Andrea Lepri - Le Dernier Noël Sur La Terre

James a arpenté le jardin pendant des heures et se sentait maintenant près de céder à l’épuisement et le désespoir. Dès le premier matin, avait marqué le jour par étapes selon les habitudes, chaque fois que son fils vous attendre à des rendez-vous l’avait approché il était important comme le spectacle des quatorze des seize ou une collation, ou le carnet d’adresses de l’égyptologie de dix-sept ans, il avait espéré le voir revenir. Mais non! Il a arrêté et vérifié à nouveau l’horloge, il était passé vingt et Scooby Doo venait juste de commencer, mais Harry était même pas l’ombre. Il secoua la tête découragée et se mit à errer comme un automate au grand jardin chasser les moustiques, et pris par l’angoisse qu’il avait même pas rendu compte qu’il avait mis au pilon son lit de fleur préférée, l’une ornée de violettes en quelques jours aurait accueillir le grand sapin de Noël. Il se sentait un sentiment d’inconfort physique et défaisait les deux premiers boutons de sa chemise, comme si ce simple geste, il pourrait l’aider à aller mieux. Bien qu’ils aient été à la fin de Décembre de cette année l’été semblait vouloir ne pas finir par. Au lieu de la neige et la glace étaient les prairies tapissées de fleurs odorantes et la température ont continué à être d’environ trente degrés. Voilà pourquoi James avait pris une mauvaise habitude de jeter en bas d’une Budweiser après l’autre maudissant la chaleur et l’humidité; par conséquent, son estomac a été définitivement cultivé et le uniforme couleur kaki de adjoint shérif adjoint avait commencé à garder étroitement. En dépit de la science officielle était encore loin de trouver une explication plausible de ce phénomène incompréhensible, les experts du monde entier ont convenu que le climat était définitivement devenu fou et il est peu probable d’être de retour à la normale. Pour étayer leur théorie, ce qui d’abord beaucoup avaient jugé absurde, en divers endroits sur les déserts de la planète qu’ils avaient commencé à prendre la place des prairies et vice versa. Des écosystèmes entiers avaient emballé et ont été rapidement déplacé à la recherche d’une vie meilleure, laissant béante chercheurs de nombreuses disciplines. James arrêta et leva les yeux vers le ciel étoilé, puis couvert ses oreilles pour essayer de s’isoler au moins pour un moment du bruit autour de lui. Il ferma les yeux et compta jusqu’à dix, en respirant profondément dans l’espoir que les ouvrir serait trouvé dans son lit, enfin réveillé, Dieu merci, parce qu’il avait seulement été un mauvais cauchemar. Par ailleurs, si seulement pour embrasser à nouveau son fils immédiatement, il a même accepté de vous retrouver la victime de la blague orchestrée par un Reality Show auteur collant. Mais quand elle a ouvert ses yeux et ses oreilles, il mis à nu trouvé en attente pour lui les mêmes voix et la même agitation chaotique de corsages fluorescentes scintillantes de givre, les mêmes éclairs de couleur pour couper à travers l’obscurité et hurlante mêmes chiens fatigués confus. Il y avait ceux qui ont donné des ordres et qui a distribué du thé chaud et café, deux personnes équipées de tapis et un crayon, poser des questions ici et là prendre des notes, un gars superbe en face d’un champ radio marquait parties d’une carte topographique en utilisant un marqueur Sharpie à partir de la pointe gigantesque. James a poursuivi ses pérégrinations et sa femme Eve Il lui prit le bras, l’accompagner dans sa démarche furieuse et en tirant dans une tentative pour l’arrêter. Une autre femme a été traîné loin par sa taille et par sa foulée, mais elle était un pied de haut sur lui et il était maigre et musclé, l’Europe du Nord classique avec de longs cheveux blond cendré et les yeux bleus si clair que, à première vue il pourrait même sembler albinos. Poêle à être tiré comme une remorque le frappa un remorqueur pour le forcer à arrêter, il a planté dans ses yeux.

“Quoi?” Il a dit, agacé.

“Et demandez-vous? Vous devriez aller vous voir quelque part, alors il serait juste être seul..”. , dit Eve. James renifla.

“Pourquoi ne pas vous donner un calmant le Dr Parker?” Elle le serra immédiatement après avoir utilisé un ton que James a jugé trop prévenant.

“Avez-vous insistez sur cette histoire? Voulez-vous me dire pourquoi devrais-je prendre un sédatif?” Elle a dit nerveusement. Avant Eve pourrait répondre intervint le Dr Adam Parker, qui, avec sa belle moustache et des lunettes rondes combinées papillon inévitable intellectuel ressemblait à un mannequin échappé d’un magasin d’antiquités.

“James, tu me écoutez s’il vous plaît! Elle n’a pas dormi depuis plus d’un jour, il a rempli complètement les yeux de sang et les veines de son cou et les tempes dilatées. Je lui dis cela pour son propre bien, il doit se reposer un peu, car aller comme cela est susceptible de s’effondrer en quelques minutes. Je suis sûr que si elle était laissée pour mesurer la pression, l’aiguille donnerait des valeurs de peur” sérieusement expliqué regardant vers le bas les yeux minuscules de couleur claire.

“Tant que Harry est pas là, je ne veux pas me reposer, comprendre? ! Et si vous restez ici pour attendre qu’il se traduira par l’effondrement, puis je collapsait” Elle a dit James à la recherche d’une voix rauque sur le médecin: il essayait d’identifier, parmi la foule qui a distribué le café.

“Et puis comment je me sens ou ne pense pas que mon entreprise est, et si..”. se poursuit, quand il a obtenu Helen. “Excusez-moi”, a-t-il dit, en posant une main sur son avant-bras libre James pour gagner sa considération. Eve a remarqué le geste et lui lança un regard de jalousie ou peut-être simplement revendication de la propriété, Helen a tenu son regard installer un air de défi l’étoile du shérif épinglé sur sa poitrine, puis se tourna vers James:

“Je dois retourner à la base pour l’organisation de la journée de demain”, elle l’a informé serrant un peu plus d’adhérence sur son bras dans un geste de solidarité, et Eve l’a poignardée à nouveau avec ses yeux.

“Bien sûr, je comprends”, il hocha la tête en se mordant la lèvre supérieure.

“Bon. S’il y a des nouvelles appelez-moi, s’il vous plaît”.

“D’accord, le patron, je vous tiendrai au courant. Merci pour tout”, répondit déprimé parce qu’il craignait qu’au lieu, pour ce soir, pas de nouvelles, il n’y aurait tout simplement été.