Bram Stoker - Le Joyau des sept étoiles
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La question me prit au dépourvu. On y reconnaissait quelque chose de la voix et des manières de Margaret; quelque chose qui rappelait tellement ses moments de légèreté qu'elle fit sortir toute la virilité qu'il y avait en moi. Je me sentais à présent en terrain plus solide et je répondis:
– Ces journées, monsieur, malgré l'anxiété torturante, malgré le chagrin qu'elles apportaient à une jeune fille que je me mettais d'heure en heure à aimer davantage, ont été les plus heureuses de mon existence!
Il resta longtemps silencieux; si longtemps qu'en attendant, le cœur battant, qu'il se remette à parler, je commençais à me demander si je n'avais pas été d'une franchise excessive. Il finit par dire:
– Margaret, mon enfant! Tendre, pleine d'attentions, forte, sûre, courageuse! Comme sa chère mère! Comme sa chère mère!
Et alors, dans le plus profond de mon cœur, je me réjouis d'avoir parlé franchement. Mr. Trelawny dit ensuite:
– Quatre jours! Le seize! Nous sommes donc le 20 juillet?
J'acquiesçai, et il continua:
– Ainsi, j'ai été en catalepsie pendant quatre jours. Ce n'est pas la première fois. Je me suis trouvé dans le même état pendant trois jours, dans d'étranges circonstances; et je ne m'en serais jamais douté si l'on ne m'avait pas dit le temps qui s'était écoulé. Je vous raconterai tout cela un jour, si cela vous intéresse. Pour le moment, il est préférable que je me lève. Quand Margaret rentrera, dites-lui vous-même que je vais très bien. Cela lui épargnera un choc! Et voudriez-vous dire à Corbeck que j'aimerais le voir le plus tôt possible? Je voudrais examiner ces lampes, et tout savoir de ce qui les concerne.
Son attitude à mon égard me comblait d'aise. Elle avait un côté «beau-père éventuel» qui m'aurait fait lever de mon lit de mort. Je me précipitai pour faire ce qu'il m'avait demandé; ma main était déjà sur la clef de la porte quand il me rappela:
– Mr. Ross!
Je n'aimais pas l'entendre m'appeler «monsieur». Après avoir appris mon amitié avec sa fille, il m'avait appelé «Malcolm Ross»; et ce retour évident au formalisme, non seulement me peinait, mais m'emplissait d'appréhensions. Ce devait être quelque chose au sujet de Margaret. Je pensais à elle comme «Margaret», et non comme «Miss Trelawny», maintenant qu'il y avait un danger de la perdre. Je connais aujourd'hui les sentiments que j'éprouvais alors; j'étais prêt à me battre plutôt que de la perdre. Je revins, en me roidissant instinctivement. Mr. Trelawny, observateur subtil, parut lire dans ma pensée; son visage qui était de nouveau contracté par l'anxiété, se détendit et il me dit:
– Asseyez-vous une minute; il vaut mieux que nous parlions maintenant que plus tard. Nous sommes des hommes, et des hommes du monde. Tout ce que vous venez de me dire sur ma fille est très nouveau pour moi, et très brutal; je veux savoir exactement où j'en suis. Remarquez, je ne fais aucune objection; mais en ma qualité de père, j'ai des devoirs sérieux, et qui peuvent se révéler pénibles. Je… je… (Il semblait légèrement embarrassé, ne sachant par où commencer, et cela me donna de l'espoir.) Je suppose que je dois comprendre, d'après ce que vous m'avez dit de vos sentiments à l'égard de ma fille, que vous auriez l'intention de briguer sa main, par la suite?
Je répondis aussitôt:
– Absolument! Absolument décidé! c'était déjà mon intention le matin qui a suivi notre promenade sur le fleuve de venir vous trouver, au bout d'un délai convenable, pour vous demander si je pouvais aborder ce sujet avec elle. Les événements m'ont conduit à devenir son intime plus rapidement que je n'osais l'espérer; mais cette première intention était restée vivante dans mon cœur, s'était développée, multipliée d'heure en heure.
Son visage semblait se radoucir tandis qu'il me regardait; des souvenirs de jeunesse, lui revenaient instinctivement. Au bout d'un moment, il dit:
– Je suppose que je peux également comprendre, Malcolm Ross – le retour à cette formule familière pour s'adresser à moi détermina en moi un frisson de joie – que jusqu'à présent vous n'avez fait aucune déclaration à ma fille?
– Pas en paroles, monsieur! L'obligation de me montrer discret alors qu'elle était sans défense; mon respect pour son père – je ne vous connaissais pas encore, monsieur, personnellement, mais je pensais à son père, en général – me retenait. Mais, ces barrières n'auraient pas existé, que je n'aurais pas osé me déclarer en présence d'un tel chagrin et d'une inquiétude pareille. Mr. Trelawny, je vous donne ma parole d'honneur que votre fille et moi, nous ne sommes – du moins, en ce qui me concerne, jusqu'à présent – que des amis, et rien de plus!
De nouveau, il tendit les mains, et je les lui serrai chaleureusement. Il dit alors avec cordialité:
– Je suis satisfait, Malcolm Ross. Naturellement, j'entends bien que tant que je ne l'aurai pas vue et que je ne vous en aurai pas donné la permission, vous ne ferez aucune déclaration à ma fille – en paroles, ajouta-t-il, avec un sourire indulgent. Mais il redevint sérieux pour continuer:
– Le temps presse; j'ai à m'occuper de choses si urgentes et si étranges que je n'ose pas perdre une heure. Autrement, je n'aurais pas été prêt à aborder, à si brève échéance, et avec un ami d'aussi fraîche date, le sujet de l'avenir de ma fille, et de son bonheur futur.
Il y avait dans ses manières une certaine fierté – et une dignité qui m'impressionnaient beaucoup.
– Je respecterai vos désirs, monsieur! dis-je en me retirant et en ouvrant la porte. J'entendis qu'il la refermait à clef derrière moi.
Quand je dis à Mr. Corbeck que Mr. Trelawny était complètement rétabli, il se mit à danser de joie. Mais il s'arrêta brusquement et me demanda de bien veiller à ne tirer aucune conclusion, d'abord à toute éventualité, ensuite en parlant de la découverte des lampes, ou des premières visites au tombeau. Cela, dans le cas où Mr. Trelawny aborderait le sujet; comme il le fera, bien entendu», ajouta-t-il avec un regard oblique qui signifiait qu'il connaissait mes affaires de cœur. Je me déclarai d'accord avec lui, car j'estimais qu'il avait tout à fait raison. Je ne comprenais pas très bien pourquoi; mais je savais que Mr. Trelawny était un homme particulier. On ne peut jamais commettre d'erreur en se montrant réticent. La réserve est une qualité qu'un homme fort respecte en toutes circonstances.
La façon dont les autres habitants de la maison prirent la nouvelle du rétablissement de Mr. Trelawny fut très variable. Mrs. Grant pleura d'émotion; puis elle se précipita pour voir si elle ne pourrait pas faire quelque chose personnellement, pour mettre la maison en état à l'intention du «Maître», comme elle disait toujours. L'infirmière se décomposa: c'était une garde intéressante qui disparaissait. Mais cette déception fut de courte durée, et elle se réjouit bientôt de voir la fin de ces ennuis. Elle était prête à se rendre auprès du malade dès qu'on aurait besoin d'elle, mais, en attendant, elle se mit à faire sa valise.
Je fis entrer le sergent Daw dans le bureau, pour être seul avec lui au moment où je lui annoncerais la nouvelle. Malgré le contrôle qu'il avait sur ses réactions, il parut surpris quand je lui dis comment le réveil s'était produit. Ce fut mon tour d'être étonné quand il commença à dire:
– Et comment a-t-il expliqué la première agression? Il était inconscient quand la seconde s'est produite.
– Vous savez une chose, je n'ai pas eu l'idée de le lui demander?
L'instinct professionnel était poussé chez cet homme, il paraissait prendre le pas sur tout.
– C'est pourquoi si peu d'affaires sont menées à leur conclusion, dit-il, à moins que des gens à nous n'y soient mêlés. Votre détective amateur ne va pas jusqu'au fond des choses. Pour les gens qui ne sont pas du métier, dès que les choses commencent à s'arranger, que la tension s'atténue, on peut laisser tomber. C'est comme le mal mer, ajouta-t-il avec philosophie après un silence: dès que vous mettez pied à terre, vous n'y pensez plus, et vous vous précipitez au buffet pour vous sustenter! Eh bien, Mr. Ross, je suis heureux que cette affaire soit terminée; car elle l'est, du moins en ce qui me concerne. Je suppose que Mr. Trelawny connaît ses affaires; maintenant qu'il est rétabli, il va les prendre en main lui-même. Cependant, peut-être ne fera-t-il rien. Comme il paraissait s'attendre à ce que quelque chose se produise, mais sans avoir en aucune façon demandé la protection de la police, je crois comprendre qu'il ne veut pas qu'elle s'en mêle avec comme objectif le châtiment du coupable. Nous apprendrons officiellement, je suppose, qu'il s'agissait d'un accident, ou d'une crise de somnambulisme, ou d'une chose de ce genre, pour calmer les scrupules de notre Service des Archives; et ce sera terminé. En ce qui me concerne, je vous dirai franchement, monsieur, que ce sera une délivrance. Je me sentais vraiment devenir dingue. Il y avait trop de mystères, qui ne sont pas du genre auquel je suis habitué, pour que je me sente réellement satisfait par les faits ou par leurs causes. À présent, je peux me laver les mains de tout cela et retourner à un travail criminel net et sans histoires. Naturellement, monsieur, je serai heureux d'être mis au courant si vous mettez jamais en lumière une cause quelconque. Et je vous serai reconnaissant, si vous pouviez jamais me dire comment cet homme a été jeté hors de son lit lorsque le chat l'a mordu et qui a manié le couteau la deuxième fois. Car maître Silvio n'aurait jamais pu faire cela tout seul.
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