Bram Stoker - Le Joyau des sept étoiles
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– Non, monsieur!
– Alors, que faites-vous ici? Si vous n'êtes pas médecin, qu'est-ce que vous êtes?
– Je suis avocat. Cependant, ce n'est pas à ce titre que je me trouve ici; mais simplement en qualité d'ami de votre fille. C'est probablement parce qu'elle savait que j'étais avocat qu'elle a pris à l'origine la décision de m'appeler, car elle croyait que vous aviez été victime d'une tentative d'assassinat. Ensuite elle a eu la bonté de me considérer comme un ami et de m'autoriser à rester, conformément au vœu que vous aviez exprimé et d'après lequel quelqu'un devait veiller sur vous.
Mr. Trelawny pensait vite et parlait peu, c'était évident. Pendant que je discourais, il m'examinait de son regard pénétrant, il semblait lire dans ma pensée. À mon grand soulagement, il n'en dit pas davantage, semblant accepter de confiance ce que je lui disais. Il dit soudain:
– Elle a cru qu'on avait voulu m'assassiner! Était-ce hier au soir?
– Non. Il y a quatre jours.
Il parut surpris. Tout en parlant, il s'était, pour la première fois assis dans son lit; il fit à présent un mouvement qui aurait pu faire croire qu'il avait l'intention d'en sortir. Cependant, en faisant un effort, il s'en abstint; il se laissa retomber sur ses oreillers en disant tranquillement:
– Racontez-moi tout cela! Tout ce que vous savez! Jusqu'au moindre détail! N'oubliez rien! Mais, attendez fermez d'abord la porte au verrou. Avant de voir qui que ce soit, je veux savoir exactement, où en sont les choses.
En conséquence, je lui racontai tous les détails, jusqu'au plus insignifiant resté gravé dans ma mémoire, sur tout ce qui s'était passé depuis mon arrivée dans la maison. Je ne dis naturellement rien de mes sentiments pour Margaret et ne lui parlai que des choses qu'il connaissait déjà. En ce qui concernait Corbeck, je dis simplement qu'il avait rapporté des lampes qu'il avait été rechercher. Je me mis alors à lui raconter en détail comment elles s'étaient trouvées perdues, et comment on les avait retrouvées dans la maison.
Il écoutait avec une maîtrise de soi qui, étant donné les circonstances, me paraissait presque miraculeuse. Ce n'était pas de l'impassibilité, car par moments ses yeux brillaient ou lançaient des flammes, et les doigts vigoureux de la main intacte agrippaient le drap, en lui faisant faire des plis qui s'étendaient loin. Cela fut le plus évident lorsque je lui racontai le retour de Corbeck et la découverte des lampes dans le boudoir. Il parlait de temps en temps, mais pour dire à peine quelques mots, comme s'il avait fait inconsciemment un commentaire causé par l'émotion. Les parties mystérieuses, celles qui nous avaient intrigués le plus, ne paraissaient pas avoir pour lui d'intérêt particulier. On aurait dit qu'il les connaissait déjà. Le moment où il laissa paraître le plus d'émotion fut celui où je lui racontai l'épisode des coups de revolver tirés par Daw.
– Quel âne stupide! murmura-t-il en jetant un coup d'œil à travers la chambre sur le cabinet endommagé, avec un dégoût marqué.
Quand je lui parlai de l'anxiété poignante éprouvée par sa fille, de ses soins et de son dévouement sans bornes, de la tendre affection dont elle avait fait montre, il parut très remué. Il y eut comme une sorte de surprise voilée dans son murmure inconscient:
– Margaret! Margaret!
À la fin de mon récit, qui allait jusqu'au moment où Miss Trelawny était sortie pour faire sa promenade (je pensais à elle comme «Miss Trelawny», et non plus comme «Margaret», en présence de son père), il resta assez longtemps silencieux. Cela dura probablement deux ou trois minutes, mais me parut interminable. Puis soudain, il se tourna vers moi et me dit avec vivacité:
– À présent, dites-moi tout sur votre compte!
– Mon nom, comme je vous l'ai dit, est Ross, Malcolm Ross. Je suis avocat de profession. J'ai été nommé Conseiller de la reine la dernière année de son règne. J'ai assez bien réussi.
– Oui, je sais, dit-il à mon grand soulagement. J'ai toujours entendu dire du bien de vous! Où et quand avez-vous fait la connaissance de Margaret?
– D'abord chez les Hay à Belgrave Square, il y a dix jours. Ensuite à un pique-nique en remontant le fleuve avec Lady Strathconnell. Nous avons été de Windsor à Cookham. Mar… Miss Trelawny était dans mon bateau. Je fais un peu d'aviron et j'avais mon bateau à Windsor. Nous avons beaucoup parlé naturellement. J'ai eu un aperçu de sa vie intérieure. Un aperçu comme peut en avoir un homme de mon âge et de mon expérience quand il s'agit d'une jeune fille!
Tandis que je continuais, le visage du père se faisait de plus en plus grave, mais il ne disait mot. Je m'étais à présent engagé dans un exposé bien défini et je poursuivais avec toute la maîtrise que je pouvais exercer sur mon esprit. L'occasion pouvait être également riche en conséquence pour moi:
– Je ne pouvais pas ne pas remarquer qu'il y avait en elle un sentiment qui lui était habituel, celui d'être délaissée. Je croyais le comprendre; je suis moi-même fils unique. Je me risquai à l'encourager à me parler librement, et je fus assez heureux pour y parvenir. Une sorte de confiance s'instaura entre nous.
Il se peignit sur le visage du père quelque chose qui me fit ajouter immédiatement:
– Comme vous pouvez bien l'imaginer, monsieur, rien n'a été dit qui ne fut correct et convenable. Elle m'a simplement parlé de la manière impulsive de quelqu'un qui aspire à exprimer des pensées depuis longtemps soigneusement dissimulées, à se rapprocher d'un père adoré; d'avoir avec lui plus de rapports, d'être en confiance avec lui, plus proche de lui, dans le cercle de ses sympathies. Oh! croyez-moi, monsieur, tout cela était pour le mieux! C'était tout ce que peut espérer et désirer un cœur de père! C'était entièrement loyal. Si elle me parlait à moi, c'était peut-être parce que j'étais presque un étranger et qu'entre nous aucune barrière ne s'était jusque-là dressée pour s'opposer aux confidences.
Ici, je marquai un temps. Il était difficile de continuer, et je craignais de nuire à Margaret par excès de zèle. C'est son père qui dissipa cet état de tension.
– Et vous?
– Monsieur, Miss Trelawny est charmante et belle. Elle est jeune; son âme a la pureté du cristal. Jouir de sa sympathie est une joie. Je ne suis pas vieux, et mon affection n'était pas engagée. Elle ne l'avait jamais été jusqu'à présent. J'espère pouvoir dire tout cela, même à un père.
Involontairement, je baissai les yeux; quand je les relevai, Mr. Trelawny me regardait toujours d'un œil pénétrant. Toute la bonté de son caractère apparut dans son sourire, quand il me tendit la main en disant:
– Malcolm Ross, j'ai toujours entendu parler de vous comme d'un homme intrépide et ayant le sens de l'honneur. Je suis heureux que ma fille ait un ami tel que vous. Continuez!
– Il y a un avantage à vieillir: utiliser judicieusement son expérience. J'en ai beaucoup. Je me suis donné du mal toute ma vie pour en acquérir, et j'ai eu l'impression que j'étais justifié à l'utiliser. Je me suis risqué à demander à Miss Trelawny de me compter au nombre de ses amis; de me permettre de lui venir en aide si l'occasion se présentait. Elle m'a promis de me le permettre. Je ne me doutais guère que l'occasion de lui venir en aide se présenterait aussi vite, et de cette façon. Mais le soir même vous étiez blessé. Dans sa désolation et son anxiété elle a pensé à me faire appeler!
Je marquai un temps. Il continuait à me regarder tandis que je poursuivais:
– Lorsqu'on découvrit votre lettre d'instructions, j'offris mes services. Ils furent acceptés, comme vous le savez.
– Et ces journées, comment se sont-elles passées pour vous?
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