Bram Stoker - Le Joyau des sept étoiles
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Il y avait là certainement un mystérieux entremêlement d'accidents dans l'engrenage desquels nous étions tous engagés.
Chapitre VII PERTE SUBIE PAR LE VOYAGEUR
Cette nuit-là, tout se passa bien. Sachant que Miss Trelawny n'était pas de garde, nous avons redoublé de vigilance, le Dr Winchester et moi-même. Avec l'arrivée de l'aube, toute la maison sembla se reposer. Le Dr Winchester rentra chez lui lorsque sœur Doris vint relever Mrs. Grant. Il était, je crois, un peu désappointé et chagriné de constater que rien d'exceptionnel ne s'était passé pendant sa longue nuit de veille.
À huit heures, Miss Trelawny vint nous rejoindre; je fus étonné et en même temps ravi de voir tout le bien que cette nuit de sommeil avait pu lui faire. Elle était vraiment rayonnante; exactement comme je l'avais vue à notre première entrevue et au cours du pique-nique. Il y avait même comme une légère coloration sur ses joues, qui continuaient, à paraître étonnamment blanches, par contraste avec ses sourcils noirs et ses lèvres écarlates. Avec le retour de ses forces, semblait se développer une tendresse pour son père malade encore plus marquée que celle dont elle avait fait montre jusque-là. Je ne pouvais qu'être ému par ses gestes caressants quand elle arrangeait ses oreillers ou écartait les cheveux de son front.
J'étais moi-même fatigué par ma longue veille; et maintenant qu'elle avait pris ma suite, j'allai me mettre au lit. Mes yeux fatigués clignotaient à la pleine lumière et j'éprouvai immédiatement la lassitude consécutive à une nuit sans sommeil.
Je fis un bon somme et après le déjeuner je m'apprêtais à me rendre à pied à Jermyn Street, quand je remarquai à la porte d'entrée un importun. Le domestique de service était celui qu'on appelait Morris, antérieurement «homme toutes mains», mais depuis le départ des serviteurs, promu maître d'hôtel à titre temporaire. L'étranger parlait à voix assez haute, si bien qu'il n'y avait pas de difficulté à comprendre ses griefs. Le domestique était respectueux dans ses paroles et son attitude; mais il se tenait carrément devant la grande porte à deux battants de manière à empêcher l'autre d'entrer. Les premiers mots que j'entendis prononcer par le visiteur expliquaient suffisamment la situation.
– Tout cela est bel et bon, mais je vous dis que je dois voir Mr. Trelawny! À quoi cela sert-il de me dire que je ne peux pas quand je vous affirme, moi, que je dois le voir. Vous me renvoyez sans cesse, sans cesse. Je suis arrivé à neuf heures; vous m'avez dit alors qu'il n'était pas levé, qu'il n'était pas bien, et qu'on ne devait pas le déranger. Je suis revenu à midi; vous m'avez dit encore une fois qu'il n'était pas levé. J'ai demandé à voir quelqu'un de la maison; vous m'avez dit que Miss Trelawny n'était pas levée. Je reviens à présent à trois heures, et vous me dites que Mr. Trelawny est encore au lit, et qu'il n'est pas réveillé. Où est Miss Trelawny? «Elle est occupée et elle ne doit pas être dérangée!» Eh bien, elle doit être dérangée. Ou quelqu'un d'autre doit l'être. Je suis venu voir Mr. Trelawny pour une affaire spéciale; et je suis venu d'un endroit où les domestiques commencent toujours par dire «non». «Non» je ne m'en contenterai pas cette fois. J'ai connu cela pendant trois ans, attendre devant les portes et devant les tentes alors qu'il était plus long d'y entrer que de pénétrer dans les tombeaux; et à vous entendre, on dirait qu'à l'intérieur de cette maison tous les habitants sont transformés en momies. J'en ai eu assez comme ça, je vous le dis. Et quand je rentre chez moi et qu'on me défend la porte de l'homme pour qui j'ai travaillé, juste de la même façon et avec les mêmes réponses usées, cela me met en boule. Est-ce que Mr. Trelawny a laissé des ordres d'après lesquels il ne voulait pas me voir quand je viendrais?
Il s'arrêta un instant; très énervé, il s'épongea le front. Le domestique répondit très respectueusement:
– Je suis désolé, monsieur, si, en faisant mon devoir, je vous ai offensé d'une façon quelconque. Mais j'ai des ordres et je dois y obéir. Si vous voulez bien laisser un message, je le remettrai à Miss Trelawny; si vous laissez votre adresse, elle pourra communiquer avec vous au cas où elle le désirerait.
La réponse qui lui fut faite montra que l'homme qui parlait était bon et juste.
– Mon garçon, je n'ai rien à vous reprocher; je suis navré si je vous ai heurté dans vos sentiments. Je dois être juste, même si je suis en colère. Mais se trouver dans ma situation, cela suffirait à mettre quelqu'un hors de soi. Le temps presse. Il n'y a pas une heure – pas une minute – à perdre! Et je suis là, à piétiner depuis six heures; et sachant que votre maître va être cent fois plus en colère que moi quand il apprendra tout le temps qui a été perdu. Il serait préférable pour lui d'être réveillé mille fois plutôt que de ne pas me voir en ce moment précis – et avant qu'il ne soit trop tard. Mon Dieu! C'est simplement terrible, et après tout par quoi, j'ai passé, voir mon travail gâché au dernier moment, échouer sur le seuil par la faute d'un larbin stupide! Il n'y a donc personne dans cette maison qui ait un peu de sens commun; ou d'autorité, à défaut? Je pourrais très rapidement le convaincre que votre maître doit être réveillé. Même s'il dort comme les Sept Dormeurs…
Il n'y avait pas à se méprendre sur la sincérité de cet homme, ni sur l'urgence et l'importance de l'affaire qui l'amenait.; de son point de vue, en tout cas. Je m'avançai.
– Morris, dis-je, vous feriez mieux de dire à Miss Trelawny que ce monsieur désire la voir en particulier. Si elle est occupée, faites-le lui dire par Mrs. Grant.
– Très bien, monsieur, répondit-il, soulagé, et il se hâta.
Je conduisis l'étranger dans le petit boudoir situé de l'autre côté du vestibule. Il me demanda en chemin:
– Êtes-vous le secrétaire?
– Non. Je suis un ami de Miss Trelawny. Mon nom est Ross.
– Merci beaucoup de votre amabilité, Mr. Ross. Je m'appelle Corbeck. J'aurais voulu vous donner ma carte; mais on n'emploie pas de cartes dans l'endroit d'où je viens. Et si j'en avais eu, je suppose que je les aurais toutes utilisées hier au soir…
Il s'arrêta subitement, comme s'il s'était rendu compte qu'il en avait trop dit. Nous nous tûmes l'un et l'autre; pendant que nous attendions, je l'examinai. Un homme petit et râblé, brun comme un grain de café, ayant peut-être une tendance à engraisser, mais pour le moment excessivement mince. Les rides profondes de son visage et de son cou n'étaient pas seulement dues aux années et aux intempéries: elles indiquaient à ne pas s'y tromper les endroits où la chair ou la graisse avait fondu et où la peau s'était détendue. Le cou était simplement une surface où s'entrecroisaient les sillons et les rides et portait les traces laissées par le soleil brûlant du désert. L'Extrême-Orient, les Tropiques, le désert, chaque région laissait sa marque colorée. Mais toutes les trois différentes; et un œil qui avait su une fois pouvait ainsi les distinguer aisément. La pâleur bistrée pour le premier; le brun rouge et violent pour les secondes; et pour le troisième, le hâle sombre et profond qui avait pris, semblait-il, le caractère d'une coloration permanente. Mr. Corbeck avait une grosse tête pleine et massive; avec des cheveux en désordre, d'un brun rouge foncé, dégarnis sur les tempes. Son front était beau, haut et large; et pour employer les termes de la physiognomonie, le sinus frontal était hardiment marqué. Sa forme carrée traduisait l'esprit raisonneur; et la plénitude sous les yeux le don des langues. Il avait le nez court et large qui dénote l'énergie; le menton carré – qu'on discernait malgré la barbe épaisse et non soignée – et la mâchoire massive qui montre l'esprit de décision.
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