Frank Herbert - Dune (Tome 1)

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Dune (Tome 1): краткое содержание, описание и аннотация

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Il n’y a pas, dans tout l’Empire, de planète plus inhospitalière que Dune. Partout des sables à perte de vue. Une seule richesse : l’épice de longue vie, née du désert, et que tout l’univers achète à n’importe quel prix. Richesse très convoitée : quand Leto Atréides reçoit Dune en fief, il flaire le piège. Il aura besoin des guerriers Fremen qui, réfugiés au fond du désert, se sont adaptés à une vie très dure en préservant leur liberté, leurs coutumes et leur foi mystique. Ils rêvent du prophète qui proclamera la guerre sainte et qui, à la tête des commandos de la mort, changera le cours de l’histoire. Cependant les Révérendes Mères du Bene Gesserit poursuivent leur programme millénaire de sélection génétique ; elles veulent créer un homme qui concrétisera tous les dons latents de l’espèce. Tout est fécond dans ce programme, y compris ses défaillances. Le Messie des Fremen est-il déjà né dans l’Empire ?

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Les hommes des sables se pressèrent contre l’appareil et commencèrent à monter à bord avec l’aide de Halleck.

« Allez, les gars ! Plus vite ! »

Paul se retrouva dans un coin, entre ces hommes dont la sueur sentait la peur. Deux d’entre eux avaient des distilles mal ajustés au cou et il classa ce renseignement dans sa mémoire pour une future utilisation. Il faudrait que son père soit plus dur quant à la discipline du distille. Les hommes avaient tendance à se relâcher si l’on ne se montrait pas vigilant pour de telles choses.

En haletant, le dernier monta à bord : « Le ver ! Il est presque sur nous ! Décollez ! »

Le Duc se glissa dans son siège, fronça les sourcils et dit : « Il nous reste encore trois minutes selon l’estimation de contact. Est-ce vrai, Kynes ? » Il ferma sa porte et en vérifia le verrouillage.

« Exactement, Mon Seigneur », dit Kynes, en songeant : Il a du cran, ce Duc.

« Tout est paré, Sire ! » lança Halleck.

Le Duc acquiesça et vérifia que les appareils d’escorte avaient déjà décollé. Puis il mit le contact, jeta un ultime coup d’œil sur les ailes puis sur les commandes et appuya sur la commande des fusées.

La pression du décollage l’écrasa dans son siège, de même que Kynes, Halleck, Paul et les hommes à l’arrière. Kynes observait la façon dont le Duc manipulait les commandes de l’orni : doucement, sûrement. L’appareil était maintenant en altitude mais le Duc ne quittait pas ses instruments du regard, vérifiant parfois les ailes, d’un coup d’œil à droite, puis à gauche.

« Nous sommes chargés, Sire », dit Halleck.

« Dans les limites de tolérance de l’orni, dit le Duc. Tu ne crois pas que je risquerais la vie de mes passagers, Gurney ? »

Halleck sourit : « Oh non, certainement pas, Sire. »

Le Duc lança l’orni dans une longue courbe ascendante. Paul, coincé dans un coin, contemplait la chenille immobile dans le sable, tout en bas. Le signe du ver avait disparu soudain à quatre cents mètres et, à présent, une sorte de turbulence commençait à se manifester dans le sable, autour de la chenille.

« Il est dessous, maintenant, dit Kynes. Ce que vous allez voir, peu d’hommes l’ont vu. »

Tout autour de la chenille, à présent, des gerbes de poussière se mêlaient au sable. La gigantesque machine s’inclina sur la droite. A cet endroit, un grand tourbillon de sable se formait. Il tournait de plus en plus rapidement. A quatre cents mètres à la ronde, l’air était saturé de poussière et de sable.

Et ils virent !

Un large trou apparut dans le désert. Le soleil étincela sur des barres blanches et lisses. Le trou, estima Paul, était à peu près deux fois plus grand que la chenille. Et sous ses yeux, la machine tout entière glissait maintenant dans ce gouffre ouvert dans le sable. Et le trou se résorba.

« Dieux, quel monstre ! » murmura un homme.

« Tout notre épice ! » gronda un autre.

« Quelqu’un paiera pour cela, dit le Duc. Je vous le promets. »

La voix de son père était sans expression et Paul perçut toute la fureur qui l’habitait. Et il prit conscience qu’il la partageait. Un tel gâchis était criminel !

Dans le silence qui suivit, ils entendirent Kynes qui murmurait : « Béni soit le Créateur et Son eau. Bénis soient Sa venue et Son départ. Son passage lave le monde. Qu’il garde le monde pour Son peuple. »

« Que dîtes-vous là ? » demanda le Duc.

Mais Kynes garda le silence.

Paul regarda les hommes groupés autour de lui. Leurs yeux étaient tous fixés sur la nuque de Kynes et tous étaient emplis de frayeur. « Liet », murmura l’un d’eux.

Kynes se retourna et fronça les sourcils. L’homme recula.

Un autre fut pris d’une quinte de toux, sèche, déchirante. Il haleta : « Maudit soit ce trou infernal ! »

L’homme de haute taille qui était sorti le dernier de la chenille lança : « Silence, Coss ! Tu ne vaux guère mieux que ta toux. » Il bougea de façon à pouvoir fixer son regard sur la nuque de Leto. « Vous êtes le Duc Leto, je le sais, dit-il alors. C’est à vous que nous devons des remerciements pour nos vies. Avant votre venue, nous étions prêts à les achever ici. »

« Silence, homme ! Laisse le Duc piloter en paix », grommela Halleck.

Paul le regarda. Lui aussi avait remarqué les plis qui s’étaient formés sur les mâchoires de son père. Lorsque la rage habitait le Duc, il fallait agir tout doux.

L’ornithoptère, brisant le vaste cercle qu’il avait suivi jusqu’ici commençait à s’éloigner de l’endroit où la chenille avait été engloutie. A ce moment, le Duc décela un nouveau mouvement dans le sable et il stoppa l’appareil. Le ver avait disparu dans les profondeurs du désert mais quelque chose bougeait à l’endroit où avait été la chenille. Deux silhouettes apparurent et d’éloignèrent de la dépression en direction du nord. Elles semblaient glisser sur la surface, soulevant à peine un léger sillage de sable.

« Qui est-ce ? » aboya le Duc.

« Deux types qui s’étaient joints à nous, Sire », dit l’homme de Dune.

« Pourquoi n’en a-t-on rien dit ? »

« Ils connaissent les risques, Sire », dit l’homme de Dune.

« Mon Seigneur, intervint Kynes, ils savent bien qu’il n’y a pas grand-chose à faire pour des hommes perdus sur le territoire d’un ver. »

« Nous enverrons un appareil de la base ! »

« Comme vous le désirez, Mon Seigneur. Mais il est probable que, lorsqu’il arrivera, il n’aura personne à sauver. »

« Nous l’enverrons quand même », dit le Duc.

« Ils étaient là quand le ver a surgi, dit Paul. Comment ont-ils pu lui échapper ? »

« Les distances sont trompeuses, dit Kynes. A cause des parois du trou qui sont inclinées. »

« Mon Seigneur, intervint Halleck, nous brûlons du carburant. »

« Vu, Halleck ! »

Le Duc fit pivoter l’orni en direction du Bouclier. Les appareils d’escorte quittèrent leurs positions d’attente et se placèrent à la verticale et sur les flancs de l’appareil ducal.

Paul réfléchit à ce que venaient de dire Kynes et l’homme de Dune. Il avait perçu les demi-vérités, les mensonges. Et ces hommes ; là, en bas, s’étaient enfuis avec une telle assurance… Ils savaient évidemment comment ne pas attirer de nouveau le ver hors des profondeurs !

Des Fremens ! se dit Paul. Qui pourrait se déplacer sur le sable avec autant d’assurance ? Qui d’autre pourrait ne pas partager notre terreur ? Ils ne sont pas en danger, eux ! Ils savent comment vivre ici ! Ils savent comment échapper au ver !

« Que faisaient des Fremens dans cette chenille ? » demanda-t-il.

Kynes se retourna brusquement.

L’homme de Dune le regarda. Ses yeux étaient immenses. Bleu dans du bleu. « Qui est de garçon, »

Halleck vint s’interposer entre l’homme et Paul. « Paul Atréides, l’héritier ducal », dit-il.

« Pourquoi dit-il qu’il y avait des Fremens sur notre machine ? »

« Ils correspondent à le description », dit Paul.

Kynes se roidit. « On ne peut identifier un Fremen d’un simple regard ! (Il se tourna vers l’homme de Dune.) Vous. Dites-nous qui étaient ces hommes. »

« Des amis de l’un de nous, simplement. Des amis venus d’un village et qui voulaient voir les sables à épice. »

Kynes se détourna. « Des Fremens ! »

Les mots de la légende revenaient en lui : « Le Lisanal-Gaib saura percer tout subterfuge. »

« Ils sont morts, maintenant, jeune Sire, dit l’homme de Dune. Nous ne devrions pas parler d’eux sans courtoisie. »

Mais Paul percevait toujours le mensonge dans les voix, la menace qui, instinctivement, avait déclenché les réflexes de Halleck.

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