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Frank Herbert: Dune (Tome 1)

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Frank Herbert Dune (Tome 1)

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Il n’y a pas, dans tout l’Empire, de planète plus inhospitalière que Dune. Partout des sables à perte de vue. Une seule richesse : l’épice de longue vie, née du désert, et que tout l’univers achète à n’importe quel prix. Richesse très convoitée : quand Leto Atréides reçoit Dune en fief, il flaire le piège. Il aura besoin des guerriers Fremen qui, réfugiés au fond du désert, se sont adaptés à une vie très dure en préservant leur liberté, leurs coutumes et leur foi mystique. Ils rêvent du prophète qui proclamera la guerre sainte et qui, à la tête des commandos de la mort, changera le cours de l’histoire. Cependant les Révérendes Mères du Bene Gesserit poursuivent leur programme millénaire de sélection génétique ; elles veulent créer un homme qui concrétisera tous les dons latents de l’espèce. Tout est fécond dans ce programme, y compris ses défaillances. Le Messie des Fremen est-il déjà né dans l’Empire ?

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Il sentit son calme revenir. « Finissons-en, vieille femme » dit-il.

« Vieille femme ! (Elle avait crié.) Tu as du courage, on ne peut en douter. Eh bien, nous allons voir cela, mon petit ami ! »

Elle se pencha tout contre lui et sa voix devint un murmure.

« Tu vas sentir la douleur dans cette main qui est dans la boîte. La souffrance… Mais… Ote seulement ta main et mon gom jabbar touchera ton cou. Et la mort sera aussi rapide que la hache du bourreau. Ote seulement ta main et mon gom jabbar t’ôte l’existence. Compris ? »

« Qu’y a-t-il dans cette boîte ? »

« La souffrance. »

Dans sa main, le picotement se fit plus net. Il serra les lèvres. Quelle épreuve est-ce donc là ? se demanda-t-il. Le picotement se fit démangeaison.

« As-tu déjà entendu parler de ces animaux qui se dévorent une patte pour échapper à un piège ? C’est là une astuce animale. Un humain, lui, demeurera pris au piège, il supportera la souffrance et feindra d’être mort afin de pouvoir tuer le trappeur et supprimer ainsi la menace qu’il représente pour l’espèce tout entière. »

La démangeaison devint une brûlure très légère.

« Pourquoi ? » demanda Paul.

« Pour déterminer si tu es vraiment un humain. Silence ! »

La brûlure se fit plus intense dans sa main droite. Il referma sa main gauche. Lentement, lentement, la douleur augmentait. Chaleur, chaleur… Toujours plus de chaleur… Les ongles de sa main libre en feu ne lui obéissaient plus.

« Ca brûle », dit-il.

« Silence ! »

La douleur s’élança dans son bras. La sueur perla sur son front. Chaque fibre de son corps lui commandait de retirer sa main de ce puits de feu. Mais le gom jabbar était là. Sans tourner la tête, Paul devinait la terrible aiguille qui veillait près de son cou. Il se rendit compte qu’il respirait convulsivement et tenta de se maîtriser, mais sans y parvenir.

Souffrance ! Le monde devint vide. Il n’y eut plus que sa main, seule, noyée dans la souffrance, et ce visage ancien, à quelques centimètres.

Ses lèvres étaient sèches, soudées. Brûlure ! Brûlure ! Il avait l’impression de sentir sa peau se craqueler. Sa chair griller jusqu’à laisser apparaître les os. Puis : plus rien !

La souffrance avait cessé, comme si l’on avait appuyé sur un bouton.

Il vit que son bras droit tremblait convulsivement. Et la sueur continuait de ruisseler par tout son corps.

« Ca suffit, dit la vieille femme. Kull Wahad ! Jamais nul enfant, né d’une femme n’a enduré autant ! C’est comme si j’avais voulu te voir échouer. (Elle se recula, éloigna le gom jabbard de son cou.) Ote ta main de cette boîte, jeune humain, et regarde-la ! » Il lutta pour réprimer un frisson douloureux et ses yeux se fixèrent sur le trou obscur où sa main était encore plongée, comme si elle se refusait à tout mouvement, comme si le souvenir de la souffrance la paralysait. Toute sa raison soufflait à Paul qu’il allait retirer un moignon noirci de cette boîte.

« Ote-la ! »

Il obéit. Il regarda sa main, stupéfait. Il ne vit pas une marque, pas la moindre trace de la douleur qu’avait éprouvée sa chair. Il éleva sa main devant lui, la fit tourner, plia les doigts.

« Douleur par induction nerveuse, dit la vieille femme. Elle ne peut venir à bout des humains potentiels. Certains donneraient gros pour connaître le secret de cette boîte. » Elle prit le cube de métal et l’enfouit dans les plis de sa robe.

« Mais, cette douleur… », dit Paul.

« Cette douleur ! Un humain est capable de dominer chacun des nerfs de son corps ! »

Il eut mal à la main gauche, ouvrit ses doigts et découvrit quatre marques sanglantes sur sa paume. Il laissa retomber son bras et regarda la vieille femme.

« Vous avez déjà fait cela à ma mère ? »

« As-tu jamais tamisé du sable ? »

La question était tangente et mordante : son esprit gagna un niveau supérieur d’appréhension. Tamiser le sable . Il acquiesça.

« Nous, Bene Gesserit, tamisons les gens pour découvrir les humains », dit la vieille femme.

Il éleva alors sa main droite devant ses yeux, essayant de retrouver le souvenir de la souffrance.

« Et c’est tout ?… De la souffrance. C’est tout ?… »

« Je t’ai observé, mon garçon. La souffrance n’est que l’axe de l’épreuve. Ta mère t’a enseigné la façon dont nous observons. J’ai vu les signes de cet enseignement en toi. C’est là toute notre épreuve : crise et observation. »

Sa voix même portait la confirmation de ses paroles et Paul dit : « C’est vrai. »

Elle le regarda. Il perçoit la vérité ! Se pourrait-il qu’il soit celui-là Vraiment ?… Puis elle songea : L’espérance ternit l’observation , et elle étouffa l’excitation qu’elle ressentait.

« Tu sais lorsque les gens croient ce qu’ils disent. »

« Je le sais. »

Dans la voix de Paul, il y avait les harmoniques de ses capacités ; elle les perçut et dit : « Peut-être es-tu le Kwisatz Haderach. Assieds-toi, petit frère, là, à mes pieds. »

« Je préfère demeurer debout. »

« Ta mère s’est assise là, autrefois. »

« Je ne suis pas ma mère. »

« Tu me détestes un peu, n’est-ce pas ? » Elle regarda vers la porte et appela : « Jessica ! »

La porte s’ouvrit. Jessica apparut sur le seuil. Le regard de ses yeux était dur. Il s’attendrit en voyant Paul. Elle parvint à sourire faiblement.

« Jessica, as-tu jamais cessé de me haïr ? » demanda la vieille femme.

« Je vous aime et vous déteste pour cette souffrance que je ne pourrai jamais oublier. Je vous aime pour… »

« Le plus important seulement, dit la vieille femme, et sa voix était douce. Tu peux venir à présent, mais garde le silence. Ferme cette porte et veille à ce que nul ne vienne nous interrompre. »

Jessica s’avança, referma la porte et s’appuya au battant. Mon fils vit , pense-t-elle. Il vit… et il est humain . Je le savais… mais il vit. Et il peut vivre, désormais. Le contact de la porte était dur, réel contre son dos. Tout, dans cette pièce, semblait peser sur ses sens.

Mon fils vit.

Paul regarda sa mère. Elle a dit vrai . Il aurait voulu être seul pour repenser à cette expérience mais il savait que ce ne serait pas possible avant qu’on ne lui eût donné congé. La vieille femme avait acquis un empire sur lui. Elle avait dit vrai. Et sa mère avait subi cette même épreuve. Le but devait en être terrible pour justifier une telle souffrance, une telle peur. Et il savait qu’il était terrible, qu’il défiait toute probabilité et n’existait que pour lui-même. Il savait que, d’ores et déjà, il en était prisonnier. Mais il ignorait tout de la nature de se terrible but.

« Un jour, mon garçon, dit la vieille femme, toi aussi tu te tiendras devant cette porte. C’est là une tout autre épreuve. »

Il contempla sa main qui avait traversé la souffrance, regarda la Révérende Mère. Il venait de déceler dans sa voix quelque chose d’inconnu. C’était comme si les mots avaient été scintillants, pleinement détachés, définis. Et il savait que chaque question qu’il pourrait désormais poser amènerait une réponse qui l’élèverait hors de son monde de chair vers quelque chose de plus grand.

« Pourquoi cherchez-vous les humains ? » demanda-t-il.

« Pour te libérer. »

« Me libérer ? »

« Les hommes ont autrefois confié la pensée aux machines dans l’espoir de se libérer ainsi. Mais cela permit seulement à d’autres hommes de les réduire en esclavage, avec l’aide des machines. »

« Tu ne feras point des machine à l’esprit de l’homme semblable », cita Paul.

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