardi écossais qui a voulu fonder une Nouvelle-Écosse dans les mers du Pacifique!

– Oui, répondit John Mangles, celui-là même qui, en 1861, s’est embarqué à Glasgow sur le Britannia , et dont on n’a jamais eu de nouvelles.

– Plus de doute! Plus de doute! dit Glenarvan. C’est bien lui. Le Britannia a quitté le Callao le 30 mai, et le 7 juin, huit jours après son départ, il s’est perdu sur les côtes de la Patagonie. Voilà son histoire tout entière dans ces restes de mots qui semblaient indéchiffrables. Vous voyez, mes amis, que la part est belle des choses que nous pouvions conjecturer. Quant à celles que nous ne savons pas, elles se réduisent à une seule, au degré de longitude qui nous manque.

– Il nous est inutile, répondit John Mangles, puisque le pays est connu, et avec la latitude seule, je me chargerais d’aller droit au théâtre du naufrage.

– Nous savons tout, alors? dit lady Glenarvan.

– Tout, ma chère Helena, et ces blancs que la mer a laissés entre les mots du document, je vais les remplir sans peine, comme si j’écrivais sous la dictée du capitaine Grant.»

Aussitôt lord Glenarvan reprit la plume, et il rédigea sans hésiter la note suivante:

«Le» 7 juin 1862,» le» trois-mâts Britannia,» de» Glasgow», a» sombré» sur les côtes de la Patagonie dans l’hémisphère» austral.» se dirigeant» à terre, deux matelots» et «le capitaine» Grant vont tenter d’aborder le «continent» où ils seront prisonniers de «cruels indiens.» Ils ont «jeté ce document» par degrés de «longitude et 37°11’ de» latitude. «Portez-leur secours» ou ils sont «perdus» .

«Bien! Bien! Mon cher Edward, dit lady Helena, et si ces malheureux revoient leur patrie, c’est à vous qu’ils devront ce bonheur.

– Et ils la reverront, répondit Glenarvan. Ce document est trop explicite, trop clair, trop certain, pour que l’Angleterre hésite à venir au secours de trois de ses enfants abandonnés sur une côte déserte. Ce qu’elle a fait pour Franklin et tant d’autres, elle le fera aujourd’hui pour les naufragés du Britannia !

– Mais ces malheureux, reprit lady Helena, ont sans doute une famille qui pleure leur perte. Peut-être ce pauvre capitaine Grant a-t-il une femme, des enfants…

– Vous avez raison, ma chère lady, et je me charge de leur apprendre que tout espoir n’est pas encore perdu. Maintenant, mes amis, remontons sur la dunette, car nous devons approcher du port.»

En effet, le Duncan avait forcé de vapeur; il longeait en ce moment les rivages de l’île de Bute, et laissait Rothesay sur tribord, avec sa charmante petite ville, couchée dans sa fertile vallée; puis il s’élança dans les passes rétrécies du golfe, évolua devant Greenok, et, à six heures du soir, il mouillait au pied du rocher basaltique de Dumbarton, couronné par le célèbre château de Wallace, le héros écossais.

Là, une voiture attelée en poste attendait lady Helena pour la reconduire à Malcolm-Castle avec le major Mac Nabbs. Puis lord Glenarvan, après avoir embrassé sa jeune femme, s’élança dans l’express du railway de Glasgow.

Mais, avant de partir, il avait confié à un agent plus rapide une note importance, et le télégraphe électrique, quelques minutes après, apportait au Times et au Morning-Chronicle un avis rédigé en ces termes:

«Pour renseignements sur le sort du trois-mâts « Britannia , de Glasgow, capitaine Grant», s’adresser à lord Glenarvan, Malcolm-Castle, «Luss, comté de Dumbarton, écosse.»

Chapitre III Malcolm-Castle

Le château de Malcolm, l’un des plus poétiques des Highlands, est situé auprès du village de Luss, dont il domine le joli vallon. Les eaux limpides du lac Lomond baignent le granit de ses murailles.

Depuis un temps immémorial il appartenait à la famille Glenarvan, qui conserva dans le pays de Rob-Roy et de Fergus Mac Gregor les usages hospitaliers des vieux héros de Walter Scott. À l’époque où s’accomplit la révolution sociale en écosse, grand nombre de vassaux furent chassés, qui ne pouvaient payer de gros fermages aux anciens chefs de clans.

Les uns moururent de faim; ceux-ci se firent pêcheurs; d’autres émigrèrent. C’était un désespoir général. Seuls entre tous, les Glenarvan crurent que la fidélité liait les grands comme les petits, et ils demeurèrent fidèles à leurs tenanciers. Pas un ne quitta le toit qui l’avait vu naître; nul n’abandonna la terre où reposaient ses ancêtres; tous restèrent au clan de leurs anciens seigneurs. Aussi, à cette époque même, dans ce siècle de désaffection et de désunion, la famille Glenarvan ne comptait que des écossais au château de Malcolm comme à bord du Duncan ; tous descendaient des vassaux de Mac Gregor, de Mac Farlane, de Mac Nabbs, de Mac Naughtons, c’est-à-dire qu’ils étaient enfants des comtés de Stirling et de Dumbarton: braves gens, dévoués corps et âme à leur maître, et dont quelques-uns parlaient encore le gaélique de la vieille Calédonie.

Lord Glenarvan possédait une fortune immense; il l’employait à faire beaucoup de bien; sa bonté l’emportait encore sur sa générosité, car l’une était infinie, si l’autre avait forcément des bornes. Le seigneur de Luss, «le laird» de Malcolm, représentait son comté à la chambre des lords. Mais, avec ses idées jacobites, peu soucieux de plaire à la maison de Hanovre, il était assez mal vu des hommes d’état d’Angleterre, et surtout par ce motif qu’il s’en tenait aux traditions de ses aïeux et résistait énergiquement aux empiétements politiques de «ceux du sud.»

Ce n’était pourtant pas un homme arriéré que lord Edward Glenarvan, ni de petit esprit, ni de mince intelligence; mais, tout en tenant les portes de son comté largement ouvertes au progrès, il restait écossais dans l’âme, et c’était pour la gloire de l’écosse qu’il allait lutter avec ses yachts de course dans les «matches» du royal-thames-yacht-club.

Edward Glenarvan avait trente-deux ans; sa taille était grande, ses traits un peu sévères, son regard d’une douceur infinie, sa personne toute empreinte de la poésie highlandaise. On le savait brave à l’excès, entreprenant, chevaleresque, un Fergus du XIX esiècle, mais bon par-dessus toute chose, meilleur que saint Martin lui-même, car il eût donné son manteau tout entier aux pauvres gens des hautes terres.

Lord Glenarvan était marié depuis trois mois à peine; il avait épousé miss Helena Tuffnel, la fille du grand voyageur William Tuffnel, l’une des nombreuses victimes de la science géographique et de la passion des découvertes.

Miss Helena n’appartenait pas à une famille noble, mais elle était écossaise, ce qui valait toutes les noblesses aux yeux de lord Glenarvan; de cette jeune personne charmante, courageuse, dévouée, le seigneur de Luss avait fait la compagne de sa vie. Un jour, il la rencontra vivant seule, orpheline, à peu près sans fortune, dans la maison de son père, à Kilpatrick.

Il comprit que la pauvre fille ferait une vaillante femme; il l’épousa. Miss Helena avait vingt-deux ans; c’était une jeune personne blonde, aux yeux bleus comme l’eau des lacs écossais par un beau matin du printemps. Son amour pour son mari l’emportait encore sur sa reconnaissance. Elle l’aimait comme si elle eût été la riche héritière, et lui l’orphelin abandonné. Quant à ses fermiers et à ses serviteurs, ils étaient prêts à donner leur vie pour celle qu’ils nommaient: notre bonne dame de Luss.

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