Bram Stoker - Le Joyau des sept étoiles
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Sur ce il prit une bonne pincée de tabac à priser, et se tournant vers Miss Trelawny, il poursuivit:
– Parlons maintenant du malade. Si nous laissons de côté la cause de l'affection, tout ce que nous pouvons dire pour le moment, c'est qu'il semble souffrir d'une attaque caractérisée de catalepsie. Pour le moment, on ne peut rien faire, que de soutenir ses forces. Le traitement de mon ami, le Dr Winchester, a toute mon approbation; et j'ai confiance, si un léger changement se présente il sera en mesure d'y faire face d'une façon satisfaisante. C'est un cas intéressant, très intéressant. Et si une évolution nouvelle ou quelque chose d'anormal se présentait, je serais heureux de revenir à n'importe quel moment. Il y a juste un point sur lequel je voudrais attirer votre attention, et je m'adresse directement à vous, Miss Trelawny, car il entre dans le cadre de vos responsabilités. Le Dr Winchester me dit que vous n'êtes pas vous-même libre en la matière, mais que vous êtes liée par des instructions que votre père a laissées en prévision d'une situation de cet ordre. Je voudrais vous recommander énergiquement de transporter le malade dans une autre chambre; ou bien, à défaut, de faire retirer de sa chambre toutes ces momies et autres choses du même genre. Voyons, cela suffirait à mettre n'importe quel homme dans une situation anormale, d'être entouré d'un pareil assemblage d'horreurs, de respirer l'atmosphère qu'elles dégagent! Au revoir, Miss Trelawny, j'espère fermement que vous allez bientôt voir votre père rétabli. Rappelez-vous qu'à condition que vous remplissiez les conditions élémentaires que je vous ai énoncées, je suis à votre disposition de jour comme de nuit. Au revoir, Mr. Ross. J'espère, docteur Winchester, que vous pourrez bientôt me donner des nouvelles.
Quand il fut sorti nous sommes restés silencieux, jusqu'à ce que le bruit des roues de sa voiture se soit éteint au loin. Le premier à parler fut le Dr Winchester.
– Je crois bon de dire qu'à mes yeux, au point de vue strictement médical, il a tout à fait raison. J'ai eu l'impression que j'aurais pu lui sauter dessus quand il en a fait une condition pour ne pas abandonner le malade; mais tout de même il a raison au point de vue du traitement. Il ne comprend pas qu'il y a quelque chose dans ce cas particulier; et il ne comprendra pas que nous sommes tous prisonniers des instructions de Mr. Trelawny. Bien entendu…
Il fut interrompu par Miss Trelawny:
– Docteur Winchester, voulez-vous, vous aussi, abandonner le malade; ou bien êtes-vous disposé à continuer aux conditions que vous connaissez?
– Abandonner! Moins que jamais, Miss Trelawny. Je ne l'abandonnerai jamais, tant qu'il vivra ou que l'un quelconque de nous vivra!
Elle ne répondit rien, mais elle lui tendit une main, qu'il serra chaleureusement.
– À présent, dit-elle, si Sir James Frere est le type même des hommes qu'on honore sous le nom de spécialistes, je n'en veux plus. Pour commencer, il ne paraît pas en savoir plus que vous sur l'état dans lequel se trouve mon père; et s'il était seulement intéressé par son cas cent fois moins que vous, il ne se montrerait pas aussi pointilleux. Naturellement, je suis seulement trop inquiète pour mon père; et si je vois un moyen de nous conformer à telle des conditions posées par Sir James Frere, je le ferai. Je vais demander à Mr. Marvin de venir ici aujourd'hui pour me donner son avis: jusqu'où vont les désirs exprimés par mon père. S'il estime que je suis libre d'agir d'une façon quelconque sous ma propre responsabilité, je n'hésiterai pas à le faire.
Le Dr Winchester prit alors congé.
Miss Trelawny se mit alors à écrire à Mr. Marvin une lettre dans laquelle elle lui exposait l'état des affaires et lui demandait de venir la voir en se munissant de tous papiers de nature à jeter une lumière quelconque sur le sujet. Une heure s'était à peine écoulée que Mr. Marvin était avec nous.
Il comprenait l'impatience de Miss Trelawny. Quand il en eut appris suffisamment sur la maladie de son père, il lui dit:
– D'après ce que vous m'avez dit de la maladie de Mr. Trelawny et des autres questions – incidentes – nous nous trouvons bien dans un cas grave comme un de ceux en prévision desquels votre père a donné ces instructions impératives – tout à fait impératives. Elles sont si inflexibles qu'il m'a donné un mandat, aux termes duquel je me suis engagé à agir, et m'autorisant à veiller à l'exécution des désirs qu'il a exprimés par écrit. Croyez-moi, voulez-vous, une fois pour toutes, il tenait essentiellement à tous les points mentionnés dans cette lettre qu'il vous a écrite. Tant qu'il est vivant, il doit rester dans sa chambre. Et quelles que soient les circonstances, aucun objet lui appartenant ne doit en être retiré. Il a même laissé un inventaire des objets qui ne doivent pas être bougés.
Miss Trelawny restait silencieuse. Elle paraissait plus ou moins désemparée. Alors, pensant que j'en comprenais la cause directe, je demandai:
– Puis-je voir cette liste? Le visage de Miss Trelawny s'éclaira aussitôt; mais il s'assombrit de nouveau lorsque l'avocat se hâta de répondre – il était évidemment prêt à le faire:
– Il faudrait pour cela que je sois obligé d'agir aux termes de mon mandat; mais je vois que vous avez beaucoup de choses – beaucoup trop – de choses à supporter déjà. Cependant je n'ai pas le choix. Si vous désirez me consulter sur une question quelconque à n'importe quelle heure, je vous promets de venir sans retard, de jour comme de nuit. Voici mon adresse personnelle, dit-il en griffonnant sur une page de son carnet, et en dessous celle de mon club où l'on me trouve généralement dans la soirée. Il arracha la feuille et la lui tendit. Elle le remercia. Il lui serra la main ainsi qu'à moi et se retira.
Dès que la porte de l'antichambre se fut refermée sur lui, Mrs. Grant frappa et entra. Une telle détresse se peignait sur son visage que Miss Trelawny se redressa, pâle comme une morte, et lui demanda:
– Qu'est-ce que c'est, Mrs. Grant? Qu'y a-t-il? Un nouvel ennui?
– Je suis désolée d'être obligée de vous annoncer, mademoiselle, que tous les domestiques, à l'exception de deux, ont donné leur congé et désirent quitter la maison aujourd'hui même. Ils ont discuté entre eux; le maître d'hôtel a pris la parole au nom de tous les autres. Il dit qu'ils sont prêts à renoncer à leurs gages et même à payer l'indemnité légale plutôt que de faire leurs huit jours; mais ce qu'ils veulent, c'est partir aujourd'hui même.
– Quelle raison donnent-ils?
– Aucune, mademoiselle. Ils disent qu'ils regrettent beaucoup, mais qu'ils n'ont rien à dire. J'ai demandé à Jane, la première femme de chambre, qui n'est pas avec les autres et qui reste; elle m'a dit confidentiellement qu'ils se figuraient, ces imbéciles, que la maison était hantée!
Chapitre VI SOUPÇONS
La première à reprendre ses esprits fut Miss Trelawny. Elle dit avec une dignité pleine de hauteur:
– Très bien, Mrs. Grant. Qu'ils s'en aillent! Payez leur dû jusqu'à ce jour, plus un mois de gages. Jusqu'à présent, ils ont été d'excellents serviteurs; et l'occasion qu'ils prennent pour partir n'est pas ordinaire. Nous ne devons pas attendre une grande fidélité de quiconque est paralysé par la terreur. Ceux qui restent toucheront désormais des gages doubles; et envoyez-les moi, je vous prie, dès que je vous préviendrai.
Mrs. Grant était étouffée d'indignation. La gouvernante qu'il y avait en elle était outragée par un traitement aussi généreux réservé à des domestiques qui s'étaient mis d'accord pour donner leur congé.
Miss Trelawny fut très douce avec elle, et calma sa dignité offensée; si bien que lorsqu'elle se retira elle éprouvait, à sa façon, une hostilité moins marquée pour ceux qui servaient sous ses ordres. Dans un tout autre état d'esprit, elle ne tarda pas à revenir pour demander à sa maîtresse si celle-ci désirait qu'on engage un nouveau personnel complet, ou, tout au moins, qu'on essaie.
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